PSG… La victoire des casseurs…

 

Quand donc va-t-on prendre de réelles mesures dissuasives envers ces jeunes casseurs, qui hier encore à l’issue d’une soirée qui se voulait festive, à savoir la victoire de l’équipe de football du Paris Saint Germain, ont tout cassé dans la capitale et semé la terreur parmi les "gens normaux"… J’emploie le terme "gens normaux", pour bien montrer que d’autres ne le sont pas, c’est justement le cas de ces casseurs.

Plutôt que de militer pour des causes non prioritaires et faire voter des lois inutiles, le gouvernement devrait à mon sens se pencher sérieusement sur le phénomène, de cette violence montante.

Pourquoi ne pas en venir à des mesures dissuasives, telles que l’obligation pour ces voyous de faire des travaux d’intérêts généraux, mais des vrais, du style casser des cailloux à longueur de journée, avec pain sec et eau, durant quelques mois. Chacun sait que de leur faire ramasser des feuilles dans les rues, n’est en soi pas une réelle punition.

Je reste persuadé qu’un tel régime, imposé à des jeunes fous, qui n’ont du courage que cagoulés et réunis en bandes, les dissuaderait de recommencer, ou du moins les ferait réfléchir, avant de commettre un nouveau délit.


Je fais partie et j’en suis fier de ces hommes, qui ont fait le service militaire et ont appris une certaine obéissance, ou du moins un respect pour l’autorité, qui a disparu chez la plupart des jeunes d’aujourd’hui.

Au lieu de ça, on voyait aux informations de ce midi, un Manuel Valls qui promettait des sanctions sévères aux fauteurs de trouble, alors que nous savons pertinemment qu’à l’issu de procès fantoches, ils feront l’objet d’une relaxe et se retrouveront aussitôt dans la rue, pour recommencer.


Enfin, ces centres de rétention destinés à "corriger" ces casseurs indésirables, pourraient très bien être financés par les fédérations de football, les dirigeants et les joueurs, qui reconnaissez le, attisent souvent les tensions entre clubs.

 

Hélas, toutes les détériorations d’hier, seront une fois encore financées par le contribuable, pourtant déjà pris à la gorge, dans notre beau pays de France saigné par la crise…

 

Ne m’en veuillez pas chers amis, si sous mes aspects calmes, j’ai parfois des envies de révolution !!!