Réveillon(s) : pourquoi pas l’oie celtique ?

Pourquoi de la volaille pour plat de résistance lors des réveillon ? D’une part, dit-on, parce que des volatiles, tout comme l’hirondelle annonciatrice du printemps, étaient considérés susceptibles de ramener le Soleil après le solstice d’hiver. Ensuite, sans doute, parce qu’il convenait de se rassembler autour d’un plat unique, à peu près accessible. Ce fut donc, essentiellement en Europe, l’oie. Puis, parce que la dinde, importée « des Indes » (d’Amérique du Sud), plus chère, devint privilégiée par les tables bourgeoises, le peuple pouvant se le permettre imita la classe supérieure. Quoi qu’il en soit, de l’oie ou de la dinde, tentez de la rendre savoureuse : pistes culinaires pour ce faire.

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