Sorties ciné du mercredi 08 Mai 2013.

Chers lecteurs de come4news. Aujourd’hui, mercredi 08 Mai 2013, c’est la journée cinéma. Dès à présent, retrouvez les synopsis et avis sur les films à venir (aujourd’hui les sorties ciné du 08 Mai 2013). Nous avons choisi de sélectionner les films qui seront projetés dans un maximum de salles en France, afin que vous ayez plus facilement une chance de pouvoir aller les voir.

 

1° « Hotel Normandy » comédie dramatique française de Charles Nemes, avec Eric Elmosnino et Héléna Noguerra.

 

Durée : 1 h 37 minutes.

Diffusé dans 266 cinémas.

 

Synopsis :  Parce que, depuis la disparition prématurée de son mari, Alice refuse systématiquement de donner la moindre chance à tous les hommes que lui présentent ses deux meilleures amies, celles-ci lui offrent un séjour de rêve à l’hôtel Normandy de Deauville…

 

Presse 2/5 – Spectateurs 3/5

 

 

 

2° « Sous Surveillance » thriller américain de Robert Redford, avec Shia LaBeouf et Robert Redford.

 

Durée : 2 h 01 minute.

Diffusé dans 229 cinémas.

 

Synopsis : En 1969, un groupe de militants radicaux appelés Weather Underground revendique une vague d’attentats aux États-Unis pour protester contre la guerre du Vietnam. La plupart de ses membres furent emprisonnés, mais quelques-uns disparurent sans laisser de trace…

 

Presse 2,5/5 – Spectateurs 3,5/5

 

 

 

3° « Trance » thriller américain de Danny Boyle, avec James McAvoy, Vincent Cassel et Rosario Dawson.

 

Durée : 1 h 35 minutes.

Diffusé dans 191 cinémas.

 

Synopsis : Commissaire-priseur expert dans les œuvres d’art, Simon se fait le complice d’un gang pour voler un tableau. Dans le feu de l’action, il reçoit un coup sur la tête. À son réveil, il n’a plus aucun souvenir de l’endroit où est caché le tableau.

 

Presse 3/5 – Spectateurs 4/5

 

 

 

4° « Cheba Louisa » comédie française de Françoise Charpiat, avec Rachida Brakni et Isabelle Carré.

 

Durée : 1 h 35 minutes.

Diffusé dans 169 cinémas.

 

Synopsis : A 30 ans, Djemila, juriste célibataire a enfin son propre appartement… à deux pas de chez ses parents. Française d’origine maghrébine, elle fait tout pour gommer ses origines. Emma, sa voisine déjantée et fauchée, rame pour élever seule ses deux enfants.

 

Presse 3/5 – Spectateurs 3,5/5

 

5° « The Hit Girls » comédie américaine de Jason Moore, avec Anna Kendrick et Skylar Astin.

 

Durée : 1 h 53 minutes.

Diffusé dans 140 cinémas.

 

Synopsis : Beca est le genre de fille qui préfère écouter son lecteur MP3 que la personne assise en face d’elle. Fraîchement arrivée à la fac, elle a du mal à y trouver sa place. Elle intègre alors, plus ou moins contre son gré, une clique de filles qu’elle n’aurait jamais considérées abordables…

 

Presse 3/5 – Spectateurs 4/5

 

 

 

6° « Infiltré » film d’action américain de Ric Roman Waugh, avec Dwayne Johnson et Susan Sarandon.

 

Synopsis : Pour tenter de sauver son fils injustement condamné à une peine de prison, un père désespéré va infiltrer le plus redoutable des cartels de la drogue…

 

Presse 1,5/5 – Spectateurs 3,5/5

 

 

Bon film à tous et à la semaine prochaine.

