Ras le Bol des artistes bobos !

Pendant que les CRS sous les ordres du général Castaner bastonnent et énucléent à tour de bras les Gilets Jaunes, nos gentils artistes bobo, Marion Cotillard, Juliette Binoche, Abd al Malik, Elie Semoun et une trentaine de personnalités de tous horizons se mobilisent avec quatre associations pour assigner l’Etat français en justice pour inaction face aux changements climatiques. *1

J’en reste pantois. Outre le fait qu’on est loin d’être le pays le plus polluant de la planète, ces braves artistes voyagent en avion, en hélicoptère, en bateau… À cheval, rarement. Évidemment notre ancien Ministre de pacotille écologique, Nicolas Hulot, approuve la mobilisation. Rien d’étonnant. Il voyage en 4X4 et en hélico, a envahi le marché avec des produits Ushuaïa plombés aux produits chimiques, et il s’est barré au bout d’un an de son poste parce qu’un chasseur l’avait dans sa ligne de mire. Affligeant.

Les quatre associations derrière cette mobilisation sont Green Peace, Oxam France, Notre Affaire à Tous, la Fondation pour la Nature et l’Homme.

Je ne vais pas m’étendre sur Green Peace, qui accomplit des actions concrètes dans divers domaines. Un petit soupçon d’infiltration par la CIA… Mais bon, je ne vais pas en faire un fromage. En revanche, les trois autres associations sont infiltrées par les bobos.

Oxam France a pour directrice Cécile Duflot. 90 000 € de salaire annuel hors notes de frais… Ancienne ministre de l’Écologie, cousine d’Hulot…Suspect. Nous attendons avec impatience des résultats tangibles.

Notre Affaire à Tous : un des membres du Conseil d’Administration est proche d’Hulot. Circulez, au suivant.

La Fondation Pour la Nature et l’Homme : fondée par qui?  Devinez… Non? Nicolas Hulot, bien évidemment.
Hulot. L’homme-orchestre. Le don d’ubiquité. Partout, sauf là où il faut.

Revenons à nos artistes. La France est secouée par une crise sociale sans précédent. Depuis plus d’un mois, le peuple manifeste. Depuis plus d’un mois, Castaner et ses sbires matraquent à tour de bras. Depuis plus d’un mois, 10 morts, plus de 1000 blessés. Depuis plus d’un mois, par la faute d’un Gouvernement incompétent, la France est en train d’imploser. Mais nos artistes se mobilisent pour le réchauffement climatique et attaquent l’état. On croit rêver.

Plus déconnectés que ça, tu meurs. 32 % des retraités vivent en dessous du seuil de la pauvreté. De plus en plus de gens, n’arrivent pas à joindre les deux bouts ; de plus en plus de gens dorment sous les ponts et des gens crèvent de froid chaque hiver… Mais nos artistes se mobilisent contre le réchauffement climatique. Allez expliquer aux SDF qui dorment dehors l’hiver qu’il y a un réchauffement climatique.

Notre pays est bien loin de polluer le plus. Quant au bien-fondé du réchauffement climatique martelé par Hulot et compagnie, la vérité est ailleurs. *2

Léo Ferré, François Béranger, Brassens… Où êtes-vous ? Revenez s’il vous plaît.

Les artistes ne sont engagés aujourd’hui que pour eux-mêmes.

Pour leur petit confort. Même les rappeurs. À part nous pondre des textes qui riment, où est l’engagement. Allô NTM ? À la retraite déjà ? Et Dubosc, celui qui retourne sa veste ? Moins de fréquentation à tes shows ? Qui sème le vent…

Tout ce petit monde est bien au chaud. Il fait bon vivre quand d’autres crèvent la gueule ouverte.

« Je m’engage pour le climat, mais cachez ce SDF que je ne saurais voir. I’am shocked ma chère… Le réchauffement climatique, mais quelle horreur… Une petite coupette demain à Rio ? Mon jet privé nous attend demain à l’aéroport.  » Pathétique.

Eric Drouet au moment où j’écris ces lignes vient d’être arrêté. Courage. Nous sommes avec toi.

À part Brigitte Bardot, Pierre Perret, Bernard Lavilliers et Patrick Sébastien, pour défendre les Gilets Jaunes, le ciel artistique et bien désert.

