Le Poulet… Sur le Grill !!!

Selon un vieil adage, dans le cochon tout est bon, mais selon les tendances des nutritionnistes et autres diététiciens, pour parfaire un régime rien ne vaut le poulet, qui est encore meilleur !
Effectivement, nul ne contestera que cette volaille présente toutes les qualités, en matière de nutrition équilibrée et peu calorique.
De plus, les recettes permettant de l’accommoder existent par centaines, allant de la cuisson sans matière grasse à celle dite à la vapeur…
Ainsi trouve-t-on sous diverses formes et dans tous les commerces alimentaires, des barquettes attractives à l’attention des grands consommateurs de poulets que nous sommes…
Mais qu’en est-il réellement ?

Le souci, c’est que les industriels, désireux de faire du profit avant toute chose, n’ont pas hésité pour répondre à une demande des consommateurs toujours plus importante, à imaginer au mépris de toute éthique, des méthodes permettant de « produire » des poulets de manière intensive, et surtout pour un coût moindre.
Ainsi se retrouve-t-on, face à des animaux qui ont certes l’aspect des poulets que l’on a toujours connu, mais qui sont en réalité le plus souvent génétiquement modifiés, pour grandir plus vite donc en un minimum de temps de « maturation », comme c’est déjà le cas pour des viandes comme celle du porc.
De ce fait, la viande de poulet n’a-t-elle plus les mêmes qualités nutritives et nutritionnelles.
Des tests ont révélé la présence d’OGM, d’antibiotiques, de divers produits chimiques et de texture, et plus alarmant, une grande quantité de graisse.
Bref, exactement l’inverse de ce que l’on est en droit d’attendre en matière de viande maigre, pour rester en bonne santé…
Sachant que la volaille, est la viande la plus consommée dans l’hexagone depuis 2012, bien avant le bœuf et juste après le porc, il est grand temps selon les nutritionnistes, de s’inquiéter et de tenter d’y voir plus clair…

Avant toute chose, rendons hommage à un précurseur en son temps, qui voilà près de 50 ans s’était inquiété de voir l’intensification des tous premiers « élevage intensifs », et surtout des conséquences absolument catastrophiques de ces méthodes, sur le bien-être des animaux.
Cet homme était un modeste éleveur de vaches laitières, du nom de Peter Roberts, né en 1924, et fondateur en 1967 de la « Compassion in World Farming ».
Considéré à ses débuts comme un original, il n’en fut pas moins un extraordinaire visionnaire.
En France, la « Compassion in World Farming » existe sous le nom de « Compassion dans l’Agriculture (l’Élevage) Mondiale », bien qu’ayant conservé l’acronyme de CIWF, rendant ainsi hommage au fondateur Peter Roberts décédé en 2006.

Selon CIWF France, sur environ 845 millions de poulets élevés chaque année en France, plus de 80 % proviennent d’élevages intensifs.
Et dans ce type d’élevage, ces malheureux gallinacées se partagent un espace vital d’un mètre carré pour 7 à 22 spécimens, ce qui pour être plus parlant représente la surface d’une feuille de papier A4 par animal !
Des laborantins américains ont publié une étude, dans laquelle ils révèlent que les viandes issues de ce type de production, contiendraient 224 % de graisse supplémentaire, par rapport à ce que l’on peut trouver chez des volailles élevées en milieu naturel, ou du moins non-intensif…
Un simple coup d’œil, permet de détecter cette graisse sur les « mauvais blancs de poulet », elle est caractérisée par des stries blanches à la surface de la viande et après découpe à l’intérieur.
En outre, ces poulets souffrent durant toute leur courte existence, de terribles douleurs chroniques, et de pathologies diverses qu’il faut traiter en permanence avec des produits pharmaceutiques, dont on nous cache la teneur chimique, et bien entendu, les conséquences sur la santé humaine.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il me semble que nous sommes bien loin de cette fameuse « viande à régime »… Non ?