Mes 3 meilleurs films … de Disney

 Voici donc le quatrième épisode que je publie de mes articles concernant mes trois films préférés. Aujourd’hui, j’ai choisi le thème de Walt Disney. Parmi la longue série d’œuvres de grande envergure que nous a offert ce grand studio, si je dois admettre que les tout derniers long-métrage m’ont consterné et m’ont clairement donné l’impression que Disney avait perdu la recette magique pour produire de grands chefs d’œuvre (je parle notamment des ratages industriels que sont pour moi La princesse et la grenouille, Hercules et autres Pocahontas), voici les trois films qui constituent pour moi la quintessence de la magie Disney.

 

Blanche-neige et les sept nains : Voici sans aucun doute l’un des premiers chefs-d’œuvre du studio. Outre sa réalisation grandiose pour l’époque, force est de constater que ce film est un monument tant il est jalonné de références qui ont traversé les décennies. Un Walt Disney « Old school » qui réveille la nostalgie et les souvenirs de jeunesse. De plus, malgré le caractère un peu vieillot du graphisme, force est de constater que l’animation reste toujours d’un très haut niveau.   

 

Aladin : Plus récent mais tout aussi légendaire, cette adaptation du conte d’Aladin m’a particulièrement enthousiasmé en raison de son traitement tout à fait moderne. En dépit de l’histoire déjà archi-connue, Disney a su réinterpréter l’histoire d’Aladin et de ses aventures avec un grand brio. Mention spéciale pour le génie qui porte à lui seul toute la dimension comique de cette œuvre. Je ne parle même pas non plus du méchant Jafar qui, à mon sens, est l’un des méchants Disney parmi les plus réussis. Une grande réussite pour moi donc, et une transposition tout à fait mémorable.  

 

Le roi Lion : Je termine mon trio de tête par le film qui constitue sans le moindre doute mon œuvre préféré de Disney à ce jour (et je pense, au vu de la décroissance qualitative de ces dernières années que la barre ne sera pas dépassée de sitôt). Pourquoi un el engouement pour ce film ? Parce qu’il réunit selon moi toutes les qualités que l’on peut attendre lorsqu’on cherche à s’évader, à rêver, à voyager. La réalisation est fantastique, le graphisme des personnages et de l’animation est à son plus haut niveau sans parler de l’histoire comptant la destinée de Simba, futur roi Lion et qui doit reprendre son trône des griffes de son oncle Scar qui a assassiné son père. Le film est un subtil mélange d’action, de tendresse, d’humour. Il demeurera longtemps mon Disney préféré.

 

R.I.P. John F. Kennedy, assassiné voici cinquante ans

Robert F. Kennedy Jr. considère que son oncle, le défunt président assassiné voici un demi-siècle à Dallas, n’est pas tombé que sous les coups d’un seul tireur, à savoir Lee Harvey Oswald. Ce serait totalement subsidiaire, voire inconsistant, s’il n’arguait que son père, frère du défunt, n’avait pas considéré le rapport de la commission d’enquête Warren telle une « fabrication bidouillée». Ce fait est un peu plus digne de considération puisqu’on présumer que Robert Kennedy Sr. disposait sans doute de plus amples moyens de se former une opinion. 

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Mes 3 meilleurs films… de Science-fiction

Passionné de cinéma depuis ma plus tendre enfance, je vous propose (si bien sûr l’équipe de C4N valide le thème de cet article premier d’une longue série) de vous proposer les films qui m’ont le plus marqué dans les genres qui me sont les plus chers.  J’entame cette série par l’un de mes préférés : la science-fiction.

 

2001 : L’odyssée de l’espace

 

Considérés par beaucoup de fans de science-fiction comme l’un des films fondateurs du genre, « 2001 : l’odyssée de l’espace » fait partie de ces films qui marquent les esprits à jamais. Sorti en 1968 et réalisé par le grand Stanley Kubrick, le film compte l’histoire de deux astronautes à bord du vaisseau Discovery et se dirigeant vers Jupiter. Le vaisseau est contrôlé par une intelligence artificielle, HAL 9000, qui va commencer à s’éveiller à la conscience.

