Catherine Pederzoli est (ou était) professeur à l’éducation nationale dans la ville de Nancy.

Fin Aout 2010, elle apprend sa mise à pied pour faute grave.

Quelle genre de faute aurait pu commettre cette femme pour mériter une telle sentence?

Aurait elle frappé un enfant, aurait elle abusé de son congé maladie?

Et bien, pas du tout, Madame Pederzoli, a été mise à la porte car elle aurait utilisé le mot "Shoah" 14 fois pendant un cours parlant du sujet contre deux fois pour le mot "génocide"?

Pensez vous, que c’est un problème majeur qui peut causer la fin de vie professionnelle de cette personne?

Quel est le but réel de l’éducation nationale, dans cette affaire pour le moins injuste!

 

La professeur, organisait chaque année comme d’autres écoles d’ailleurs des visites dans les camps d’extermination de Pologne, pour que les enfants puissent comprendre jusqu’où l’homme est capable de détruire son prochain pour des raisons racistes.

 

Elle ne serait pas assez" neutre et laïque" selon un rapport de l’éducation nationale, mais parle-t-on de religion dans les camps nazis ?

Luc Chatel, ministre de l’éducation nationale, qui s’était rendu à une mini manifestation des éleves se plaignant de la réduction de moitié du nombre des élèves pour ces voyages , a trouvé la seule solution: celle de faire passer cette institutrice pour l’investigatrice de ces protestations!

Quels sont les objectifs, dans l’enseignement de la Shoah:

    1. Les erreurs de l’humanité de génération en génération
    1. Le devoir de mémoire
    1. La tolérance de l’autre
    1. Les dangers des pays qui continu,à détruire des vies humaine à cause de leurs différences!

 

Je sais très bien que la France n’est pas l’Iran, avec ses idées négationnistes, mais pour la future France ,pour nos enfants et petits enfants, et pour le devoir de mémoire, soutenons le 10 octobre au 110 rue de Grenelle à Paris, juste devant le Ministère de l’éducation national Catherine Pedezoli, c’est un métier qui est loin d’être facile et de plus primordial!