VIe République, dissolution de l’AN, Macron et sa clique dehors, Assemblée citoyenne, RIC, etc…

Acte VII, VIII, IX et plus s’il le faut. Tant que notre Jupitérien n’aura pas compris.

Claude Janvier

*1 http://madame.lefigaro.fr/societe/marion-cotillard-juliette-binoche-attaquent-l-etat-francais-en-justice-191218-162682

*2 https://www.sudradio.fr/economie/francois-gervais-la-baisse-des-emissions-de-co2-nempechera-pas-le-rechauffement-climatique

 

Le réchauffement climatique

L’extinction des espèces, l’élévation du niveau des océans, les évènements météorologiques extrêmes, la fonte des glaces sont des aperçus de l’ampleur de l’impact du réchauffement climatique. Le réchauffement planétaire est une grande problématique mondiale et les conséquences de celui-ci obligent l’être humain à réagir vite pour les générations futures. Il y a de nombreux facteurs qui sont la raison de la hausse de la température globale, comme les causes naturelles et anthropiques. Il y a de nombreuses conséquences désastreuses à ce changement climatique. Cependant, il y a des solutions qui permettraient d’atténuer le réchauffement global.

Tout d’abord, les causes du réchauffement climatique sont naturelles et anthropiques.
En premier lieu, l’activité solaire est la cause naturelle du réchauffement climatique. La vie sur Terre est possible grâce aux couches atmosphériques. Ces couches atmosphériques sont constituées de gaz à effet de serre. Le principe est que la lumière du soleil réchauffe naturellement la Terre et la planète renvoie cette chaleur sous forme de rayons infrarouges dans l’espace. Cependant, avec l’épaississement des couches atmosphériques, les rayons infrarouges sont de plus en plus piégés dans l’atmosphère, ce qui en résulte par l’augmentation de la température globale puisque celle-ci empêche la chaleur de sortir de l’atmosphère, ce qui créer le réchauffement global.
En second lieu, une des causes du réchauffement climatique est par les phénomènes anthropiques, c’est-à-dire les actions résultantes de l’être humain. La foresterie, le brûlage de combustibles fossiles, l’agriculture sont des causes du changement climatique liées à l’activité humaine. La déforestation des forêts a fait augmenter la proportion de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, puisque le principe des arbres est la photosynthèse. Le brûlage de combustibles de fossiles est très néfaste, puisqu’un des combustibles le plus utilisés est le pétrole qui dégage énormément de dioxyde de carbone. La durée de vie de ce gaz à effet de serre est d’environ 100 ans. L’agriculture est l’une des causes importantes du réchauffement global. Entre autres, les nombreux troupeaux d’animaux produisent des quantités importantes de méthane et les machines agricoles produisent d’importantes quantités de dioxyde de carbone.
Également, les conséquences du réchauffement planétaire résultent dans de nombreux milieux, par exemple la biodiversité, les phénomènes météorologiques extrêmes, sur le niveau des océans et les boucles de rétroaction positive.
Premièrement, le réchauffement climatique met la biodiversité en péril. Certaines espèces de plantes sont en train de disparaître, par exemple le frêne bleu et une espèce de magnolier. Le changement climatique a un grand impact sur l’espèce animale. Par exemple, une étude par l’Université du Queensland, en Australie, a démontré que le réchauffement planétaire a des conséquences sur 50% des mammifères terrestres et sur 25% des oiseaux menacés. Ces changements produisent des effets néfastes dans les habitats des animaux menacés, c’est-à-dire en limitant leur accès à l’eau, à la nourriture, en détruisant leurs habitats et en augmentant les maladies. Tous ces changements nuisent à la survie de l’espèce animale. De plus, le réchauffement global provoque de nombreux changements dans plusieurs écosystèmes. Une des plus grandes menaces pour la biodiversité est la disparition des habitats. L’agriculture, le développement urbain, la foresterie, l’exploitation minière et la pollution sont responsables de la disparition des habitats.
La disparition des habitats est la cause des disparitions d’espèces, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature : « La destruction des habitats physiques serait responsable de la situation de 73% des espèces disparues, en voie de disparition, ou devenues vulnérables ou rares au cours des derniers siècles. » L’espèce humaine est responsable d’une des principales conséquences du réchauffement climatique, l’équilibre des écosystèmes repose sur la biosphère. La faune et la flore vivent le stress anthropique et plusieurs espèces ont déjà commencé à migrer vers d’autres régions. Le problème majeur est qu’un cinquième à trois dixièmes des espèces ne survirerons pas la migration. Donc, le changement climatique a une grande incidence sur la faune et la flore.
