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Les libérations de terroristes se succédent..
Ignacio de Juana Chaos, activiste sanguinaire, n'éprouvant aucune compassion pour ces victimes, continuant son exaltation à travers le quotidien basque GARA…
De 3000 années de prison, Juana Chaos n'aura purgé que 21 années de sa peine...
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Une voiture piégée a explosé hier vers 14 heures près d'une caserne de la Guardia Civil de Calahorra, dans la communauté autonome de La Rioja dans le nord de l'Espagne. On ne déplore heureusement qu'un blessé léger en plus des dégâts matériels importants.
Les façades de deux immeubles ont été sérieusement endommagées et des morceaux de l'automobile ont été projetés à plusieurs dizaines de mètres. L'unique victime serait un policier atteint par des bris de verre lors de l'explosion.
Mais si l'explosion qui s'est produite à une heure de grande influence en raison des processions de la semaine de Pâques n'a pas fait un carnage, c'est parce que les autorités avaient reçu un appel téléphonique de l'organisation séparatiste armée basque (ETA) les avertissant de la présence de la bombe. Ainsi, le quartier et les environs ont pu être évacués avant l'explosion de la voiture piégée.
Le secrétaire d'État à la Sécurité, Antonio Camacho, s'est joint au millier de personnes qui se sont rassemblées aujourd'hui devant les mairies de La Rioja pour dénoncer cet acte criminel commis par l'organisation séparatiste armée basque.
Pour rappel, l'ETA qui est classée comme organisation terroriste par l'Union européenne, combat depuis près de quarante ans pour obtenir l'indépendance de la région basque s'étendant du nord-est de l'Espagne au sud-ouest de la France. La France et l'Espagne collaborent depuis de nombreuses années pour venir à bout de ce groupe terroriste.
L'Espagne se prépare aux élections législatives. Le rendez-vous électoral de dimanche prend une tournure dramatique. Les séparatistes basques de l'ETA s'invitent de la pire des façons, en commettant l'irréparable.
Vendredi, l'assassinat de Isaïas Carrasco, éxécuté devant son épouse et l'une de ses trois filles, devant son domicile à Mondragon (pays basque), illustre la bestialité des terroristes.
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Selon la radio nationale, les deux hommes prévoyaient d’abandonner une voiture piégée dans le parking du centre commercial et d’affaires Asca (abritant de nombreux magasins, bureaux d’entreprises et à proximité du stade Bernabeau) le 9 mars, c’est-à-dire deux mois à peine avant les élections législatives.
Les deux membre interpellés seraient, de plus, deux des trois auteurs de l’attentat du 30 décembre 2006 à l’aéroport de Madrid qui avait causé deux morts, d’après une déclaration du ministre de l’Intérieur espagnol. Ce même attentat à la voiture piégé qui avait été commis au court de la trêve de l’ETA car la fin officielle du « cessez-le-feu permanent » n’avait été déclarée que six mois plus tard.
La crainte que l’ETA tente de commettre une attaque afin de peser sur les élections met les forces de sécurités espagnoles en alerte.
Alors que le garde civil espagnol, hospitalisé depuis samedi dans un état très grave (il était en mort cérébrale) après avoir été atteint par des tirs d'un commando présumé de l'ETA à Capbreton est décédé mercredi matin à Bayonne , on apprend l'arrestation d'un couple en Lozère.
L'homme et la femme interpellés mercredi, soupçonnés d'appartenir à l'ETA, étaient armés et sortaient d'un hôtel situé dans cette localité, selon les premiers éléments de l'enquête.
"Il s'agit du couple que les gendarmes recherchent activement depuis trois jours", a précisé une source proche de l'enquête, sans révéler l'identité de l'homme et de la femme. Ils avaient en leur possession une forte somme d'argent en liquide et "parlent avec un fort accent espagnol" a-t-on poursuivi. Ils ont été placés en garde à vue a-t-on ajouté sans autres détails. Immédiatement avertie, la minsitre de l'intérieur Michèle Alliot-Marie a salué le travail des forces de l'ordre et a demandé que soit vite identifié les coupables.
Raul Centeno avait 24 ans et a été tué sur le coup tandis que son compagnon Fernando Trapero qui en avait 23 avait été grièvement blessé et est mort ce matin vers 10 H 30.
L'ETA est tenue responsable de 819 morts en 39 ans de lutte pour l'indépendance du pays basque. Ce sont des terroristes qui s'en prennent à des innocents pour faire entendre leur voix … leurs bombardements plutôt … Les moines du Tibet, eux, marchent en silence, ne font ni bombes, ni morts, en se faisant peut-être entendre plus ! Et dans un pays où ce genre de rassemblement peut coûter la mort !
L'ETA qui a rompu son cessez-le-feu depuis le 5 juin, annonce une reprise des hostilités envers le gouvernement espagnol…
Le groupe armé révolutionnaire basque a envoyé un communiqué aux journaux basques Gara et Berri, dans lequel il annonce sa volonté de continuer à frapper l'Espagne.