Bien que l’étiquetage des volailles soit d’une extrême complexité, permettez-moi de vous aider à choisir un peu mieux votre viande de poulet, en fonction de ce qui est noté sur ses emballages.

Sachez que nombre d’éleveurs misent sur la qualité, et, la différence de prix même sur des marques distributeurs, entre une viande bas de gamme et une viande milieu de gamme, est souvent dérisoire.
Prenez le temps de comparer, pour vous en rendre compte par vous-même.

– Comment bien choisir son poulet ? :

– Dans un premier temps, bannissez l’achat de toute barquette de poulet, ne portant pas de mention particulière, l’absence de ces dernières est synonyme de « poulet élevé en batterie ».

– Un poulet de marque est, en principe, bien mieux nourri, et surtout abattu plus tardivement, donc après un délai de « maturation » dit correct.
Toutefois bien lire l’étiquette pour éviter les mauvaises surprises, afin d’y déceler par exemple la nature de l’alimentation.

– Attention au piège de l’étiquetage « Poulet Fermier », qui ne répond contrairement à ce que l’on pourrait penser, à aucune obligation de qualité, et n’est rien d’autre que ce que l’on appelle une « Appelation-Marketing ». Rien ne peut donc garantir, que ces poulets n’ont pas été élevés en batterie.

– Le poulet estampillé « Label Rouge », répond quant à lui, à des critères de qualités contrôlés, tel qu’un élevage avec une croissance lente, ainsi qu’un abattage dans un délai minimum de 81 jours. De plus, il est nourri avec des céréales et farines riches en protéines végétales.
Les antibiotiques sont prohibés, et pour terminer, il passe ses journées en plein air.

– Le poulet estampillé, AB, est également un animal élevé en plein air, mais vous êtes garantis en sus, qu’il est nourri exclusivement avec des aliments issus de l’agriculture biologique. Et le plus intéressant, est qu’il ne contient pas d’OGM.

– Enfin, considéré comme la Rolls-Royce du poulet, la mention AOC (Appellation d’Origine Contrôlée), est réservée en exclusivité aux volailles de Bresse (France). La qualité de sa chair est incomparable, mais hélas son prix reste trop élevé, pour que l’on puisse l’inviter à son menu avec régularité.

Dyonisos.

(Sources diverses sur internet, et revues papier)

Les Désaxés

 

Le salon de l’agriculture s’est positionné en ce début d’année en pleine crise de l’agriculture.

     Il a mis en exergue l’expertise de nos agriculteurs, l’attention qu’ils mettent dans l’élevage de leur cheptel, la passion qui se traduit dans l’élaboration de leurs produits et il a renforcé le soutien qui doit leur être apporté au travers de notre civisme alimentaire.

     La vitrine ainsi présentée est une fierté pour le Pays, même si cela cache bien des difficultés, celles là mêmes qui ne seront probablement pas considérées par les gouvernants…avant la fin de l’année…donc pas avant les élections.

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Mon livre de bord : à la découverte du Cantal

 

Voilà une région que je découvre au fil des jours.

Pour nos vacances, cette année, nous avons décidé de visiter le Massif Central et plus particulièrement le Cantal. Ma préférence allait à la Haute Loire ou au Puy de Dôme, mais les

locations que j’avais trouvées étaient un peu chères pour moi.

Le Cantal : une région dont on parle peu et pourtant présentant des paysages et des villes très différentes les unes des autres.

C’est aussi une région accueillante, conviviale et peu touristique.

 

Les Monts du Cantal sont peu connus à part le Puy Mary et le Plomb du Cantal ; pourtant on trouve des monts et des volcans à perte du vue par ici.

Les vallées sont profondes, les ruisseaux courent au creux des vallées et on peut apercevoir au flan des collines de petits hameaux perchés là, disséminés parmi les bois de feuillus ou d’épicéas.

