Législatives : on a vraiment voté comme des c…

Une seule triangulaire (LRM-LR-FN dans la 1e de l’Aube) et même un candidat (Hayek, 5e Paris) n’ayant recueilli aucune voix. Désolé, mais « on » (vouzôtres) a vraiment voté comme des c…

Je me souviens d’avoir fait (ailleurs qu’ici) une projection « fondée » (projection, mon fondement, aurait dit Zazie du Stif) sur la participation aux présidentielles : ma boule de cristal me renvoyait quelques rares quadrangulaires et des triangulaires en veux-tu, en voilà. De quoi envisager un second tour des législatives palpitant et bla-blatant à l’envie sur les chances et malchances de telle ou tel. Petite consolation, mais alors toute petite, j’avais aussi supputé que Marie Sara, DVD investie par La République en marche avec pour suppléante l’ex-candidate PS, Katy Guyot, ravirait son siège à Gilbert Collard (FN) dans la deuxième du Gard. Elle se place seconde, talonnant (écart de 0,13 %, 48 voix) le sortant. Si les trois, oui, trois, candidats et candidate écologistes ne sont pas trop anti-corrida, Marie Sara a quelques bons espoirs de l’emporter au soir dominical sur l’araignée Collard et de me préserver du ridicule. S… de compatriotes qui priveraient l’écrivaillon écrivore, maniaco-expressif et marathonien-claviste, d’occasions de multiplier les chroniques électoro (bravo) sportives.

Pêche à la ligne, piège à touches

L’abstention, inouïe à ce niveau (pour des législatives, aux cantonales, il faudrait vérifier), bloque les touches du clavier. Enfin, du mien. Pas totalement, il est vrai. Mais c’est à peine si je peux me rabattre sur le score d’Alexandre Hayek dans la cinquième lutécienne. 0 % – peu original, il en est d’autres, ailleurs – mais avec zéro voix, même pas la sienne. Reportera-t-il son absence de voix sur Benjamin Griveaux (LRM) ou la sortante Seybah Dagoma (PS) ? Dans cette circonscription, le taux d’abstention a été de 41,32 %, privant l’écolo Julien Bayou, soutenu par Gaspard Delanoë (0 % dans la 16e, à 8,60 % d’écart avec J.-C. Cambadélis qu’il défiait, mais très populaire dans le 10e arrondissement), d’une place au second tour… Imaginez un peu que la participation ait permis une triangulaire. Pour éviter l’hégémonique République en marche, sans trop désavouer la sortante PS n’ayant pas démérité, le trublion Bayou, troisième seulement d’une encolure, arrivait dans un fauteuil au palais Bourbon. Là, oui, on pouvait parler de renouveau. Sans la moindre animosité personnelle (aucun parent, même à la mode de Bretagne, aucun ami ou aucune connaissance parmi elles et eux) à l’encontre des Républicains promeneurs – voire badauds – de LRM, j’espère bien que « vous » (bande de p’tits inconséquents) allez vous reprendre et déjouer les pronostics. En allant voter au second tour et rogner au moins la crète de la vague déferlante. Allez les « bobos » et « la bourgeoisie traditionnelle de droite », tous « à vomir » selon Henri Guaino (sur BFM), et toutes et tous les autres, ressaisissez-vous, et laissez-moi une chance (telle la blonde du concours de blondes) de saisir à en abondance une bombance d’anecdotes électorales insolites. Comment espérer allitérer à foutraque foison avec pareille abstention ?