Deuxièmement, les phénomènes météorologiques extrêmes sont l’une des conséquences attendues du réchauffement planétaire. Les phénomènes météorologiques extrêmes sont les cyclones tropicaux, les précipitations de pluies, de grêles, de neiges, les inondations, les tempêtes … Les précipitations ne cessent d’augmenter depuis 1960, la météo des derniers temps ne fait que confirmer cette affirmation. Par exemple, plusieurs régions du Québec ont été affectées par les inondations du printemps 2017, dû principalement à la fonte rapide des neiges et à la grande précipitation de pluies. Ensuite, au Saguenay-Lac-Saint-Jean, l’été 2017 était particulièrement forte du côté de la météo. Notamment, le passage d’une tornade à Hébertville qui a fait de nombreux dégâts. La dernière tornade à avoir eu lieu dans la région était en juillet 2016, à Métabetchouan-Lac-à-la-Croix, il y a une moyenne de six tornades par année dans tout le Québec. Selon le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de 2014, l’augmentation des précipitations dans les régions de l’hémisphère Nord se serait accrue depuis 1901. Le changement climatique a une énorme influence sur les évènements météorologiques extrêmes. Le réchauffement planétaire n’augmente pas le nombre de cyclones, mais il augmente le degré de destruction. Par exemple, le cyclone qui a sévi dans l’État du Texas, qui s’est déroulé vers la fin d’août, est une preuve tangible que le réchauffement climatique a des conséquences désastreuses sur la météo. Cet ouragan est le résultat de la hausse des températures, ce qui en résulte par l’augmentation de l’humidité. Peu de temps après le passage de l’ouragan Harvey, une autre tempête s’est formée, l’ouragan Irma. Cet ouragan a menacé les provinces de l’Atlantique. L’ouragan Harvey était de catégorie quatre. Cet ouragan était initialement d’intensité inférieure, mais il a augmenté d’intensité au cours de sa formation, ce qui démontre la hausse du degré de destruction. Les cyclones sont classifiés par l’échelle de Saffir-Simpson, l’intensité des ouragans est déterminée par la force des vents. Cette échelle comporte cinq degrés d’intensité, un étant le plus faible et cinq étant le plus fort.
Selon Valérie Masson-Delmotte, climatologue et membre du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat : « Des cyclones d’une intensité plus grande sont l’une des conséquences attendues du changement climatique ». L’augmentation de l’intensité des cyclones est inquiétante puisque l’un des derniers ouragans était d’intensité quatre, c’est-à-dire avec des vents allant de 210 à 249 km/h. Un ouragan de niveau cinq équivaut à des vents supérieurs à 249 km/h, ce qui peut en résulter par l’effondrement d’immeubles. Alors, si l’intensité des ouragans augmente encore, il y aurait possibilité que les ouragans soient d’intensité cinq, ce qui aurait des conséquences dévastatrices. Également, l’ouragan Irma n’a pas cessé d’augmenter de catégorie lors de sa formation, cet ouragan est l’un des le plus destructeurs, plus fort que l’ouragan Harvey. Irma a atteint la catégorie cinq, ces vents ont atteint 300 km/h. Le dernier ouragan d’intensité cinq était l’ouragan Matthew, en 2016. Notamment, suite à l’ouragan Irma, les scientifiques commencent à parler d’une nouvelle catégorie de force six, ce qui prouve l’augmentation de l’intensité des ouragans.
Troisièmement, l’élévation du niveau des océans est la conséquence du réchauffement planétaire. Le niveau des océans ne cesse d’augmenter, selon le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de 2014, le niveau moyen des océans aurait augmenté de 19 cm entre 1901 et 2010. Cette hausse du niveau des eaux aura une incidence directe sur la géographie planétaire. De nombreuses villes et pays pourraient complètement disparaître du globe. Aucun pays n’est à l’abri des conséquences de l’augmentation des eaux, même le Canada. Les régions côtières sont les populations les plus menacés face à l’élévation du niveau de la mer. Notamment, la fonte des glaces augmente considérablement l’élévation du niveau des océans. Les glaciers fondent à une vitesse plus élevée que jamais, ce qui augmente la rapidité de l’élévation du niveau des eaux.
Quatrièmement, les boucles de rétroaction positive sont aussi l’une des conséquences du réchauffement climatique. Une boucle de rétroaction positive accélère le réchauffement planétaire. L’effet de banquise-albédo est un exemple de boucle de rétroaction positive. Les banquises, les glaciers, la neige reflètent les rayons du Soleil, ce qui atténue la hausse du réchauffement global. Or lorsqu’ils fondent, la surface de ceux-ci devient plus sombre, ce qui a pour effet d’augmenter la rapidité de leur fonte. Le principe est que plus la température globale augmente, plus les banquises fondent, et plus les banquises fondent, plus il fait chaud. Ensuite, la fonte de neige résulte par la fonte du pergélisol. Le pergélisol contient de grandes proportions de gaz à effet de serre, dont le méthane. L’émission du méthane renforce le changement climatique. De plus, la vapeur d’eau est un phénomène de rétroaction. La vapeur d’eau est un gaz à effet de serre. Lorsque la température globale augmente, la quantité de vapeur d’eau augmente, ce qui en résulte par le renforcement du réchauffement climatique. Également, les nuages peuvent constituer un phénomène de rétroaction positive. Les nuages absorbent les rayonnements infrarouges de la Terre, ce qui en résulte par l’augmentation de la température globale.