On se demande même parfois comment les maisons peuvent tenir accrochées ainsi au flanc de la roche, le vide en dessous.

 

 

                                              

 

 

C’est dans l’un de ces petits villages qui se meurent doucement mais inexorablement que notre gîte se trouve. La Commune a racheté la Cure et d’autres habitations pour les rénover, en faire des gîtes et les louer ainsi

 

Cela rapporte quelques centaines d’euros chaque saison à la commune et cela lui permet de survivre. Car ici, il n’y a pas de jeunes ; ils sont partis à la ville. On ne trouve ni pharmacie, ni bureau de tabac, ni boulangerie, encore moins de boucherie ou tout autre commerce. Le seul commerce du village fait dépôt de pain, épicerie, bureau de poste, restaurant, bar et propose un service internet !

 

Pourtant, les gens sont accueillants, souriants et n’hésitent pas à venir faire un brin de conversation avec vous.

C’est de là, donc que partent nos randonnées. Tout d’abord, faire le tour du village : cela paraît simple et pourtant, cela nous a pris : 4 heures !! d’une route à l’autre, d’un chemin sur la droite à un autre sur la gauche, le tour s’est élargi pour faire une bonne quinzaine de kilomètres ! Nous avons ainsi pu découvrir bois et prairies, des tracteurs parfois anciens, des agriculteurs coupant le foin ou d’autres le mettant en bottes ou en rouleau ; de grands rapaces qui planent à la recherche de leur repas, des vaches qui ruminent, de petits veaux repus d’avoir tété le pis de leur mère.

 

                                                   

 

Ici, les vaches sont belles, elles ont une superbe couleur caramel au lait ; les taureaux se distinguent par leur coloris plus sombre et une large tache plus claire sur leur dos. Il est vrai que l’Aubrac ou Salers ne sont pas loin et la réputation des races à viande.

Le fromage fait partie de nos repas : c’est même une obligation ! Car ici toute la cuisine se fait avec du fromage : de la tome, du fromage de Cantal à la pâte plus dure, du Saint Nectaire et bien d’autres AOP.

Nous avons bien l’intention de goûter à la truffade, à l’aligot, ou encore à la tartiflette auvergnate, à la tarte au Saint Nectaire, à la Coupétade, au pâté de pommes de terre, au bourriol, au pounti et j’en passe !!

Après cela, rien de mieux qu’une bonne randonnée de 4 heures vers le Plomb du Cantal au fort dénivelé ou vers le Puy Mary plus prisé et plus frais.

Ici, les randonnées ne manquent pas, il faut simplement bien s’équiper : un bâton, une bonne paire de chaussures montantes et un vêtement chaud ou un Kway au cas où le temps changerait

brusquement !

Comme hier par exemple :

Nous étions partis pour visiter la ville de Mauriac. Départ par 32° à l’ombre, très chaud donc et ciel bleu sans nuage. Arrivé sur place, le vent s’est levé, de gros nuages sont arrivés de l’ouest et en quelques minutes le ciel s’est mis à gronder.

Nous étions à peine sortis de la voiture et pourtant nous avons décidé de faire demi tour en voyant les terrasses se vider et les commerçants ramasser leurs parasols.

Quelques kilomètres plus loin, nous avons essuyé des trombes d’eau puis de retour au village, l’orage était passé et on pouvait encore en voir les signes : rigoles sur les routes, grandes flaques d’eau, et puis le barbecue rempli d’eau.

 

 

Mais le Cantal ce n’est pas simplement des montagnes, ce sont aussi de grands plateaux, ou bien des lacs artificiels appartenant à EDF fermés par un barrage pour produire l’électricité dans la région.

Ces lacs sont le bonheur des sports d’eau et des pêcheurs, ils s’étendent à perte de vue, sont souvent traversés par de grands viaducs pour aller d’une montagne à l’autre.

C’est ainsi que nous avons découvert le lac de Sarrans ou les gorges de la Truyère près de Sainte Marie ou Paulhenc.