Après le capitaine de pédalo…

Déjà marre du Macron allant voter en vélo au Touquet après, tel un Fillon inaugurant un TGV, avoir emprunté Falcon et hélicoptère pour s’offrir une photo opportunity. Macron, Fillon, même signature carbone (avec feuilles homonymes sur le rouleau de ma vieille Azertyuiop Royal portative « fabriquée sous contrôle des troupes alliées en Allemagne occupée » pour copier des tracts à distribuer dimanche prochain). Abstentionnistes, résistez, prouvez qu’autrement vous pouvez exister ! Josiane (Balasko), toi qui soutenais le candidat communiste, reviens voter près du Splendid pour la Seybah… Le Griveaux n’est même pas grivois. En sus, la bande à Macron veut priver les gazettes de potins et ne nous bassiner que de commentaires sur les projets de loi. De quoi favoriser encore l’abstention… Josiane, avec tes copines, fais de Paris un Macao-sur-Seine et que bouillonne le sang écarlate d’un électorat résolu au reflux du tsunami héliporté ! Sois la Déroulède vengeresse désillusionnant le cycliste d’occasion et sa petite reine. On n’a pas dégagé un Sarko à vélo en couverture de Paris-Match pour y retrouver une Brigitte à bicyclette se la jouant Carla sur selle sauce normande. Le choix est simple : Lassalle (Jean) ou la selle. Éconduire et reconduire (la sortante parisienne et le Béarnais, entre autres). Votants contre volant (en Falcon), tel est l’enjeu de la seconde boucle législative.

Taxes et impôts sournois…

Si je viens égratigner la sphère socialiste en place, sans doute va-t-on me faire remarquer à juste titre d’ailleurs, que les gouvernements précédents et successifs n’avaient pas réussi à faire mieux.
Mais il faudrait tout de même être de mauvaise fois, pour ne pas reconnaître qu’en matière de lois passées en force, d’autres que je qualifierais de « sournoises « , car instaurées dans le secret le plus total, sans parler des mesures qui ont mis la France à genou sous couvert de l’écologie, ce dernier gouvernement détient (ce n’est pas moi qui le dit, mais l’ensemble des économistes européens), le record en matière de « gestion catastrophe » d’un pays.
J’avoue d’ailleurs humblement avoir cru comme beaucoup lors des dernières élections présidentielles, que François Hollande avait le profil d’un « sauveur » pour notre pays, car je n’aurais jamais pu imaginer qu’un homme, puisse proférer autant de promesses mensongères dans le même programme !

Voici une des dernière augmentation que j’ai constaté, qui n’est autre qu’une nouvelle majoration d’impôt masquée, et dont on se garde bien de parler que vient nous offrir en ce jour le gouvernement socialiste en place, celui-là même que d’aucuns continuent à vénérer en bons moutons aveugles qu’ils sont…

Ce matin même, le prix du litre de « sans-plomb 95 » affichait 1.42€ à la pompe, soit 12cts de plus par rapport à la semaine dernière…
Que voilà un beau cadeau fait aux français étranglés que nous sommes, pour cette fin de quinquennat !

Soyons sérieux et parlons vrai…

Sachez tout d’abord, que le prix à la pompe n’est que très rarement calqué sur la hausse du baril de pétrole, comme on veut vous le faire croire (ce dernier est d’ailleurs stable depuis bien longtemps, du moins ne fluctue-t-il pas au point de générer de telles augmentations), et même si c’était le cas les hausses du prix de vente seraient étalées au niveau mondial, puis national, aux pétroliers, et enfin aux grossistes et revendeurs, au point que nous ne nous en apercevrions pratiquement pas, si ce ne sont quelques centimes de plus au litre… Mais cette fois, on parle de 12cts d’un coup !

Ce qui augmente réellement le prix à la pompe, c’est la TIPP, (taxe intérieure sur les produits pétroliers) en somme un impôt d’état, qui est revalorisé à la hausse ou à la baisse par les membres habilités par le gouvernement, dans les bureaux du ministère des Finances…
Bref, un impôt, laissé à l’appréciation des gouvernements respectifs et successifs de notre pays…
Je ne suis en général pas sectaire en matière d’opinions politiques, je préfère juger de l’homme, plutôt que de l’étiquette qu’il porte sur son pardessus, et du boniment mensonger qui va généralement avec, mais cette fois, quoi qu’en disent les adeptes de la secte Hollande, l’augmentation nouvelle du prix à la pompe, vient de leur bienfaiteur et rien que de leur bienfaiteur, du moins en parfaite harmonie avec les sbires à sa botte, auxquels il demande de saigner toujours un peu plus les Gaulois, sans que cela ne soit ébruité outre mesure. Comme aurait dit Audiard : « là, on fait dans l’feutré ! »
Bravo !!! … C’était presque réussi !
Mais moi, je note le prix du carburant d’un plein à l’autre.