De plus, il existe des solutions pour contrer l’effet du changement climatique, par exemple, le reboisement des forêts, les maisons flottantes, le développement des énergies renouvelables, les infrastructures vertes, l’amélioration des transports et des infrastructures routières.
Premièrement, le reboisement des forêts est l’une des solutions pour atténuer le réchauffement climatique. Le reboisement des forêts est une excellente façon de contrer l’augmentation du dioxyde de carbone. La plantation de nouveaux arbres aurait pour effet de diminuer le nombre de dioxyde de carbone dans l’atmosphère puisque les arbres absorbent le dioxyde de carbone pour ensuite le transformer en oxygène.
Deuxièmement, les maisons flottantes peuvent être une solution pour contrer certains effets du réchauffement planétaire. Les maisons flottantes peuvent être une solution pour contrer l’augmentation du niveau des océans. Par exemple, dans un quartier d’Amsterdam, il y a quatre îles constituées de maisons flottantes. Ces îles ont été construites à cause de manque d’espace pour recueillir toute leur population. De plus, le développement urbain est une des causes de la déforestation, dû à l’augmentation de la population rurale. Les maisons flottantes seraient une excellente solution pour cesser la déforestation due à la croissance urbaine. Les maisons flottantes sont aussi durables qu’une maison normale. De plus, ces maisons flottantes sont plus sûres et moins chères. Aussi, ces maisons peuvent être déplacées dans d’autres villes flottantes.
Troisièmement, le développement des énergies renouvelables serait une excellente façon de diminuer notre production de gaz à effet de serre, ce qui atténuerait le réchauffement climatique. Par exemple, l’énergie solaire, l’énergie éolienne et l’énergie hydraulique sont toutes des énergies renouvelables. De plus, concernant l’énergie solaire, il existe des panneaux solaires flottants permettant de lutter contre la pollution. En Chine, ils ont inauguré un parc photovoltaïque permettant d’alimenter les entreprises locales en électricité. D’ailleurs, il existe d’autres parcs semblables à celui-ci, comme en Inde et en Australie. Également, il existe aussi des éoliennes flottantes, les premières éoliennes flottantes à avoir été construite sont celles dans les environs de la Norvège, en tout il y a cinq éoliennes jusqu’à maintenant. Présentement, les éoliennes flottantes sont limitées dans l’utilisation de l’océan puisque la technologie d’aujourd’hui permet de créer des parcs éoliens avec des eaux de 100 à 700 mètres de profondeur. Cependant, les scientifiques sont en train de travailler afin de pouvoir utiliser l’espace inaccessible des océans, soit des parties encore plus profondes. Au Québec, une des sources principales d’énergies est l’énergie hydraulique, soit Hydro-Québec.
Quatrièmement, les infrastructures vertes pourraient être une solution pour atténuer le réchauffement global. Les toits des immeubles plats pourraient être remplis de végétations, de plantes, les murs des maisons et des immeubles auraient des vignes grimpantes, ce qui atténuerait le réchauffement climatique. En 2020, une ville-forêt sera construite en Chine, un des pays les plus polluants. Il y aurait 40 000 arbres et 1 million de plantes, ce qui absorberait 10 000 tonnes de dioxyde de carbone par année et produirait 900 tonnes d’oxygène. De plus, cette ville serait fournie en énergie par des panneaux solaires. Alors, cette ville serait totalement écologique.
Cinquièmement, l’amélioration des transports et des infrastructures routières est l’une des solutions pour contrer le changement climatique. L’amélioration des transports en commun pourrait diminuer la proportion de combustibles fossiles dégagés dans l’atmosphère. Une des meilleures options serait l’utilisation des véhicules électriques, ces véhicules sont nettement plus écologiques que les autres véhicules. D’ailleurs, certains concessionnaires ont déjà des véhicules hybrides et électriques. Également, Los Angeles a commencé à peindre ses rues blanches afin de réduire la température dans la ville pour combatte les effets du réchauffement planétaire. La peinture blanche diminue la température de l’asphalte, puisque la peinture blanche réfléchit la lumière.

