Les banksters vivent heureux et cachés

Alors que la maison de courtage américaine Peregrine (PFGBest) s’est placé en liquidation judiciaire après enquête du FBI et de l’autorité des marchés financiers, pour fraude et fausses déclarations, Transparency International diffuse un rapport sur les établissements financiers. L’organisation non gouvernementale pointe l’opacité du secteur. 

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Les banques britanniques en mal de fonds

Alors que la cote des banksters britanniques est au plus bas, à la suite du scandale des tripatouillages du Libor et de l’Euribor, le Financial Policy Committe (FPC) vient d’avertir que les banques du Royaume-Uni manquent de fonds propres. Les sales ne manquaient pas pourtant pour verser des bonus.

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La Bêtise a-t-elle un prix: Escroquerie ou le mythe de l’argent facile !

En consultant mon journal local, je suis tombée par hasard sur un article qui m’a confondu. Comment, au XXIe siècle, à l’heure d’internet et des news, peut on se faire piéger si facilement ? Je me suis dit qu’il fallait avertir mes amis lecteurs de C4N, trop sages pour y participer eux même, mais pour qu’ils relaient l’information à leurs proches: en période de crise, les arnaqueurs sont légion et vos connaissances peuvent aussi être victimes consentantes et donc coupables de ces pièges vieux de quelques centaines d’années mais autorisés dans des pays limitrophes.
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Nouveau déficit record pour l’Assurance maladie

La Sécurité sociale devrait enregistrer un déficit de 10,5 milliards d'euros en 2008, au lieu des 9,3 milliards annoncés en novembre, a indiqué lundi le ministère du Budget, révisant pour la deuxième fois ses prévisions. Pour 2009, le déficit s'établirait à 12,6 milliards d'euros, au lieu des 10,5 milliards annoncés.

Cette révision à la baisse s'explique par un recul des recettes plus fort que prévu, découlant d'un ralentissement de la masse salariale, sur laquelle sont assises les cotisations, et du report annoncé début janvier par le gouvernement de l'augmentation des cotisations retraite.

Dès lors, il est urgent de revoir les recettes de l'Assurance maladie et de les diversifier. Faire peser uniquement sur les salaires est extrêmement dangereux car depuis des dizaines d'années les dépenses sont supérieures aux recettes, tout en pesant très lourd dans le coût du travail.

A mon sens, il est temps de mettre en place une véritable TVA sociale, un prélèvement sur les flux financiers, de créer une taxe écologique. Cela permet de diminuer les charges sur le travail tout en garantissant des recettes plus pérennes car plus diverses.

Rappelons également que l’Etat doit à l'Assurance maladie la rondelette somme de 5 milliards d’euros et qu’il ne lui verse pas l’intégralité des taxes sur le tabac et l’alcool, ce qui équivaut à 3 milliards supplémentaires. Ajoutons encore 3 milliards qui seraient perçus si l’on taxait les stock-options, suivant la proposition formulée en septembre 2007 par le président de la Cour des comptes, Philippe Séguin.

Bref, je commence à être excédé par ces gouvernants qui préfèrent réduire sans cesse les remboursements de l'Assurance maladie, forçant les salariés à recourir aux mutuelles (que l'on va également taxer) et augmentant sans cesse le nombre de personnes ayant recours à la CMU, alors que ce devrait être la mission même d'une Assurance maladie.

Si ça continue, l'Assurance maladie ne remboursera rien mais nous continuerons de payer le prix fort pour elle. Autant laisser le libre choix de refuser d'être affilié à l'Assurance maladie.

Jérôme Charré

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Peines de prison dans l’affaire des agréments

Des peines allant de six mois à cinq ans de prison ont été prononcées mardi soir, en première instance, à Salé contre 22 accusés impliqués dans un réseau de falsification et de présentation de doléances à caractère social (affaire des agréments).La Chambre chargée des crimes économiques et financiers de la Cour d'appel à Salé a ainsi condamné trois accusés, Mustapha Taleb Aalla, Mohamed Zgani et Mohamed Rguig à une peine de cinq ans de prison assortie d'une amende de 30.000 dirhams chacun.
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L’hypocrisie des banquiers et des marchés financiers pris dans la tourmente des subprime

L'hypocrisie (qui rime bien avec crise) des banquiers et des marchés financiers pris dans la tourmente des subprimes n'a pas de limite comme le montre cette dépêche de l'AFP du 20 février 2008 intitulée :

"Subprime : les banques peinent toujours à chiffrer le montant de l'addition"

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