Sachez, et là, je parle en connaissance de cause, pour avoir un membre de ma famille qui « tient » une station-service comme l’on dit, et mes parents en ayant géré une également, que le bénéfice au litre pour le pompiste n’augmente pas en proportion de la TIPP, et vient donc, diminuer le salaire de celui-ci lié à sa marge, ce qui explique les difficultés à continuer leur activité, et le nombre incroyable des petites stations qui ont baissé leur rideau.
Franche rigolade de ceux qui étaient de la partie, quand on a prétendu que ces fermetures, étaient exclusivement liées au manque de sécurité de ces établissements : « de services », ne l’oublions pas, et des mises aux normes à réaliser !
En fait, les marges tronquées, et dans le même temps, l’augmentation des taxes et autres charges, sont les seules et uniques raisons de l’assassinat de cette profession, que tout le monde s’accordait en son temps, à qualifier d’utile à la communauté avec les « services boutiques » associés.

Mon père par exemple, concessionnaire Peugeot jusqu’en 1980, avait signé avec la société ESSO, pour pouvoir exploiter une station-service du même nom, en façade de ses ateliers.
Cette activité, avec l’arrivée des « ESSO-SHOP » avait généré 4 emplois : 2 « Employées boutique » et 2 « Pistards », (nom de la profession donné à ceux qui servaient l’essence).
Je me souviens également qu’en leur absence le samedi après-midi et le dimanche matin, le gamin que j’étais, jouait au « Pistard », ce qui me rapportait juste en pourboires, la coquette somme de 150.00 francs en moyenne par week-end…
En convertissant en euros, qui de nos jours peut se vanter de gagner autant en un « petit week-end » ?
Je vous parle d’un temps bien entendu, où les litres défilaient sur le « volucompteur », plus vite que les francs… D’un temps, je vous l’accorde où le pouvoir d’achat n’avait rien à voir avec celui d’aujourd’hui…

Mais revenons au sujet qui m’égratigne, et adonnons-nous à un petit calcul qui n’a rien de savant…

En comptant en gros 10cts de plus par litre, soit 1€ sur 10 litres, 10€ sur 100 litres, etc… Imaginez ce que cette hausse va rapporter à l’état !
Amusez-vous ensuite, à multiplier ça par le nombre d’automobilistes se rendant à la pompe, sur une base de 20 litres chacun, dans le but (que je suis mauvaise langue !) de se rendre pour une grande majorité le lendemain, dans les bureaux du « Pôle emploi » pour se voir signifier… « Qu’on a rien trouvé pour vous ! »
Heureusement que les annonces du « Bon coin » les soulagent un peu ! (c’est avéré… Je suis mauvaise langue!).
Mais voilà bien, la réalité des choses !

Bon me direz-vous, il fallait bien trouver des pansements pour soigner les blessures de l’état, comme les « portiques taxe carbone » des autoroutes, verrues inutiles et disgracieuses qui ornent les ponts. Les éoliennes plantées en des endroits où le vent est si rare, que l’on doive pour rassurer le peuple de France (j’aurais pu dire gruger), faire tourner les pâles avec un petit moteur électrique, relié lui, ne l’oublions pas au réseau électrique traditionnel. Les vignettes autorisant certains véhicules et pas d’autres, à circuler dans les grandes agglomérations, alors que rien n’est fait pour limiter la circulation des « gros 4×4 » dont on sait qu’ils polluent pour certains plus que la plus polluante des voitures mise au pilori. La liste des incohérences est trop longue pour être citée en totalité, et n’est abordée par des spécialistes, que dans des émissions qui passent tardivement et sur des chaînes où évoluent encore des journalistes, auxquels on ne dicte pas ce qu’ils doivent dire…
Il suffit de consulter le résultat de la cours des comptes, dans la rubrique « dépenses de l’État », pour s’apercevoir que des milliards et des milliards ont été dépensés de manière scandaleusement inutile, et que cet argent est bel et bien sorti de la poche du contribuable, c’est-à-dire : vous et moi !

