Les libérations de terroristes se succédent..

Ignacio de Juana Chaos, activiste sanguinaire, n'éprouvant aucune compassion pour ces victimes, continuant son exaltation à travers le quotidien basque GARA…

De 3000 années de prison, Juana Chaos n'aura purgé que 21 années de sa peine...

http://www.lepost.fr/article/2008/08/02/1235551_espagne-eta-tension-autour-de-la-liberation-de-ignacio-de-juana-chaos-leader-de-l-eta.html

La vidéo de la libération de l’un des plus sanguinaires activistes du mouvement séparatiste basque ETA.IGNACIO DE JUANA CHAOS…On pouvait montrer notre indignation face à la libération de Nathalie Menigon et Jean-Marc Rouillan, anciens membres du groupuscule terroriste « ACTION DIRECTE », criminels notoires. Certes certaines personnes estimeront que ces individus ont payé leurs dettes, et donc que leur libération est la suite logique des applications d’un code pénal complètement dépassé dans ce type de situations. La réclusion criminelle à perpétuité devrait être effective, au vu de la dangerosité de ces personnes, qui n’oubliant pas, n’ont témoigné aucun repentir.Juana Chaos soulève l’indignation en Espagne. Un lien pour vous montrer le parcours horrifique de ce terroriste :http://fr.wikipedia.org/wiki/Inaki_de_Juana_Chaos

Il faut se remémorer que Juana Chaos avait été condamné à une peine cumulée de 3000 années de prisons pour 25 assassinats, alors qu’il était le responsable du « COMMANDO MADRID » L’individu n’a démontré aucun repentir, au contraire il étalait sa liesse à chaque nouvel attentat attribué au groupe séparatiste. D’ailleurs à ce titre, il avait publié des articles pour le moins virulent, dans le quotidien séparatiste basque GARA. Une tribune perçue à l’époque comme une apologie du terrorisme :http://cspb.unblog.fr/2006/11/08/248/Une interview de Juan Chaos :http://cspb.unblog.fr/2006/09/23/entrevue-dinaki-de-juana-chaos-du-1409/José Luis Rodriguez Zapatero déclarait vendredi soir :« Je ne peux qu’avoir qu’une opinion : il faut respecter la justice, mais cet individu suscite chez tous les citoyens, et bien sûr chez le chef du gouvernement, une sensation parfaitement compréhensible de mépris »Personnellement je pense que le gouvernement espagnol, par l’entremise de l’outil judiciaire, s’est tout simplement résolu à cette libération, de peur de voir Juana Chaos décéder dans les geôles espagnoles, devenant ainsi un véritable « martyr » pour le groupe séparatiste basque ETA. Une décision « politique », dans l’espoir de voir se terminer cette lutte sanglante. En quarante années de terreur, ETA est responsable de la mort de 823 personnes, un nombre conséquent de blessés, meurtris dans leurs chairs, et des familles anéanties de douleur…