Les chaussures tendances pour cet été 2018

Il va de soi qu’une femme ne peut prétendre avoir un beau dressing sans une multitude de paires de chaussures qui s’assemblent chacune parfaitement avec le reste de la garde-robe. Mais la mode, ça s’en va, et ça revient… Il est alors peut-être temps de ressortir vos anciens talons des années 2000 ou de faire un brin de shopping pour être tendance cet été.

Les baskets : élément indispensable

Les baskets, c’est le nouvel eldorado. On les collectionne, on les ressort, et on s’en sert même pour compléter une tenue estivale. Elles font l’unanimité l’été comme l’hiver. Elles ont la qualité d’être confortables mais également et surtout, de se marier avec tout. Elles reviennent chaque saison et sont les chaussures tendances pour l’été.

Cette saison encore, les baskets sont partout. Du short vintage au jogging pour courir, jusqu’à la petite robe d’été… Elles sont votre principal atout puis qu’avec elles, aucun fashion faux pas n’est possible. Vous êtes donc libre de les assembler avec ce que bon vous semble. Faites un tour sur Def-Shop.fr, vous y trouverez une sélection des derniers modèles à la mode. 

Les baskets Adidas reviennent chaque saison, elles sont devenues une valeur sûre. Cet été, optez pour des baskets avec des imprimés à fleurs, effet incontournable de la saison comme le modèle d’Adidas « Adi-Ease bleu ». Il y aura aussi les baskets blanches, grand classique de la sneakers avec les Stan Smith, mais également des couleurs pastelles pour mettre une touche de fantaisie à votre silhouette. Le jaune sera l’une des couleurs fortes de la saison, bien que difficile à porter, pas certain qu’il fasse l’unanimité.

Enfin, cet été, on devient feignant car ce sont les baskets à scratchs qui remportent le prix de la basket incontournable pour 2018. Les tennis feront également partie de la danse avec des semelles très visibles composées de détails futuristes.

Les imprimés pour l’été 2018

Les imprimés s’en donnent à cœur joie cet été avec l’ethnique, le denim et les fleurs. Il y a également les rayures avec du rose, du jaune ou encore du bleu qui s’invitent sur les semelles de vos chaussures d’été. Vous en trouverez sous toutes les formes que ce soit sur vos tongs de plage, sur vos nouvelles sneakers ou encore sur votre plus belle paire de talons.

Les talons à porter avec élégance

Bien que certains produits restent indémodables comme les talons à brides, cet été, on ressort un ancien concept : les talons hauts carrés. Avec cette tendance, nous gardons les deux pieds sur terre tant ces chaussures apportent du confort. Le talon carré donne une bonne assise à l’instar du talon compensé. En ce qui concerne les escarpins, ils seront garnis de petits nœuds tendances durant tout l’été 2018.

Fin d’été

 

 

Les dernières capucines s’épanouissent,

Exubérantes et colorées au rebord du balcon,

Lointain, le soleil couchant embrase  l’horizon

De somptueux chatoiements qui meurtrissent

Nos yeux, de leurs rouges et fauves incandescences

Avant de sombrer ,immuable, vers l’absence.

 

Le calme du soir engourdit doucement l’ esprit

qui se laisse envahir d’un bien-être ignoré,

Se reposant enfin des tracas du jour passé.

Des odeurs montent encore des parterres fleuris,

Mais déjà menacées par l’oubli automnal

A nos portes déjà  , comme un présent fatal.

 

C’est la fin de l’été qui s’annonce , la nostalgie s’installe,

Dans nos coeurs déroutés par le soudain silence

 perce le regret des rencontres estivales,

Des bonheurs partagés , des fou-rires qui s’élancent !.

Mais rien n’est dit encore, on retient  les soupirs

Pour vivre encore un peu le plaisir qui s’enfuit.

Les otaries mises à l’honneur au Parc Asterix

     Avant l’été, le Parc Asterix a mis en place beaucoup de nouveautés afin d’attirer encore plus les visiteurs. Parmi ces nouveautés, nous trouvons la forêt d’Idéfix, un espace destiné aux jeunes enfants. Mais la bonne surprise pour moi, a été la partie consacrée aux otaries, au début du spectacle des dauphins.

 

Un petit comparatif 
 

   Je suis allée au Par Asterix il y a deux ans. Je ne me souviens pas avoir beaucoup vu les otaries. Toute l’attention était portée sur les dauphins. Une otarie avait simplement fait une brève apparition au début du spectacle, pour montrer quelques figures.

 

    Je suis retournée au Parc Asterix au mois d’Août, et là, toute la première moitié du spectacle n’était consacré qu’aux otaries. Elles étaient cinq ou six. Pendant toute cette partie, les otaries s’amusaient à voler les objets que leur soigneurs posaient. C’était très amusant. Elles glissaient sur le sol au rythme de la musique.

Continuer la lecture de « Les otaries mises à l’honneur au Parc Asterix »

L’été est bien trop court …Profitons -en !