 

                                                      

Et ce n’est que le début de nos vacances, il y a tant à voir.

A suivre donc…..

 

 

 

 

 

Le baudet poitevin passe la Manche

En 1977, avec seulement une quarantaine de têtes, la race du baudet du Poitou était moribonde. À présent, l’espoir de la voir se survivre, voire prospérer, est permis. Grâce aux efforts de l’Asinerie du baudet du Poitou, d’une association de sauvegarde, la Sabaud, mais aussi de particuliers… Comme la Britannique Annick Pollock qui, dans l’Hampshire, accroît son élevage déjà fort de 22 têtes. Soit un peu plus de deux pour cent d’une population mondiale trop éparse pour en assurer encore totalement la sauvegarde.

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Les vaches à cornes bientôt au zoo

Brigitte Bardot a bon dos… Hormis les Angus, Galloway et quelques autres races écossaises, ou des îles britanniques, les vaches sans corne sont généralement mutilées : on leur cautérise les embryons de corne – les cornillons – vers six semaines ou, plus tard, on les écorne. Derniers argument des généticiens adeptes des OGM, créer des mutantes qui n’auraient pas à souffrir de ce type d’intervention. En fait, il s’agit surtout de faire en sorte qu’elles prennent moins de place à la mangeoire… 

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Le bon filon de l’élevage d’esturgeons en Gironde.

 

C’est après 1920 que le caviar s’est largement développé en Gironde, après qu’une princesse Russe en visite dans la région se soit offusquée de voir les pêcheurs locaux jeter les œufs des esturgeons femelles. Certains opportunistes se sont par la suite  lancés dans l’élevage spécifique des esturgeons et produisent aujourd’hui du caviar de qualité, vendu à l’échelle mondiale.

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Le retour à la terre de nombreux Grecs.

 

Le contexte actuel de crise économique et financière, qui perdure en Grèce depuis de nombreux mois, amène de nombreux grecs à quitter les grandes villes, pour revenir dans leur village d’origine, se recentrer sur le travail de la terre, de façon à pouvoir survivre en investissant dans de nouvelle activités agricoles.

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Pourquoi un chien LOF d’élevage coûte-t-il aussi cher ?

Lorsque l’on décide de prendre un chien, plusieurs solutions s’offrent à nous. La première étant d’adopter un chien en refuge ou en association, la seconde d’acheter un chien chez un particulier (attention dans ces cas là à n’avoir que les frais de vétérinaire à payer soit maximum 200-300 euros) ou alors de prendre un chien LOF dans un élevage sérieux.

J’ai souvent entendu des phrases du genre "Mais qu’est ce qui justifie un prix aussi élevé ?", "Pourquoi prendre un chien à 1000 euros en élevage alors que je pourrais en avoir un à 500 euros chez un particulier ?", dans cet article je vais donc essayer de vous expliquer ce qui justifie ces prix.

Un chien LOF coûte de 900 jusqu’à plus de 2000 euros selon la race, l’élevage et la lignée  des parents.

 

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Etre femme d’agriculteur (4ème article).

Je peux vous dire que les femmes agricultrices sont  des « pionnières » et des « innovatrices », par contraste avec la majorité. En effet, j’observe l’émergence d’un potentiel des femmes « actrices ». Les femmes agricultrices ont un niveau d’instruction plus élevé; elles écoutent;elles regardent; elles lisent plus de masse média;elles participent plus aux institutions sociales et aux associations; elles ont plus de facultés d’empathie et des aspirations plus élevées; elles sont plus ouvertes au changement en général,elles sont capables d’une grande mobilité géographique et ont une grande capacité d’adaptation aux situations diverses.Toutes ces caractéristiques nous permettent d’etres informées et plus « ouvertes » que les « autres ».