Qu’allons-nous donc devenir au sortir des prochaines élections ? Entre les promesses fantoches et utopistes des uns, les mensonges à peine dissimulés des autres, et les derniers dont on suppose qu’ils pourraient relancer l’économie alimentaire, aux vues des nombreuses casseroles qu’ils traînent derrière eux…

Personnellement, entre coups bas médiatiques, rumeurs diverses et affirmations mensongères, je n’en vois comme on dit : « pas un pour rattraper l’autre », mais le prochain élu, qu’il soit de droite ou de gauche est dores et déjà à plaindre, car il va avoir fort à faire, pour redresser la barre du bateau ivre dans lequel nous sommes embarqués.

Dyonisos.

Cyberattaque russe contre les Etats-Unis : un événement oublié le 20 janvier 2017 ?

 

Vendredi 16 décembre, Barack Obama convoquait la presse afin de s’exprimer sur les cyberattaques lors de la campagne présidentielle. Le président sortant n’a d’ailleurs pas hésité à accuser la Russie de Vladimir Poutine à ce sujet, accusation loin d’être partagée par le futur président Donald Trump. La prise de pouvoir de ce dernier sonnera-t-elle la fin d’une guerre froide qui n’en finit plus ?

Dans un de ses rapports, la CIA accuse la Russie d’avoir piraté de nombreuses organisations politiques durant l’élection présidentielle dont le Parti démocrate. Il faut préciser qu’il existe 17 agences de renseignement aux États-Unis et que pour le moment, seule la CIA s’engage sur cette voie.

Les attaques visaient les ordinateurs des collaborateurs du parti démocrate, mais également John Podesta, le directeur de campagne d’Hilary Clinton. Des courriels confidentiels de ce dernier ont été piratés. Par la suite, Wikileaks s’est procuré ses emails, qui ont été mis à la disposition du grand public. La publication de ces mails avait pour but de montrer les liens de la candidate démocrate avec les médias, le milieu financier, l’Arabie Saoudite et certaines fondations.

En septembre 2016, lors du sommet du G20 en Chine, le Président américain avait d’ailleurs demandé à Vladimir Poutine de « cesser » les attaques informatiques de la Russie à l’encontre des États-Unis. Il avait menacé le Chef d’État russe de « conséquences sérieuses ».

Russie : Trump et Obama ne s’entendent pas

Le président Obama est loin d’être favorable au rapprochement avec la Russie souhaité par Donald Trump. Il lançait d’ailleurs à ce propos : « Ronald Reagan doit se retourner dans sa tombe ! Comment a-t-on pu en arriver là ? » Il ira même jusqu’à affirmer que la Russie « est un pays plus petit, un pays plus faible… Mais ils peuvent nous affecter si nous oublions qui nous sommes ». Pour appuyer ses dires, le président américain a demandé à ses agences de renseignement de produire un rapport au sujet de ces attaques. Rapport devant lui être remis le 20 janvier 2017.

De son côté, Donald Trump nie les éventuelles attaques russes et affirme que tout cela « est ridicule, ce pourrait être la Chine ou un type assis sur son lit dans le New Jersey ». Selon l’équipe de Donald Trump, « ce sont les mêmes personnes [de la CIA] qui affirmaient que Saddam Hussein avait des armes de destruction massive en Irak ». Trump prend d’ores et déjà le risque de se mettre à dos une partie de l’agence fédérale…

Vers un apaisement du conflit ?