En conclusion, l’activité humaine est la principale cause du réchauffement global. L’activité solaire est la cause naturelle du changement climatique. Le réchauffement climatique est désormais irréfutable, les preuves de ces changements se font vivre dans de nombreuses sphères, dont la biodiversité, les phénomènes météorologiques extrêmes, la montée des eaux et les boucles de rétroaction positive. La reforestation, les maisons flottantes, le développement des énergies renouvelables, les infrastructures vertes, l’amélioration des transports et des infrastructures routières font partie des solutions pour contrer le réchauffement planétaire. Certes, les essais nucléaires de la Corée du Nord n’aideront sûrement pas l’atténuation du réchauffement climatique.
Marie- Christine Bolduc

MÉDIAGRAPHIE

  •  Nations Unies, Causes, [En ligne], adresse URL : http://www.un.org/fr/climatechange/causes.shtml, (page consulté le 4 septembre 2017)
  •  Canada, [En ligne], adresse URL : https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/changements-climatiques/causes.html, (page consultée le 28 août 2017)
  •  Encyclopédie canadienne, espèces de plantes menacées, [En ligne], adresse URL : http://www.encyclopediecanadienne.ca/fr/article/especes-de-plantes-menacees/
  •  Futura planète, réchauffement climatique,[En ligne], adresse URL : http://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/rechauffement-climatique-consequences-rechauffement-climatique-1298/ , (page consultée le 28 août 2017)
  •  Campbell Biologie, 4e édition, adaptation française Jacques Faucher et René Lachaîne.
  •  H24 info, Tempête Harvey ,[En ligne], adresse URL :https://www.h24info.ma/monde/usa-tempete-harvey-liee-rechauffement-climatique/, (page consultée le 29 août 2017)
  •  TVA nouvelles, Ouragan Irma, [En ligne], adresse URL : http://www.tvanouvelles.ca/2017/09/03/une-semaine-apres-harvey-louragan-irma-inquiete-lamerique , (page consulté le 4 septembre 2017)
  •  Washington Post, Hurricane Irma, [En ligne], adresse URL : https://www.washingtonpost.com/news/capital-weather-gang/wp/2017/09/03/hurricane-irma-could-strike-u-s-east-coast-by-next-weekend-or-it-could-curve-out-to-sea/?utm_term=.6e3c36fcc835, (page consulté le 4 septembre 2017).
  •  Radio-Canada, Tornade Lac-Saint-Jean, [En ligne], adresse URL : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1040494/tornade-vents-violents-citoyens-degats-lac-saint-jean, (page consulté le 4 septembre 2017)
  •  Les mécanismes de rétroaction, [En ligne], adresse URL : http://www.climatechallenge.be/fr/des-infos-en-mots-et-en-images/le-changement-climatique/le-changement-climatique/les-mecanismes-de-reatroaction.aspx, (page consulté le 13 septembre 2017)
  •  L’amplification banquise-albédo, [En ligne], adresse URL : https://changementsclimatiques.org/tag/retroaction/, (page consulté le 13 septembre 2017)
  •  Express Live, Maisons flottantes, [En ligne], adresse URL : https://fr.express.live/2017/08/25/villes-flottantes-solution-face-a-montee-oceans/ , (page consulté le 4 septembre 2017)
  •  Parc photovoltaïque, [En ligne], adresse URL : http://www.journaldugeek.com/2017/05/30/plus-grand-parc-photovoltaique-flottant-chine/, (page consulté le 12 septembre 2017)
  •  Éoliennes flottantes, [En ligne], adresse URL : https://www.meteomedia.com/nouvelles/articles/le-premier-parc-eolien-flottant-voit-le-jour/84383, (page consulté le 12 septembre 2017)
  •  Journal de Québec, Ville-forêt, [En ligne], adresse URL : http://www.journaldequebec.com/2017/09/04/une-ville-foret-va-pousser-en-chine, (page consulté le 4 septembre 2017)
  •  Rapport 2014 du GIEC