Quoi de plus magique que l’été ?
Avec cette chaleur accablante, tous les soucis s’envolent.
Il fait chaud, il fait torride dans ce Gard où je coule des jours heureux.
J’entends encore des gens se plaindre de cette chaleur étouffante mais ceux-là se plaindront toujours, qu’il fasse chaud ou froid. 

Continuer la lecture de « L’été est bien trop court …Profitons -en ! »

Les ministres ont-ils le droit de prendre des vacances ?

 

 

 

 

Cette année, on a l’impression, pour diverses raisons, que la question des vacances des ministres se pose. Ne devraient-ils pas continuer leur mission pendant cette période, comme pendant le reste de l’année ? Bref un ministre a-t-il le droit de prendre des vacances comme les autres Français ?

 

Le Monde rapporte que le Premier Ministre lui-même aurait suggéré à plusieurs de ses ministres de dire au Président qu’ils vont être « tous crevés » et « qu’ils ont besoin de vacances ». Donc, pour lui cela ne ferait pas l’ombre d’un doute que les ministres doivent partir en « vraie vacances » ! Mais de peur de passer pour des tire-au-flanc les ministres n’auraient pas osé poser la question à François Hollande ! Alors Jean-Marc Ayrault aurait décidé de le faire lui-même ! "C’est une question de bon sens : nous sommes des humains, nous avons tous besoin de nous ressourcer. Les Français le comprennent très bien, c’est un faux débat", a expliqué, M. Ayrault  aux journalistes.

 

Sans attendre la réponse, le Premier Ministre aurait dit à ses ministres de prendre de vraies vacances alors que le Président aurait, lui, « un concept de vacances plus réduit » ! En fait, le Président semble assez marqué par ses vacances d’août 2012, où il s’est ennuyé à Bréganson, alors qu’on publiait des photos de lui et de sa compagne à la plage et qu’on lui reprochait, via les médias, son inactivité à lui qui avait promis de « redresser rapidement le pays » ! Les observateurs politiques avertis ont aussi remarqué que c’était le début de sa chute dans les sondages !

 

Tout se passe comme si le Président voulait donner l’impression que le gouvernement et lui même ne seront pas « vraiment en vacances » ou, du moins, qu’il faut montrer que la France est bien gouvernée pendant cette période où la plupart des Français en profitent pour débrayer ! Comme s’il voulait ne plus donner prise à ceux qui lui reprochent de gouverner mollement et encore plus l’été ! Donc, pour cela, il à fixé la date de départ en vacances après le prochain Conseil des Ministres, le 2 août avec une limite : 19 août, date du séminaire de rentrée. Il a aussi assorti les vacances des ministres de consignes, afin de ne pas prêter le flanc à ceux qui choisiraient le moment pour les accuser de ne pas s’occuper des affaires de la France…

 

Ils devront passer leurs vacances en France métropolitaine et surtout « rester joignables » et rentrer rapidement sur Paris si l’actualité l’exige et puis, il faudra qu’ils se montrent sur le terrain… Autant dire que ce ne sera pas de vraies vacances pour tous. Cela risque d’être pire que pour ces cadres qui pendant les vacances sont connectés avec le boulot ! Disons, qu’au mieux, les ministres connaîtront des vacances studieuses ! Mais il semble bien que depuis l’année dernière pour François Hollande et depuis que opinion avait reproché à Nicolas Sarkozy ses vacances bling-bling sur un yacht, le Président actuel soit persuadé qu’on lui reprochera toujours le simple fait de partir… en vacances ! Donc, cette année, il alternera seulement une semaine avec son Premier Ministre et s’est sûr que cela passera inaperçu !

 

Le Figaro, y voit un risque « d’épuisement professionnel » et considère que « ne pas couper du tout peut s’avérer contre-productif ». Ce serait vrai pour des cadres ordinaires mais pour des ministres ayant une forte résistance au stress et le goût d’exercer un pouvoir, cela devrait sans doute les protéger, bien qu’ils doivent, comme tout humain, récupérer un peu de temps en temps… Mais je pense qu’ils doivent savoir s’organiser pendant l’année pour le faire sans attendre l’été…

 

Oui, pour moi, nos gouvernants ne peuvent pas, étant donné leurs responsabilités, prendre des vacances comme le Français lambda. Gouverner, malgré les difficultés que cela peut poser, c’est certainement agir en tout temps et en tout lieu, avec quelques moyens pour le faire bien entendu ! C’est pourquoi le compromis adopté par François Hollande sur cette question n’est pas satisfaisant. Les vacances des ministres ne ressembleront pas forcément à celles des autres ! Oui, je crois qu’il vaudrait mieux reconnaître qu’il n’y a pas de vraies vacances possibles l’été pour le gouvernement, sauf sur de très courtes périodes et pas tous en même temps. Pourtant, on a vu fleurir la carte des lieux de vacances de nos ministres dans la presse… Donc, on fait comme si… les ministres avaient encore droit à des vacances !