Nicolas Arpagnian spécialiste en cybersécurité explique qu’il s’agit « davantage d’une tension entre Barack Obama et Vladimir Poutine qu’entre les États-Unis et la Russie ». Gérôme Billois, expert en cybersécurité au sein du cabinet Wavestone affirme quant à lui qu’il « est difficile d’identifier les auteurs avec certitude ». Selon lui, il ne faut pas tomber dans l’emballement médiatique qu’il y a souvent lorsqu’on aborde la question russe. « On subit le filtre déformant des médias, alors que la banque centrale russe a été piratée et que la Chine se plaint souvent d’être ciblée ».

Il ne faut pas oublier que les États-Unis et la CIA sont eux aussi accusés d’être à l’origine d’ingérence dans les élections présidentielles de plusieurs pays anciennement communistes (Serbie, Géorgie, Ukraine, etc.) et ce n’est pas la récente affaire Snowden qui viendra lever toutes ces accusations.

Le 19 décembre 2016, le collège électoral américain a confirmé — sans surprise — l’élection de Donald Trump. Ainsi, cette crise devrait être entérinée le 20 janvier 2017 par le Président républicain qui souhaite établir de nouvelles relations avec la Russie. Par ailleurs, il semble peu probable que les agences de renseignements aient le temps de réaliser un tel rapport en à peine un mois. Il semble donc qu’après avoir eu des relations historiquement conflictuelles les deux géants soient prêts à faire leur mea-culpa. Néanmoins, ses dernières volte-face sur ses promesses électorales l’ont bien montré, les promesses de Donald Trump n’engagent que ceux qui les écoutent…

VALLS : « CAPITAINE FRACASSE AU PAYS DES BISOUNOURS » ?

Dimanche dernier, le teint blafard et les joues blêmes, les yeux embués par la terreur, notre Bel hidalgo, comme j’aime à l’appeler, se lamentait face aux caméras, avec des trémolos dans la voix, en disant :

 

« J’ai peur pour mon pays qu’il se fracasse contre le FN ».

 

Cher Manuelo,

 

Permettez moi ce diminutif, vous fûtes maintes fois le sujet  de mes articles en 2012, quand je vous voyais déjà aux commandes de la France.

 

Vous avez peur, pour les français,  mais lesquels ?

Ceux qui n’auront pas voté pour L’UMPS , les 22 et 29  mars prochain ?

Qu’avez vous fait, vous et Bisounours 1er, pour éviter cette situation inconfortable ?

 

Vous êtes vous, au moins, posé la question : POURQUOI

Pourquoi ce désamour envers la politique, et les représentants de cette Politique, qu’ils soient de Gauche comme de Droite ?

 

Les français en ont par dessus la tête du chômage, des impôts et taxes multiples, de la baisse du pouvoir d’achat.

Les français, sont scandalisés par le gaspillage de l’argent public, par l’incompétence, et la précipitation, quand il s’agit de réformer l’Éducation Nationale.

Toutes ces mesures prises "à la va vite" cachent une incapacité à redresser une France moribonde.

 

Les français, noyés dans la marmelade des promesses de la campagne Présidentielle de 2012, promesses qui n’ont jamais donné lieu à une « action » (à part le mariage pour tous, qui, entre nous, n’était pas une priorité, dans l’hexagone agonisant), ne savent plus à quel Homme Politique se vouer, pour retrouver un semblant de sécurité  devant les erreurs cumulées par ceux qui nous gouvernent.

 

Les français qui ont été trahis par une Politique d’austérité, à laquelle ils n’adhèrent pas, ces mêmes français qui espéraient tant, d’un Gouvernement socialiste, pour lequel ils ont voté.

 

Ne vous étonnez pas, si, dans les deux dernières années de ce quinquennat votre électorat empruntera les chemins de traverses, que sont les extrémistes de tous bord.

 

La révolution aura lieu dans les urnes, et se manifestera de deux façons :

Soit les français s’abstiendront, soit ils voteront massivement pour votre pire ennemi : le Front National.