COP 21 : un an après, des avancées concrètes ? Christophe Mazurier fait entendre sa voix

Pour le gouvernement Hollande, ce fut à la fois l’événement marquant de la fin d’année 2015 et la « cerise sur le gâteau » du ministère Fabius aux Affaires étrangères. La COP 21, débouchant sur la procédure de ratification de l‘accord de Paris (12 décembre 2015), a fait les gros titres de nos médias pendant des semaines. Qu’en-est-il près d’un an plus tard ?

Dès le printemps 2016, ce sont essentiellement de petites îles ou archipels qui se sont empressés de ratifier cet accord : autant de pays sous la menace directe de la montée des eaux. Ces derniers sont pourtant loin d’être les principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre. En effet, vingt pays seulement sont à l’origine de près des deux tiers des émissions de CO2 dont pâtit notre atmosphère.

Certes, la Chine et les Etats-Unis ont récemment ratifié l’accord, mais dans des contextes de politique intérieure qui ne trompent personne. La Chine recherche actuellement de nouveaux objectifs afin de relancer sa croissance, et la transition énergétique tombe à pic. Quant aux Etats-Unis, le crépuscule du second mandat de Barack Obama est propice à la prise de décisions généreuses…

Autant dire que les intérêts des différentes nations ayant ratifié cet accord sont loin d’être identiques, marquant en cela les différences de pouvoir des uns et des autres sur l’échiquier des relations internationales. Pourtant, nombreux sont ceux qui s’entendent sur les indéniables conséquences du réchauffement climatique au XXIe siècle. Des stars du cinéma aux scientifiques les plus sérieux, des voix, parfois discordantes sur l’urgence du phénomène, s’accordent toutefois à dire que nos modèles de fonctionnement actuels ne sont pas durables.

Parmi ces personnalités, l’inattendu Christophe Mazurier a lui aussi cherché à faire entendre sa voix. Le célèbre banquier, connu pour ses velléités philanthropiques, s’est en effet engagé sur le sujet en alertant sur la situation aux Bahamas, archipel en première ligne face aux ravages du réchauffement climatique. A l’occasion de la COP 21, Mazurier apportait là-encore sa pierre à l’édifice en soulevant la question de l’apport essentiel du secteur privé sur la question de la transition énergétique. Une contribution certainement nécessaire afin que les belles paroles de nos gouvernants ne restent pas sans lendemain.

cNKM, Christophe Mazurier et Pasal Canfin veulent agir pour le climat

Trois voix différentes plaident pour une ambition commune : Passer de la parole aux actes en matière d’environnement. En effet, l’ancienne ministre de l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet interpelle Ségolène Royal tandis que l’homme d’affaires Christophe Mazurier porte la parole des petits Etats insulaires et que Pascal Canfin prend la défense des pays du Sud.

 

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Climat : les ONG prennent pour cible la Cop21

A partir du 30 novembre, la lutte contre le réchauffement climatique a rendez-vous avec l’Histoire à Paris. Pour s’assurer de la réussite de la conférence des parties de l’ONU, la France veut associer tous les acteurs de la transition énergétique (collectivités, entreprises, ONG…). Mais alors que Laurent Fabius vient de dévoiler le nom des premières entreprises partenaires, les ONG critiquent la méthode…

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Anne Paugam et Christophe Mazurier mettent la finance au service du climat