4 attentats ont également été revendiqués. Celui contre le tour de France en Navarre, le 25 juillet, l'attentat de Durango le 24 Août, celui de Castellon le 26 et l'attentat de Rioja le 2 septembre.
Depuis le 5 juin, date de la reprises des hostilités, les forces de police ont fortement affaibli l'ETA, grâce à divers opérations coordonnées. 22 membres du groupe ont en effet été arrétés, principalement en France, mais également en Espagne, au Canada et au Mexique.
Ce dimanche était déjà classé rouge par les autorités espagnoles en raison des retours de vacances, mais les embouteillages ont franchi un cap rarement atteint lorsque plusieurs routes durent être fermées à la suite d'un appel téléphonique des terroristes de l'ETA avisant qu'ils avaient posé 5 bombes en différents points stratégiques des autoroutes de Guipúzcoa, Burgos, La Rioja et Cantabria, bombes qui devaient exploser entre 15 heures et 17 heures.
Peu de temps après, une première bombe explosait près de Fuenmayor, dans la province de Cantabria dans le nord de l'Espagne. La bombe, de faible puissance, n'a provoqué ni victime, ni dégât matériel important, mais elle était suffisante pour confirmer l'appel téléphonique et la menace proférée.
La Guardia Civil et des spécialistes des services anti-explosifs se sont donc déployés dans les provinces indiquées par les terroristes et ont parcouru en vain les principales routes à la recherche d'autres explosifs.
Après s'être assurées de l'absence de danger pour la population, les autorités ont rouvert les routes, mais le chaos était indescriptible, et le groupe terroriste ETA avait réussi à faire parler de lui… serait-ce une réponse aux différentes arrestations de leurs membres qui ont eu lieu en France ?
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Le dispositif antiterroriste vient de faire, une nouvelle fois, la preuve de son efficacité. L’interpellation de quatre individus, à Cahors, la découverte d’un arsenal, qui met à jour l’imminence d’un attentat.
Des policiers français, des membres de la garde civile Espagnol ont réussi un joli coup de filet. L’un des suspects appréhendés n’est autre que l’artificier historique de la fraction armée du groupe indépandantiste basque.
Le terrorisme est l’arme des laches…
Luis Ignacio Iruretagoyena Lanz, le spécialiste des bombes et des explosifs de l’ETA, figure parmi les suspects. L’artificier historique, sous les verrous. Depuis la sinistre annonce du cessez-le-feu, du groupe basque, le dispositif antiterroriste français a fait étalage de son efficacité. 22 personnes arrétées, la majorité sur le territoire français, portant un rude coup à la nébuleuse basque.
Les spécialistes du terrorisme sont formels. La cellule était opérationnelle et s’apprétait a commettre un attentat. Un véritable arsenal a été découvert. Le salon de la maison, transformé en laboratoire, démontrait l’importance de cette arrestation. Explosifs, détonnateurs, bombe ventouse, l’attirail ne laisse place au doute. Un attentat à la voiture piégée se préparait.
Une base opérationnelle mis hors d’état de nuire. La nébuleuse basque se voit à nouveau désorganisée. Les autorités Espagnoles affirment qu’il ne faudra pas longtemps à l’organisation pour mettre en place, une nouvelle équipe. Des représailles sont à craindre et le dispositif antiterroriste est placé sous des charbons ardents. La coalition franco-espagnole a démontré son efficacité, et tisse déja les mailles du filet…
Les derniers évènements en Grande-Bretagne et en Espagne ont précipité cette réunion . La recrudescence du terrorisme semble , une nouvelle fois , s’installer .
Michèle-Alliot Marie a convoqué les responsables de la sécurité intérieure , pour une mise au point . Les dispositifs de sécurité seront certainement accrus dans les prochaines heures …
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Un Espagnol de l'organisation séparatiste basque ETA a été interpellé en Haute-Loire et placé en garde à vue au commissariat delermont-Ferrand. Il y est entendu par les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire.
Le jeune homme âgé de 27 ans appartient à l'appareil logistique du groupe clandestin. L'interpellation a été menée par les gendarmes qui ont remarqué une fourgonnette blanche stationnée dans un petit chemin de Mavalette (Haute-Loire), non loin de St-Etienne(Loire).
Le jeune homme dormait à bord d'un véhicule, signalé volé et muni d'une fausse plaque d'immatriculation. Il était armé d'un pistolet automatique 7,75 et détenait des munitions.
Les gendarmes ont également découvert du matériel permettant de voler des véhicules, de fausses plaques d'immatriculation, de faux papiers, de l'argent, un sac de couchage ainsi qu'un téléphone portable.
Le suspect a déclaré appartenir à l'ETA avant de se murer dans le silence.