 Sources Le Monde, Le Figaro, RTL

(Photo: carte – capture d’image sur le site huffingtonpost.fr)

 

 

 

 

Les vacances sont-elles vraiment indispensables ?

 

 

 

 

Les vacances on les a rêvées, on les a réservées. Lorsque le jour J arrive, on veut en profiter ; on veut se reposer un peu ; on veut voyager ; on veut visiter ; on veut lire les livres qu’on a pas eu le temps de lire pendant l’année, on veut prendre le soleil ; on veut se baigner à la mer… Mais parfois, les vacances sont trop courtes ou trop longues ! Il y a ceux qui partent et ceux qui n’y vont pas… On en parle le moment venu dans tous les médias… Il y a la France des vacances, surtout l’été, pour peu que la chaleur soit de la partie, elles peuvent être très agréables ou au contraire devenir galère… Poser la question de la nécessité des vacances, c’est donc presque y répondre, mais ce sujet mérite qu’on en fasse un peu le tour !

 

La définition « des vacances » vaut qu’on commence par là… Vacances vient du latin vacare qui signifie «être sans » ou « être vide »… On devine l’idée : être en vacances, ce serait « se vider de tout ce qui nous occupe », ou plus exactement : ce serait une période de temps de quelques jours, semaines, voire mois pendant laquelle une personne cesse son activité habituelle professionnelle, scolaire, etc.. pour se reposer et parfois partir en voyage d’agrément.

 

Sans vouloir trop aller dans le détail historique, il faut se rappeler que se sont les habitants des villes qui, ayant un rythme de travail régulier toute l’année, ont éprouvé la nécessité d’un arrêt, alors que les agriculteurs, eux, avaient un temps de travail en fonction du climat. On sait aussi que souvent la fermeture des écoles et universités l’été devait permettre à certains d’aller faire les moissons dans les champs !

 

Mais c’est au XX ème siècle que les vacances ce sont totalement démocratisées. Dans certaines familles, on a transmis jusqu’à aujourd’hui, l’évènement du Front populaire qui en 1936 a institué « les congés payé » de deux semaines. Depuis 1981, nous en sommes à 5 semaines… Avant cette "invention des congés payés", les vacances ne concernaient que l’aristocratie et la bourgeoisie qui avaient l’habitude de se déplacer de temps en temps vers leurs résidences secondaires…

 

Donc généralement, nous disposons d’un temps de vacances et de repos ! Mais ne faisons nous que nous reposer et faire le vide ?  Déjà, il faut avoir les moyens de se les payer, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. L’an dernier six Français sur dix étaient partis en vacances. Cette année, on nous a dit sur les ondes que seulement 48 % des Français comptaient s’octroyer « de vraies vacances ». Si les vacances sont indispensables, tout le monde ne peut y accéder et il faut bien comprendre que certains en seront privés ! Pourtant les vacances semblent avoir une place très importante dans la vie des Français…

 

Au départ (voir notre définition), on pouvait penser que les vacances, c’était d’abord faire le vide et se reposer. C’est tout ! Si certains en rêvent encore, ils sont de plus en plus nombreux à remplir leurs vacances d’activités diverses et pire, ils sont de plus en plus nombreux a rester connectés avec leur lieu de travail, grâce aux nouveaux moyens de la technologie ! Alors oui, pour ceux-là, il est indispensable de faire un effort pour parvenir un jour peut-être à « de vraies vacances déconnectées » !

 

Oui, mais les vacances,  ce n’est pas que « le vide et le repos » ! Sandra Hoiban du Département "Conditions de vie" du Crédoc, écrit dans le Plus du Nouvel Observateur :

« Les vacances jouent aussi un rôle important dans l’accès à la culture : plus d’une visite sur deux d’un lieu de patrimoine (château, monument, musée) a lieu en dehors de la région d’habitation, à l’occasion de vacances. La sociologue y voit aussi « un moment privilégié d’échange et de lien social », en faisant le constat « que les deux-tiers des vacanciers se logent chez des amis ou de la famille » ! Donc les vacanecs sont aussi indispensable pour faire le plein de culture et d’échanges !

 

Les vacances auraient, semble-t-il, la vertu de procurer un peu de bonheur aux Français, ce dont-ils ont tant besoin ! Un psychanalyste dirait certainement que l’homme « en manque de lui-même » prend des vacances pour combler ce vide ! Les vacances , c’est d’abord le vide, mais en général, on en fait un évènement et on cherche tous à le remplir ! C’est pour nous, en général, une période indispensable qu’on renouvelle, au moins une fois par an ; et là, on en profite en principe pour vivre autrement, souvent comme on l’a imaginé, parce qu’en vacances on a le temps (en principe) ! Et, en plus, si l’espace est payant, le temps est gratuit…

 