Majestueux, d’une lenteur et d’une beauté envoutante et doté d’une fin aux interprétations multiples, ce film s’érige en monument de la SF et ne souffre, malgré son ancienneté, d’aucune ride.    

 

Alien, le 8ème passager

 

Sorti en 1979 et réalisé par Ridley Scott (qui signera par la suite d’autres chefs-d’œuvre), « Alien, le 8ème passager » suscite un séisme à sa sortie en salle. Mélange virtuose de SF et d’horreur, le long métrage suit l’équipage du vaisseau Nostromo faisant face à une forme extraterrestre mortelle qui va progressivement décimé les membres à bord. Claustrophobique, riches en scène culte et faisant apparaître l’une des créatures les plus emblématiques et terrifiantes de l’histoire du cinéma (l’Alien), le film est un tournant décisif pour la SF cinématographique.

 

Blade Runner

 

Ridley Scott, encore lui, signe presque coup sur coup en 1982 une autre œuvre fondatrice de la SF, Blade Runner. Porté par l’interprétation magistrale d’Harrison Ford, le récit relate la traque des répliquants (des androïdes perfectionnés à apparence humaine) par un agent d’une unité spéciale appelé Blade Runner. Sombre, doté de décors impressionnants et porté par la musique envoutante de Vangelis, le film est une réussite artistique et scénaristique dont on ne se relève pas.

 

La suite au prochain épisode…

 

Le cinéma est toujours une fête avec Tarentino !

 Quentin Tarentino c’est le surdoué du cinéma qu’on adore ou qu’on déteste. Personnellement, j’adore !

Véritablement révélé au grand public avec  »Pulp Fiction", Palme d’or à Cannes en 1994, Tarentino impose immédiatement son style, sa  »patte » de cinéphile amoureux du 7ème art qu’il est.

Dans ses films, c’est à chaque fois l’assurance de dialogues savoureux, parfois hilarants surtout lorsqu’ils accompagnent de façon totalement décalée certaines scènes.

Tarentino crée un univers dans ses films qui peut paraître déjanté mais où tout est parfaitement orchestré ! le chef-d’oeuvre du genre, à mes yeux, c’est le premier volume de Kill Bill. Avec ce film, on a la garantie de passer un vrai moment de jubilation.

"Kill Bill" multiplie les clins d’oeils aux cinémas de diverses époques et surtout à une partie de l’univers culturel asiatique ( scènes sous forme d’animation manga, proverbes et citations chinoises et japonaises…) tout, dans ce film, est proche de la perfection. Par exemple, les thèmes musicaux de Kill Bill sont utilisés avec précision et non au hasard comme les thèmes qui accompagnent les scènes récurrentes où la magnifique Uma Thurman, l’héroïne principale, s’apprète à satisfaire sa (terrible) vengeance en affrontant un adversaire.

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Faux Raccords, une émission d’Allociné

Allociné, tout le monde connait, où presque. Comme vous savez à peu près, www.allocine.fr permet de voir le détails des films, du casting aux avis en passant par les bandes annonces, mais aussi, de voir le détails des séries et la filmographie des acteurs ou réalisateurs. Et si seulement, Allociné se limitait à ces informations, c’est le site culte pour s’informer sur le cinéma, les vieux films comme les nouveaux, les séries.. il permet aussi de rechercher des salles de cinémas dans la France entière. Bref, il est complet.

On a cependant découvert qu’Allociné nous cachait quelque chose, de bien en plus: une émission produite et diffusée via le site internet. Il s’agit de "Faux Raccords", une émission basée sur l’analyse de la cohérence entre les scènes d’un film et sur la recherche d’éléments permettant de voir les dessous d’un film.. en général, ce que réalisateurs, cadreurs, monteurs (…) cherchent à cacher! Du coup, quand on découvre par exemple, les ficelles d’une grosse cascade au propre comme au figuré, là ça nous casse le coté grandiose du film.. mais qu’est ce que c’est drôle parfois.