Alors que le succès du sommet pour le climat repose en grande partie sur l’engagement des pays en voie de développement, la question du financement du Fonds Vert pour le Climat reste l’objet de nombreuses interrogations, notamment pour l’élue écologiste Anne Souyris. C’est pourquoi, tandis que la directrice générale de l’Agence Française pour le Développement, Anne Paugam, mobilise les institutions financières, le directeur du groupe CM-CIC, Christophe Mazurier, salue la détermination du G20…

                

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La montée des eaux une réalité de plus en plus menaçante

Les littoraux ont toujours attiré les populations. En France par exemple, la densité démographique de ces régions est près de trois fois supérieure au reste du territoire. C’est pourquoi, il est urgent de trouver une solution à la montée des eaux engendrée par le réchauffement climatique. En effet, d’après les scientifiques Kevin Trenberthn et Jason Box, la situation pourrait se détériorer plus rapidement qu’on ne le pense. En première ligne sur ces sujets, le banquier Christophe Mazurier s’est allié avec le Premier ministre bahamien Perry Christie pour alerter la communauté internationale. 

                                                

En France, la population vivant de façon permanente à moins de 60 kilomètres des côtes pourrait se chiffrer à près de 10 millions d’individus en 2030 selon l’Institut Français de l’Environnement. A l’échelle mondiale, la concentration démographique sur les littoraux est également une réalité géographique depuis de très nombreuses années. Ainsi, beaucoup de grandes villes mondiales se retrouvent directement menacées par la montée des eaux.

Un phénomène d’autant plus dangereux qu’il est probablement mal appréhendé par l’opinion publique. Pas toujours directement perceptibles, les questions de pouvoirs d’achat prennent souvent le dessus sur les considérations environnementales ; pourtant les risques sont bien réels. Par exemple, le climatologue danois Jason Box a révélé que la libération de panaches de méthane stockés sous l’océan Arctique accélérerait considérablement les bouleversements climatiques.

Le scientifique Kevin Trenberthn, du National Center for Atmospheric Research, met également en garde contre ce phénomène qui peut se révéler plus brutal qu’il n’y parait. Dans une interview accordée à la journaliste Lisa Palmer, il résume la situation :

« Souvent, on donne cette image d’une augmentation lente et progressive du niveau de la mer, d’environ 3 mm par an. (…) Mais ce n’est pas comme ça que ça marche. L’augmentation du niveau de la mer se fait de manière épisodique. A un moment donné, tout vous semble bénin, puis une semaine plus tard, [on fait face à] des vagues énormes, parfois de plus de 6 mètres de haut, des marées de tempêtes dévastatrices ».

Outre ces terribles catastrophes qui peuvent affecter les grandes villes côtières, les petites îles sont aussi sous la menace constante de la montée des eaux ! C’est justement avec l’espoir d’endiguer ce fléau que l’homme d’affaires et mécène  Christophe Mazurier soutient le combat du Premier Ministre bahamien Perry Christie. En effet, l’archipel doit faire face à la destruction de ses ressources en eaux douces, à la détérioration de la barrière de corail, et à de super-ouragans de plus en plus fréquents…

D’autres acteurs, comme la société CarboneStory, tentent de sensibiliser l’opinion publique. Ce fut notamment l’intérêt du site internet http://worldunderwater.org/#/  qui permet avec l’application Google Street View de représenter n’importe quel endroit de la planète, submergé par la montée des eaux. De son côté, le maire de New York Bill de Blasio a également décidé d’agir après les ravages de l’ouragan Sandy en 2012. L’élu de la Grande Pomme a promis de « consacrer près d’un milliard de dollars (738 millions d’euros) au réaménagement des rives de New York, de Long Island et du New Jersey »… 

Le réchauffement climatique ne serait que pure fiction ???



Je ne veux pas avec cet article me faire le détracteur de scientifiques qui affirment avoir raison sur le sujet que je vais traiter ci-dessous, ni me mettre à dos les écologistes, mais je me dois tout de même d’informer mes lecteurs d’un doute qui s’est installé sur un sujet brûlant, à savoir le réchauffement climatique.
En effet, au contraire des scientifiques que je citais plus haut, d’autres tout aussi sérieux soutiennent que la thèse du réchauffement climatique est totalement fausse.

Ainsi, les grands-prêtres du changement météorologique, soutiennent que :

1 La terre se réchauffe et l’augmentation de la température du globe sur un siècle, devrait-être de 6°
2 – Ce sont les émissions humaines de CO2 les seules à l’origine de ce réchauffement
3 Il faut s’attendre très rapidement à une montée du niveau des océans
4 La fonte des glaciers est inéluctable
5 Nous devons nous attendre à une augmentation des phénomènes de type tornades.