Finalement, les vacances modernes, ce n’est vraiment pas le vide car on se lance dans diverses activités : visites, plages, sports, détente, etc.. et les vacanciers heureux vous expliqueront, que si ce n’est pas « faire le vide », c’est quand même une façon de se reposer et de se détendre, puisque quand même tout le monde a ce droit là avec la liberté qu’on y attache ! Mais attention, il ne faut surtout pas céder à la peur de se sentir inutile pendant ce temps de vacances ! Vous imaginez les cadres, qui sont hyperoccuppés et qui ont de grandes responsabilités dans leur boîte, ne rien faire pendant leurs vacances ! Certains ont trouvé la parade… prendre de brèves vacances répétées à diverses périodes  et depuis le lieu de vacances, téléphoner tous les jours à leurs collaborateurs restés au bureau et envoyer des mails puis se faire rappeler ! Autant dire que pour les vacances, ce n’est ni le vide, ni le repos. Pour ceux-là, les vraies vacances déconnectées seraient plus qu’indispensables ! Il y a donc vacances et vacances ! J’ai relevé, sur un site qui donne des conseils, cette perle : « Sinon, vous pouvez aussi prévoir des vacances qui vous empêchent d’accéder à internet : radical ! Un safari dans le fin fond de la Tanzanie ? »…. Je suis sûr qu’on peut se déconnecter avec des vacances moins chères… en cas de besoin (se déconnecter du boulot, mais pourquoi pas continuer à se servir d’internet, comme loisir !) !

Mais il n’est sans doute pas nécessaire de convaincre les Français que les  vacances sont « indispensables » si on en croit les statistiques communiquées par Le Parisien qui écrit : « les Français sont cependant ceux qui prennent le plus de vacances, avec 30 jours en moyenne par an, soit plus que la moyenne européenne (26 jours) et bien plus que la moyenne mondiale (15 jours). Par ailleurs, 60% des Français déclarent n’avoir jamais annulé ou repoussé des vacances pour des raisons professionnelles ». C’est rassurant, lorsqu’on est Français, on aime les vacances et on y tient, malgré les sirènes de « l’ultra libéralisme » qui voudrait quand même que le temps passé au travail soit plus important et qui eux ne sont pas toujours convaincus de la nécessité des vacances ! Toujours selon ce journal, les Français préfèrent ausi « les vacances d’été ». « l’été est la saison de vacances préférée pour les trois-quarts des Français (contre 12% le printemps). Si la plage est le passe-temps favori (à 41%), la deuxième occupation préférée est la pratique sportive. La France se classe ainsi 4e dans le classement des vacances les plus sportives, ex-aequo avec l’Allemagne et le Brésil. Le numéro un est Taïwan, suivi par l’Espagne et le Danemark, puis l’Argentine.
Le séjour "romantique" est, selon cette étude, la troisième occupation favorite des Français en vacances (14%). Un niveau bien inférieur aux moyennes européenne (16%) et mondiale (19%), souligne l’étude.

 

Par contre pour les vacances « connectées », nous sommes les champions. « Enfin, plus de la moitié des Français (53%) consultent régulièrement en vacances leurs e-mails et messages professionnels, une proportion très supérieure à la moyenne européenne (30%) et mondiale (42%). Les ressortissants de pays du Nord de l’Europe «déconnectent» beaucoup mieux. Il ressort finalement que le profil dont les Français se rapprochent le plus est celui des Brésiliens, selon l’étude : «Amoureux de l’été, profitant de beaucoup de vacances», mais n’arrivant pas à déconnecter du travail, etc.. «  (toujours selon les statistiques publiées par Le Parisien) !

 

Finalement, la question de « l’indispensabilité » des vacances parait évidente. Je n’ai trouvé aucun argument qui plaiderait de manière convaincante contre les vacances ! Le seul problème, c’est que trop de gens sont encore reliés à leur travail lorsqu’ils sont en vacances… Encore un effort et les vacances seront de meilleure qualité pour le plus grand nombre !

 

En espérant que chaque lecteur me laissera dans les commentaires une petite réponse à la question « Les vacances sont-elles indispensables, selon vous ? », je vous souhaite de très bonnes vacances !

Sources Le Parisien, Le Nouvel Observateur, 20 minutes,

(Photo : capture d’image sur le site 20minutes.fr)

 

 

 

 

Euthanasie, Eugénisme, Gender, et comment le retour en force « Catho » sera de la partie

 

En France, l’été 2013 aura donc commencé dans la convergence de faits divers pour le moins symboliques, outre leur pénibilité ou cruauté bien réelles.

L’horizon des vacances s’ouvrît alors que les portes d’une prison se refermaient sur ce qui s’apparente à un prisonnier politique, coupable selon son avocat Maître Benoît Gruau de « rébellion » avec opposition de conscience à faire un test ADN, selon le procès verbal. Un étudiant prometteur n’ayant aucun antécédent judiciaire était donc interpellé avec vigueur lors d’une manifestation s’affichant comme pacifique au regard des images visibles sur le Net. En parallèle de veilleurs chrétiens priant notamment sur la place des Invalides en pareille opposition de conscience face aux prolongements attendus du fameux « mariage pour tous », ce jeune homme vînt juste protester devant M6, alors que la chaîne recevait le chef de l’exécutif. Pendant que l’émission se déroulait encore rencontrant un niveau d’audience étrangement faible pour une interview du président de la République, le jeune « Nicolas » ne tarda pas à être mis en garde à vue. Il passera l’été en prison. Le grand soulèvement populaire inattendu qui marqua tous ces derniers mois a t-il son premier martyre ? Au travers d’une sanction politique entendant « faire un exemple ». A la rentrée, sa libération sera « pour tous ».