Les deux Michel qui présentent l’émission sont comiques entre eux et dans leur façon de décrypter les films. Ils font de Faux Raccords, une émission intéressante et marrante sur le fond comme sur la forme. Ils nous mettent tout de suite dans la bonne humeur, et en plus, comme si cela ne suffisait pas, ils s’attaquent la plupart du temps à des géants du cinéma (toutes nationalités confondues) comme par exemple Titanic, Le Seigneur des Anneaux ou Les Visiteurs, pour le cinéma français…

Cette petite émission d’à peine une dizaine de minutes, nous permet donc de voir un bon nombre de "trucs et astuces" du cinéma, ce qui renforce donc chez nous notre sens de l’observation. L’exercice est cependant assez difficile et il est parfois compliqué, surtout lorsqu’on suit un film, d’essayer d’apercevoir les cameras, les perches ou autres. Bien heureusement, si vous n’êtes pas un expert, il n’y a aucun risque que vous gachiez votre étonnement en découvrant les effets spectaculaires du film que vous êtes en train de regarder.

Mais surtout, avant d’aller voir cette émission bien sympathique, arrangez-vous pour avoir vu le film avant qu’il soit passé au peigne fin sous vos yeux! 

Cinéma, ô Cinéma réveille-toi.

   Mon dieu, il fut un temps où j’aimais le cinéma. Certes, j’approche à peine le quart de siècle mais que je suis désespéré de l’époque où nous vivons. Il fut un temps où l’art tenait une place prépondérante dans la Haute Cour. L’apprécier à sa juste valeur nous emmenait si loin, dans ce doux rêve illusoire où l’on pouvait toucher du bout des doigts un imaginaire féerique. Qui sont les coupables ? L’industrie du cinéma bien évidemment. De par leur soif insatiable d’argent et donc d’audience, des scripts en papier mâché qui ne mériteraient même pas de palper le fond d’une corbeille à droite d’un bureau rectangulaire voient le jour. La suite on la connait. Des campagnes publicitaires qui n’en finissent plus et des personnes qui accourent pour voir le nouveau film en vogue guidées par des affiches propagatrices. Que l’on pleure devant une mort théâtralisée sous une ébauche de partition de piano ou que l’on soit ébahi devant une multitude d’explosions gigantesques d’Hollywood Boulevard,  le résultat lui est le même.

 

 

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Pour Hollywood,la Crise financière est une bonne nouvelle.

Le crédit se fait rare même à Hollywood;pour obtenir les sommes nécessaires à la production de films , les scénaristes devront être très convaincants avec des productions plus rentables.

Les studios de la Paramount se sont lancés dans un plan d'économie qui s'accompagne de licenciements. Les studios de Spielberg vont à Bollywood;…etc

Mais les scénaristes ont de la suite dans les idées :" faire de l'argent en parlant de la crise" en lançant des longs métrages sur le monde de la finance : la Warner va sortir l'an prochain "Confessions of a Wall Street Shoeshine Boy",  l'histoire d'un journaliste financier qui traque les traders indélicats, ou bien le lancement de "The Wolf of Wall Street", l'histoire d'un trader par qui le scandale est arrivé…etc.

L'histoire du cinéma nous montre qu'en temps de crise les salles de cinéma sont de plus en plus remplies.

La crise de 1929 a suscité une augmentation de films comiques et d'aventures pour divertir le peuple ;ensuite les grands studios de cinéma ont connu un véritable âge d'or, et pendant la dernière récession en France(1993) ainsi qu'après les attentas du 11 septembre:le cinéma réalisait de très bonnes recettes .

Walt Disney annonce la mise en ligne gratuite de plusieurs de ses films

Walt Disney a annoncé mardi sa décision de placer cet été certains de ses films sur son site internet (disney.com), auxquels on pourra un accès libre. Walt Disney a annoncé mardi sa décision de placer cet été certains de ses films sur son site internet (disney.com), auxquels on pourra un accès libre.
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