 

 Ce cas de figure ne concerne pas seulement les élections Cantonales des 22 et 29 mars, mais également les Régionales de décembre de cette année 2015.

Quant aux élections Présidentielles de 2017, alors là, ce sera l’apothéose.

 

Cessez de vous lamenter, Monsieur le Premier Ministre, séchez vos yeux pour mieux les ouvrir, mais surtout : AGISSEZ, et ne comptez plus sur un 11 janvier pour remonter dans les sondages.

 

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Victoire du front National : Quand le bonheur des uns fait le malheur des autres

Face au grand sourire affiché par  Marine le pen après l’annonce de la victoire du front national aux élections européennes la classe politique française n’a pas arrêté quand à elle d’exprimer sa tristesse et sa déception et qualifie dans sa grande majorité cette événement de choc et de grand séisme.

Séisme !un qualificatif employé en premier par Jean marie le pen , mais pas dans le sens péjoratif cette fois ci mais bien pour exprimer un triomphe  total… tant attendu !

En effet, pour la première fois, le Front national arrive en tête d’une élection nationale. Avec plus de 25% des suffrages, le FN devance de cinq points l’UMP et distance largement le parti socialiste. Marine le Pen a bel et bien gagné son pari.

Une victoire qui fait jaser pas mal de personnes ; les plus expressifs d’entre eux Jean Luc Mélenchon tête de liste du Front de gauche. Ce dernier qui était au bord des larmes  lors de l’annonce des résultats, n’a pas caché son agacement et sa grande déception en déclarant être très triste pour sa patrie et en qualifiant cette victoire du FN  «  d’éruption volcanique ». Lors d’un débat sur la victoire du FN sur les plateaux de France 2, Mélenchon n’a pas caché son impatience et a préféré quitter le plateau en plein direct en disant : ‘’moi, je me barre !’’

Parmi  les réactions les plus marquantes  enregistrées après l’annonce des résultats des élections européennes,  l’on retient celle de la presse internationale  qui n’a pas manqué de  rivaliser de métaphores  en qualifiant cette victoire par les pires qualificatifs des catastrophes naturelles.

Alors que les manchettes des quotidiens Italiens parlent de « séisme  le Pen » le journal Suédois  « Dagens »  titre à sa une «jordbävning» qui veut dire tremblement de terre. De son coté le Financial Times en Angleterre côtoie le « Séisme » du quotidien espagnol El pais en précisant à leurs lecteurs  que la France est en état de choc.

Et oui !  « Choc », le mot le plus utilisé par la majorité de la presse française à savoir La dépêche du Midi et Ouest France. Ce mot a été également prononcé par le premier ministre Manuel Valls ainsi que par la ministre de l’écologie, Ségolène Royal et par de nombreuses personnalités françaises et étrangères.

En tous les cas, cela n’a pas empêché la présidente du FN Marine le pen de fêter sa victoire dans le très chic 8eme arrondissement de Paris, qui se situe à moins de 100 mètre du ministère de l’intérieur et à 50 mètre du palais de l’Elysée. De là Marine le Pen a déclaré « ce n’est qu’une première étape »

 

EJECTIONS Européennes…

… ou les pensées d’un homme du peuple.

 

Vendredi, en fin de journée, nous avons trouvé dans notre boite à lettre, deux enveloppes ressemblant fortement à celles adressées lors de nos élections habituelles, sur le territoire national.

Quelle surprise !!! On n’attendait plus cet arrivage annoncé du bout des lèvres.

 

Mieux vaut tard que jamais, malgré tout.

Et puis, quel étonnement de constater que tous les visages présentés sont des "étrangers" !

Pas un seul parti présent n’a dû faire la promotion de ses représentants, car seules des têtes inconnues s’invitent dans nos urnes.

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ELECTIONS EUROPEENNES

 

 

Les élections Européennes se profilent, semble-t-il dans l’indifférence générale … exceptée celle des partis politiques qui "fouettent" devant le flou artistique se dégageant de cet évènement.