En veille d’été, Lourdes n’aura pas été sans vivre un déluge. Les intempéries tombaient elles aussi comme les barreaux d’une prison sur la « ville sainte ».

Dans la même période, les réseaux sociaux firent circuler le visage d’un sosie supposé du président actuel, sosie assumant le sacerdoce d’un prêtre, alors que le pape François recevait 29 sénateurs et 16 députés français. A travers l’accueil de ces derniers, il invitait le pouvoir actuel à "apporter aux lois l’indispensable qualité qui élève et anoblit la personne humaine en y insufflant « un esprit, une âme, qui ne reflètent pas uniquement les modes et les idées du moment".

Les droits de l’Homme rencontrant une prison française, la ville chrétienne française la plus emblématique vivant un cataclysme, et le pape « recevant la France » pour la première fois. Le hasard des circonstances ? Notre pays n’a peut être jamais été aussi observé, souvent avec une inquiétude certaine, alors qu’il est soumis à un bouleversement de repères, à la hussarde, des lois touchant à l’essentiel étant présentées et portées comme de simples décrets relevant de l’économique ou du social. Un pouvoir confronté à un rejet rarement égalé dans son ampleur autant que dans la rapidité entend donc imposer les chapitres de son programme comme si ce dernier fut approuvé jusqu’à la moindre virgule par le peuple de France. Démocratie ?

 

Le hasard n’étant pas de ce monde, le fait le plus marquant pour le pays durant ces derniers mois pourrait être venu d’ou l’on s’y attendait le moins, dans un étonnant retournement ou pied de nez de l’Histoire. Un « remariage » de la France avec sa « famille » initiale, dans le creuset de ses valeurs originelles, serait-il engagé ? 

Face aux nouvelles réformes promises pour la rentrée et la fin de l’année, il semble bien que le « retour Chrétien » porte en lui quelque chose d’indispensable dans une telle conjoncture politique. La « moralisation » pourrait bien venir par le peuple, outre les éléments de langage émanant d’une pseudo élite ayant perdue toute crédibilité pour la permettre. Après l’été, une nouvelle offensive « Catho » ?

Depuis longtemps « Catho » semblait recouvrir la critique la plus acerbe frappant d’anachronisme quiconque la subissait. La nouvelle religion laïque masquant souvent la promotion de l’athéisme redoublait d’arrogance dans sa suprématie apparente ou savamment promue médiatiquement. La « modernité » serait-elle forcément athée et dénuée de toute véritable spiritualité ? La nouvelle religion obligatoire porterait donc des valeurs marchandes, reposant sur une réseaucratie de cooptation élitiste tenant à bonne distance le brave peuple ?

Depuis la rentrée 2012, à l’occasion de plusieurs manifestations, des millions de citoyens auront enfin décidés d’affirmer publiquement et puissamment  leur croyance, dans le respect de toutes les autres. Le principal « coming out » ne vint pas du rivage attendu à l’occasion du mariage homosexuel. Il fut d’abord celui des Catholiques. Le concert de la Bastille fêtant une supposée conquête législative avancée par les promoteurs du mariage homosexuel ne rameuta pas les foules, seulement quelques centaines de personnes. Le concert « pour tous » ne le resta qu’en théorie. Certains tableraient aujourd’hui sur de prochains mariages de vedettes homosexuelles pour que la loi « historique » le reste, un peu. Le cœur n’y est déjà plus, l’attention des français non plus. Chacun se souvient par contre que l’esplanade des Invalides exigeant au minimum 300000 personnes pour être comble s’afficha en effet pleinement remplie d’opposants jusque dans tous les boulevards annexes, à flux tendu, à plusieurs reprises. Du passé ?

Plein d’avenir. Vers des « Indignés Spirituels » ? Le champ d’action deviendrait international. La France en aurait été le berceaau.

Comme le disait Robespierre en personne quelques mois après la Révolution de 1789 pour avoir pensé qu’elle échoua « n’oubliez pas que le peuple est vertueux » au-delà même des lois votées, chose qui ne dispense pas de les respecter. Mais, chacune peut être réécrite ou contredite un jour. Il brûlait alors en place publique une statue de l’athéisme, reconnaissant ainsi la nécessité du Spirituel ou du Sacré dans une société. Plutôt que d’officialiser prématurément l’étrange « théorie » du Gender dans les manuels scolaires, théorie tendant à affirmer que le bas ventre de chacun ne serait qu’une vue « culturelle » de l’esprit, chacun gagnerait plutôt à y rétablir les faits Historiques, les vrais, pas les modes passagères évoquées par le pape François.