Pourtant, selon l’éminent Directeur de l’université anglaise d’East Anglia, Phil Jones, qui dirige le "Climate Research Unit" tout ce qui a été dit précédemment par ses confrères… Serait totalement faux !
Il affirme que sur l’ensemble du globe terrestre, la température n’a pas bougé du moindre degré depuis 1997, et ce, malgré les rejets de CO2, liés à l’ère industrielle depuis cette période.
Il est permis de s’interroger, quand on sait que Phil Jones et l’un des principaux acteurs du GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
De plus il est suivi dans ses théories par des scientifiques de renom, tel Richard Lindzen (titulaire de la chair Alfred Sloan du MIT) et des instituts indépendants on ne peut plus sérieux (GISS, NOAA,HadCRUT,UAH ou encore RSS). Tous s’entendent à dire que la température de la terre stagne bel et bien depuis 1997.

On sait en outre aujourd’hui que la fameuse courbe en "Hockey Stick" qui démontrait que la température du globe était en ascension brutale, est une imposture.
Il serait selon des spécialistes du soleil plus judicieux et sérieux, de parler de cycles de 60 ans, durant lesquels la température du globe fluctue, à savoir qu’elle baisse, monte, stagne, etc.
D’ailleurs, il est incontestable que notre planète bleue a subi une phase de refroidissement entre 1945 et 1960, suivie d’une autre de réchauffement de 1975 à 1997. C’est durant cette dernière période, vous l’aurez compris, que la théorie du réchauffement climatique est née.
Sachez enfin que la réelle montée de température n’était que de 0,6° entre 1975 et 1997, tout comme entre 1915 et 1940, époque où les rejets de CO2 dans l’atmosphère étaient pourtant moindres.

Pour terminer son propos Phil Jones a déclaré, je cite : "nous sommes actuellement dans le cycle haut et il est probable que très prochainement la température va baisser"

Pour finir, S.K Solanski chercheur de l’institut Max Planck avait déclaré que le soleil sortait d’une période de 60 ans d’activité très intense, jamais vue depuis 6 000 ans, qui s’inversait en ce moment pour laisser entrevoir l’arrivée d’une période plus froide.

A chacun de se faire une idée à présent, en comparant l’une et l’autre des théories sur le réchauffement climatique.

(Sources : resistance2017.net)

L’homme et la domestication de la nature.

 

L’être humain, toujours avide de conquêtes, cherche depuis toujours à domestiquer la nature, à la dompter pour en tirer profit.

Ce fut le cas jadis, dans le but louable de survivre, de boire et manger.

Ainsi, nos ancêtres cueillirent-ils les fruits de la terre, attrapèrent-ils les bêtes vivant sur terre, dans les airs et dans l’eau. Plus tard, ils utilisèrent la force de l’eau et des vents pour remplacer la force humaine.

 

Puis vint l’époque où l’homme se fit conquérant, non pas pour sa survie ou pour épargner ses propres ressources, mais pour son plaisir ou sa soif de vaincre, voire sa vanité.

Et il se crût invincible.

Et il fit tout et n’importe quoi.

Il prît des risques inconsidérés dans certains cas. Dans d’autres, il mit à mal, inutilement et bêtement, la nature elle-même, ne se souciant guère des êtres humains qui, après lui, hériteraient d’une nature moins riche, moins belle, moins hospitalière.

 

Ces derniers jours, on entendait à la radio ou à la télé : « La montagne a encore tué ce week-end… ». Non, la montagne ne tue pas. C’est l’inconscience de certains qui tue, le sentiment d’invincibilité, le non-respect du caractère sauvage et « naturel » de la nature. La montagne n’y est pour rien. Tous les vrais montagnards, qui connaissent et aiment leur montagne, savent que, dans certaines conditions météorologiques, des avalanches peuvent se produire. Ils évitent alors ces secteurs pendant le temps où le risque est grand.

 

De la même façon, les modifications apportées aux cours d’eau, aux bords de mer, si elles ne tiennent pas compte des « caprices éventuels » de la nature, occasionnent, un jour ou l’autre, une catastrophe.

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