Les femmes agricultrices ont un savoir-faire ancien. Les agricultrices se servent de leurs acquis dans le domaine de l’élevage et de la transformation.Les femmes s’occupent depuis toujours des activités qu’elles développent aujourd’hui. Elles savent déjà gérer un élevage, transformer des volailles, faire du fromage…Partout en France, ce sont les femmes qui s’occupent de l’élevage, transforment les produits et les écoulent sur le marché. Production et transformation ne s’effectuent pas sur les mêmes produits selon les régions, mais elles se réalisent souvent de façon artisanale dans chaque exploitation. Bien que les travaux des champs et plus généralement l’ensemble des travaux agricoles soient de plus en plus assistés de machines et requièrent de moins en moins de forces, le critère de la capacité physique est encore explicitement ou implicitement à la base de la répartition actuelle des tâches sur l’exploitation. C’est bien dans la mesure où l’homme est amené à travailler en priorité aux travaux de foorce qui se font dehors (travaux des champs, ensilage, alimentation du gros bétail…) que le femme va se voir réserver toutes les tâches moins « pénibles » (traite, petit élevage, comptabilité…) qui se déroulent dans et à proximité de la maison. L’« Intérieur », c’est à dire la maison et son extension vers l’étable et la basse-cour, est le domaine de la femme, tandis que les champs constituent le « dehors » réservé à l’homme. « traditionnellement, c’étaient les femmes qui élevaient la volaille pour avoir des liquidités pour aller au marché, donc je pense qu’il y a une tradition qui s’est héritée… ».Quand j’ai lancé la diversification, je commençais à connaître un petit peu l’élevage. Je peux parler aux gens de l’alimentation…et c’est vrai que ça m’aide surtout maintenant pour l’accueil à la ferme pour parler aux gens… c’est vrai que c’est important de bien connaître l’élevage avant de faire la diversification, je crois que c’est très important . Il faut être crédible quand on fait des choses comme ça.

 

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Le choix d’un chien selon la race.

 Force est de constater que nous sommes parfois bien ennuyés quand nous voulons prendre un chien. Quelle race choisir et pourquoi, sont des questions qui reviennent sans cesse et qui sont par ailleurs assez importantes.

En effet, avant de choisir son chien, il faut se poser quelques questions. Veut on l’acheter dans un élevage? Si la réponse est oui, certains chiens coûtent jusqu’à 1500euros, et certains doivent être encore plus chers. L’avantage est que vous savez d’ou provient l’animal, ce qui est tout de même essentiel quand on se dirige vers des races comme le cane corso, le rott, ou bien le doberman. Toutes ces races qui doivent être équilibrées en fait pour éviter les dangers potentiels.

Selon son mode de vie (appartement, maison); mais surtout le temps que l’on pourra lui consacrer, les races diffèrent bien évidemment. Certains chiens ayant besoin de davantage se dépenser que d’autres. La vie en maison ou en appartement n’a souvent aucune importance, car le chien va partout ou se trouve son maitre et s’habitue a tous les environnements. Mieux vaut un chien en appartement qui fait de longues balades avec son maitre qu’un chien dans une maison avec un jardin dont on ne s’occupe quasiment jamais.

Les races de type Cane, Doberman ou encore bien d’autres, se révèlent être d’excellents gardiens. Dissuasifs, ils empêcheront quiconque avec de mauvaises intentions de s’approcher de chez vous. Dans la rue, ils sont pour leur maitre de vrais garde du corps. Je pense ici au cane corso, qui est très très proche de son maitre, et qui peut être particulièrement méchant et dangereux en cas d’agression. 

Certaines races au contraire ne sont pas faites pour garder et protéger un terrain ou une maison. D’autres ne peuvent pas courir pendant des heures, et sont à éviter si l’on désire faire son jogging avec son animal par exemple.

Dans les élevages, j’ai remarqué que les prix étaient très approchants, et le coût d’un chien s’élève généralement à 1200 euros. (cane, doberman) mais pour d’autres races, je ne sais pas.