Révolution ? Tout indique que la « Manif-Pour-Tous » fera date en préambule de bien des changements futurs, qu’il s’agisse de Démocratie ou d’engagement citoyen revivifié, voire même, de la « mission » retrouvée de la France.

La société prétendue démocratique fonctionnant beaucoup autour d’un rapport de force, combien de « bataillons » Catholiques à l’heure actuelle ? La déchristianisation souhaitée par certains aurait-elle le champ libre ? Pas si sûr.

Certes, dans une enquête récente l’institut CSA semble aller dans le sens d’une perte d’influence du Catholicisme. En 1986, plus de 81 % des Français se disaient Catholiques, passant à 69 % en 2002, et 56 % en 2012. D’autres études avancent le chiffre de 52 % de français se disant encore plus ou moins Catholiques. La proportion de Français s’affirmant d’une autre religion progresse à contrario, évoluant de 3,5 % en 1986 à 9% en 2002, et jusque 11 % en 2012. Que la Manif-Pour-Tous ait pu faire évoluer les choses ? Probablement, les « Cathos » ne baisseront plus la tête. 

Même si l’institut CSA prétend que cette tendance à la déchristianisation pourrait donc se confirmer et que les « sans religion » constituent « d’ici 20 ou 30 ans » le principal groupe au sein de la population française, il n’est plus exclu que ce récent soulèvement du peuple de France traduise un élan contraire à ces prédictions. Le visage d’une France à terme majoritairement athée dépendrait surtout de la manipulation mentale effectuée sans cesse par de faux prophètes de « com » spécialisés en modelage des pensées ?

Qui aurait pu imaginer il y a seulement un an qu’à plusieurs reprises, tant de français, pourraient descendre dans la rue suivant une chef de file affirmant sa Foi dans des livres, articles ou émissions ? La valeur « famille », la dimension sacrée de l’Enfant, le respect du Vivant face à la « culture » de mort (facilitation de l’euthanasie, « prostitution » de ventres féminins avec la GPA, bidouillage permissif en laboratoire avec la PMA, salle de Shoot, etc), bien sûr que la Manif-Pour-Tous reposa premièrement sur le socle du Christianisme, à moins qu’il ne s’agisse de la véritable force de « civilisation ».

La religion Catholique reste donc à ce jour majoritaire en France. Après cette grande manifestation décomplexée, elle pourrait bien croître. La « fille aînée de l’Eglise » en a vue d’autres. Outre les imperfections ou travers de l’institution qui la représente, elle demeure. Elle reste un marqueur identitaire pour beaucoup de Français face à la marchandisation mondiale, ou l’émergence d’autres religions disposant parfois d’un soutien médiatique supérieur. Elle coule dans les veines de la Mémoire française. Aucun prosélytisme ici, ce ne sont que des faits. Le Catholicisme est écrit dans l’environnement quotidien au travers d’hagiotoponinymes, d’édifices religieux, de croix et calvaires au carrefour, de l’Histoire. L’athéisme obligatoire pour tous, comme la théorie du Gender imposée aux enfants de France ? Le combat ne ferait que commencer.

Et si le « calvaire » des vilains « Cathos » résistant à la déchristianisation venait de se transformer ces derniers mois en résurrection ? L’été prépare la rentrée.

La France marque par un État Laïque depuis la Loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat datant du 9 Décembre 1905. Cette séparation longtemps assimilée à la disparition souhaitée de l’une au profit du second pourrait donc s’être récemment équilibrée. Un Arbre n’échappe jamais à ses racines. La fraternité retournerait-elle à sa source initiale ?

Il est à noter que cette France des valeurs Chrétiennes ne saurait se réduire à la conception ou aux apriorismes en vigueur en région parisienne. L’ignorance qui caractérise parfois le regard de celle-ci sur le reste du pays explique en partie la « surprise » ressentie à la Capitale face à l’ampleur de la Manif-Pour-Tous. Selon la même enquête de CSA il ressort que la répartition territoriale des Catholiques en France s’avère très hétérogène.

Si le Catholicisme marque par un affaiblissement dans son rayonnement en Île-de-France, ou sept des huit départements sont parmi les 10 départements où la proportion de citoyens se disant Catholique est la plus faible, il n’en est pas de même sur tout le territoire.

En région parisienne la disparité est manifeste s’agissant de la présence Catholique. Elle atteint ainsi 38% en Seine-Saint-Denis, 42% à Paris et 47% dans les Hauts-de-Seine, au niveau des croyants revendiqués. A contrario, les Yvelines demeurent le département francilien le plus Catholique avec 52%. Ailleurs, un niveau plus élevé encore est observé, notamment dans le Calvados (58%), dans la Loire-Atlantique (63%) et en Vendée (67%). A l’Est, la Meurthe-et-Moselle et la Moselle recouvrent respectivement 69% et 74% de citoyens qui s’y affirment toujours Catholiques. Les départements situés au Sud du Massif Central recouvrent eux aussi dés niveaux très élevés, environ 70% de Catholiques assumés

Déchristianisation ? Le regard erroné de la petite micro société parisienne vivant en Rive Gauche sous l’ornière de ses derniers fantasmes soixante-huitards, recouvrirait bien des vues de l’esprit, et pas toujours le plus lumineux.