Mais quelle image le Parlement Européen reflète-t-il dans l’opinion publique ?

Deux aspects viennent à l’esprit des Français, normaux, comme moi :

– le nombre considérable de fonctionnaires et politiques affectés au fonctionnement de la structure,

– le rôle du Parlement, les mesures prises et les répercussions sur la vie de chacun.

Pour le premier point, bon nombre de nos concitoyens pensent que ladite structure est trop lourde et que tous ces gens qui se démènent pour nous sont des privilégiés, peu actifs, bénéficiant de conditions de vie valorisantes.

Le second point a trait à la communication sur le rôle concret du Parlement, des mesures qu’il prend, du bénéfice que chacun peut en tirer.

Ici, pas de communication réelle.

Il est bien sûr possible d’apprendre, par hasard, que l’Europe finance tel projet, mais rien n’est fait pour nous porter l’info.

Le Parlement Européen est une sorte de bulle au sein de laquelle nous n’avons pas accès.

Il est pour nous un simple concept, impalpable et personne ne se soucie vraiment de percer ladite bulle.

Les élections à venir n’ont pas suscité de la part des politiques et des médias, un regain de pédagogie et il se peut que seuls perceront la bulle ceux qui veulent y prendre une belle place.

La question est aussi de savoir pourquoi le rôle de notre Super Présidence n’est pas expliqué mieux que cela.

Si cela n’est fait, la bulle pourrait se dégonfler dans l’indifférence générale.

Fanch.

 

A l’occasion de ses électios, la MSA mobilise ses adhérents

 

 A L’OCCASION DE SES ELECTIONS, LA MSA MOBILISE SES ADHERENTS

 

Pour ses élections 2015, la MSA innove !

 

Deuxième organisme de protection sociale en France, la MSA donne rendez-vous à ses adhérents lors de manifestations nationales et locales, afin de mieux leur faire connaître ses actions, de les inciter à devenir candidats et à voter. La MSA ira à leur rencontre avant le scrutin de janvier 2015, en particulier grâce à une exposition dédiée à l’histoire du mutualisme et à son rôle dans le développement d’une protection sociale agricole.

Les enjeux de cette campagne électorale sont la participation des adhérents et le renouvellement de leurs élus. Mais, l’objectif est aussi de faire vivre les valeurs de démocratie sociale de la MSA et de faire connaitre un mode de gouvernance proche des adhérents et légitimé par leur vote.

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La Valse à deux temps.

Il est difficile de ne pas évoquer a minima ce deuxième tour des élections municipales et sa suite.

Certains partent, d’autres arrivent.

Mais ainsi que nous le savons tous, cela ne changera rien car ce sont les mêmes qui échangent leur place.

Quid de ce ballet sans grâce qui ne fera que tenter de nous faire tourner la tête, qui va tenter à nouveau de nous hypnotiser !

Qui va, demain, que dis-je, aujourd’hui, remplacer les barons bleus et roses, les barons rouges et bleus foncés ?

Qui va oser défaire le canevas pour nous tissé ?

Qui va oser avancer ses pions immaculés sur l’échiquier politique ?

Qui va oser, de suite, prendre les rênes du Pays et souffler sur les vestiges poussiéreux d’une République devenue l’esclave de la tyrannie d’une Europe prédatrice ?

Qui va oser dire à ces fonctionnaires déjà confits dans les dorures de leur Parlement que l’Europe voulue n’est pas celle-là , que la politique adoptée plombe l’intérêt du Peuple, à défaut de celui de l’Etat ?

Qui ira dire à nos gouvernants qu’ils n’ont plus de rôle dans le devenir du Pays ?

Qui va oser dire au peuple qu’il ne doit plus accepter de perdre le minimum de son bien-être, tout ce qui fait que la vie est simplement acceptable ?

Qui va oser mettre au banc de la Nation, les corrupteurs, les corrompus, les menteurs, les cumulards, les égocentriques du pouvoir ?

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