Comme ce réveil d’une certaine France (encore majoritaire) le laisse à penser, la perte d’audience de l’Eglise Catholique ne rime pas automatiquement avec une perte d’influence. La persistance d’un clivage religieux demeure sur certains sujets de société, autant que la puissance et l’efficacité des réseaux catholiques à même de fortement mobiliser. Le bon maillage dont disposent les hautes autorités Catholiques sur tout le territoire permet de compenser la baisse du nombre de vocations et de pratiquants réguliers. Il n’est pas anodin non plus de constater la prise en compte croissante de la presse Chrétienne. Ses éditorialistes accèdent enfin aux débats politiques ou sociétaux dans les médias. Dire que l’ostracisme longtemps en vigueur aurait disparu serait faire preuve d’un optimisme exagéré. Mais quelque chose de plus important semble avoir été inauguré durant le soulèvement récent du peuple Chrétien de France. Un grand ressourcement de l’engagement citoyen ?

Certaines réponses policières perçues par les opposants au mariage homosexuel comme des pratiques dignes de l’ex URSS ne pouvaient réellement surprendre. Un « prisonnier politique » en France ? La puissance de la Manif-Pour-Tous a fait voler en éclat bien des certitudes, jusque dans les techniques de gestion des conflits. Au sein même des forces de l’ordre des serviteurs de l’état (quelques photos en attestent) n’auront pas été non plus sans marquer en privé leur désapprobation et souffrance éprouvée de part l’obéissance hiérarchique à des exigences d’autorité pour le moins, inappropriées. Les médias étrangers s’en font encore l’écho. Peut-on réprimander une « bande » de veilleurs pacifiques de la même façon que des footeux ivres ? Il semble bien que ce fut le cas. Le débat sur l’objection de conscience ne ferait que commencer. Gardons en mémoire toute la nouveauté des pratiques « militantes » apparues. Notons que les masses de manifestants restent totalement pacifiques et respectueux depuis le vote « assez » accéléré de la loi concernée.

La première nouveauté de ce mouvement populaire était visible, extérieure, concrète. Loin de se limiter à l’appel à manifester au travers de défilés, l’audace de certaines initiatives plus modestes n’aura pas été sans surprendre et innover. L’humilité peut avoir une force immense. Les petits groupes de veilleurs, les marches de mères au nom de l’Enfant (« Les Mer-veilleuses »), certains slogans issus de Gandhi dans l’affirmation de « non violence » et de « puissance » dans la paix, autant de choses jamais observées préalablement durant les manifestations syndicales plus conformistes, dépassées ? Le conservatisme n’est vraiment plus ou on le pense en général.

A plusieurs reprises une masse de citoyens aura donc défilée pour les valeurs les plus essentielles, sans véritablement demander quoi que ce soit pour eux même, hormis le retrait ou la réécriture d’une Loi. La novation du « pour tous » n’a pas finie de rassembler, au-delà des frontières françaises, tel est son sens même.

Il ne s’agissait pas de fonctionnaires s’élevant contre les privilèges supposés accordés au camp privé d’en face, aucune exigence salariale ou statutaire, les arguments n’étaient que de conscience ou, de Foi. La réponse qui y aura été apportée fut occasionnellement tellement choquante que le mouvement de masse ne peut qu’être en sourdine. La rentrée ? Elle pourrait être brûlante dans la convergence des millions d’humiliés au seuil de pauvreté et des plus « riches » Spirituellement, les deux se mêlant parfois.

Plus de la moitié des français auront été meurtris. Les plus hautes autorités ne se seront pas même adressées directement à cette masse pacifique de citoyens, rien, seulement une guerre des chiffres et l’adoption en totalité d’une Loi, sans aucune concession aux opposants. Et un emprisonnement. Qu’il soit possible et durablement recevable sur un tel sujet de société de répondre « circulez il n’y a plus rien à dire » ? Avec un peu de recul tout cela apparaît plus inquiétant encore. Les quelques petites centaines de parisiens qui fêtèrent le fameux mariage « bis » illustrèrent surtout la dimension d’un lobby. La Démocratie aurait été mise en minorité.

Pour tout ce que ce soulèvement de masse aura représenté de la France dans ses valeurs les plus ancestrales, pour toute la fraîcheur pacifique ou novation démocratique révélées à cette occasion, pour le retour du peuple avec moins de débordement que lors de la remise récente d’un prix au PSG, pour l’affirmation nouvelle dans la forme et dans le fond d’un engagement de conscience, il serait assurément insensé de penser que ce grand mouvement en reste là. A l’international, la Manif-Pour-Tous pourrait bien trouver un second souffle lui permettant de revenir en France plus forte encore.

Face au Nouvel Ordre Mondial, que le peuple de France soit à l’initiative d’un Nouvel Ordre « Moral » ? Certes, le mot est galvaudé. Aux « Indignés » plus idéologiques pourraient bien succéder ou se joindre des « Indignés Spirituels » ? En Conscience.

Alors que la marchandisation du libéralisme capitalistique entend réduire les êtres à la « hauteur » de son système de consommation, voir la conscience des peuples se soulever laisse en effet espérer un avenir meilleur, encore possible. Le combat ne sera plus seulement économique et social, mais aussi Spirituel. Toute Religion est digne de respect, chaque croyant ou personne athée pareillement. Le respect premier de l’Humain ?

L’objection de conscience trouvera t’elle partout un fondement nouveau, législatif, général ? La Démocratie ne saurait permettre durablement la « dictature » idéologique d’une minorité, quelle qu’elle soit. L’intérêt général, dont tout président est logiquement le garant, ne saurait se soumettre à un lobby. Alors ?

Le Pape François tomberait-il à point nommé pour incarner à l’international le retour du Spirituel ou de la « morale » (le vilain mot !) tout en restant dans la proximité ? Le champ du Politique ne pourra s’en soustraire. La « laïcité » se verrait partout « invitée » à retrouver sa mission première de veiller à la liberté Spirituelle, de tous.

La Doctrine sociale de l’Eglise fut le creuset de bon nombre de progrès sociaux. La « philosophie » la plus éclairée qui soit, constitutive du Christianisme (sans réduire celui-ci à une philosophie) pourrait grandement contribuer au rempart attendu contre une société de consommation sans foi ni loi, afin que l’être humain ne soit jamais à vendre ou bradé, pas plus les enfants ou les vieillards que les plus fragiles ou pauvres, dénués de toute « performance » ou rentabilité sonnante et, trébuchante. Le Christianisme pour éviter la chute ? Bien des athées ont aussi une foi dans l’Homme, tout cela peut se réunir.

Euthanasie, recherche instrumentalisée et mercantile sur l’embryon, Gpa et Pma, mariage toujours plus décomposé, marchandisation des enfants…tout cela se heurtera t’il désormais au mur puissant et pacifique « Catho » ? Les « Indignés Spirituels » viendront-ils opportunément resituer l’Homme au cœur de la Cité ? Le cas échéant en s’y « manifestant » de façon visible, et invisible, comme l’est la Conscience

 

Guillaume Boucard

Télévision : Quel été chez Canal+ ?

L’été est arrivé ce vendredi 21 Juin avec notamment la fête de la musique qui a été un énorme succès sur France 2 qui s’est placé en tête des audiences ce soir là. Alors que les programmes habituels que l’on voit toute l’année vont partir en vacances, des programmes plus estivaux arrivent très prochainement sur toutes les chaînes de télévision. De son côté, Canal+ inaugure sa grille d’été dès lundi prochain après la fin du "Grand Journal" et donc le départ de Michel Denisot qui sera remplacé à la rentrée de Septembre par Antoine de Caunes.

 

Au départ, le "Grand Journal" de Canal+ devait se terminer au cours du mois de Juillet mais l’annonce de Michel Denisot a semble t-il chamboulé la programmation de la chaîne cryptée. En effet, après de longues années à la présentation du "Grand Journal", Michel Denisot a préféré se retirer pour la saison prochaine. 

 

Cet été, les téléspectateurs de Canal+ ne verront donc pas le "Grand Journal" tout comme "La Matinale" ou "La Nouvelle Edition", deux émissions diffusées respectivement le matin et le midi. D’ailleurs, la chaîne cryptée ne reconduira pas sa matinale la saison prochaine en raison des audiences bien trop faibles. A la place du "Grand Journal" et de Michel Denisot, la chaîne proposera Le "News Show", une émission connue de la chaîne qui a déjà été présentée par Bruce Toussaint puis Ariane Massenet. Cette année et pendant tout l’été, c’est Maïtena Biraben qui présente "Le Supplément" chaque weekend, qui animera cette quotidienne estivale. 

 

Après le "News Show" qui sera diffusé chaque soir entre 19 heures et 20 heures, les téléspectateurs pourront retrouver la série "Workingirls" qui suit le quotidien de plusieurs femmes au sein d’une entreprise, un "Caméra Café" exclusivement féminin en quelque sorte. Ensuite, c’est un best-of du "Petit Journal" qui prendra le relai.

 

Le samedi soir, Canal+ proposera le "Jamel Comedy Club" ainsi que l’émission de Thierry Ardisson, "Salut les Terriens !". Enfin, fin Août, les téléspectateurs retrouveront la grille de rentrée de la chaîne avec Antoine de Caunes dans une nouvelle version du "Grand Journal" de Canal+. A 18 heures et en quotidienne, Thomas Thouroude qui anime déjà chaque dimanche soir "L’équipe du dimanche", animera une quotidienne sur la culture pop. Le "Petit Journal" de Yann Barthès ne sera plus diffusé vers 20 heures mais vers 20 heures 30 juste après le "Grand Journal" comme cela a été le cas lors du festival de Cannes.