Il convient de préciser les choses d’emblée : je ne suis pas médecin, toutes les informations d’ordre médical présentées ici sont rapportées.

En revanche, je m’y connais un peu en matière de statistiques. Compétence suffisante pour dire que les statistiques officiels ne collent pas.

Il y a trop de malades pour trop peu de facteurs de transmissions.

Une donnée manque à l’équation, et ça n’a l’air de gêner personne.

Les facteurs de transmission

Trois seulement sont connus : la transmission de la mère à son enfant, la voie sexuelle et la voie sanguine.

Voie sexuelle

Probabilité de transmission comprise entre 0.005 et 0.00005 par rapport. L’usage de préservatif ramène ce risque dans la fourchette 0.0005-0.000005, puisqu’il réduit le risque d’un facteur 10 environ.

Retenons si vous le voulez bien le chiffre le plus élevé : 0.005, l’objectif étant de montrer que ce chiffre est insuffisant pour expliquer le développement rapide de l’épidémie.

Transmission sanguine

Partage d’une seringue avec un séropositif : 0.0067

Transfusion sanguine : 0.9

De la mère à l’enfant : 0.2

 

L’expansion de la maladie

Le premier echantillon connu daterait de 1959, mais on cherche le "patient zéro" vers la fin des années 60.

On sait qu’à la fin des années 70, le SIDA était d’ores et déjà une petite épidémie, c’est d’ailleurs ainsi que les médecins ont pu identifier le problème.

Tablons donc sur une dizaine de malades en 1960, ce qui est au-dessus de la réalité, puisque des recherches poussées n’ont permis de ne retrouver que 3 ou 4 contaminés à cette époque.

Il y avait en 2007, soit 47 ans plus tard, 33 millions de malades et 25 millions de morts du SIDA au cours des 47 années écoulées.

Le rapprochement vecteur-nombre de malades

Le SIDA aurait donc progressé de 37.5% par an en moyenne (calcul que les amateurs de statistiques pourront vérifier). Et ce en négligeant les 25 millions de morts qui ont été contaminés (mais qui ont contaminé avant de mourir, les écarter du calcul ne fausse donc pas trop le résultat).

A moins que les contaminés ne soient des lapins qui s’adonnent au sexe plusieurs fois par jour ou ne donnent tous leur sang, lequel est mélangé pour être donné à des millions d’individus, ce chiffre est délirant.

Il signifie qu’un malade sur trois contamine une personne lors de l’année en cours, ce qui est impossible avec les chiffres donnés ici.

Du moins avec les hypothèses médicales fournies par les médias officiels.

Pour mémoire, le taux de progression dans le monde en 2007 était de 0.00631%. Un chiffre faible dû au développement des diverses formes de prévention qui n’existaient pas ou peu avant 1990.

 

Un malade donnant son sang contaminera un receveur sur 1000.

Une mère contaminera un enfant sur 5 mis au monde

Un chaud lapin contaminera une conquête tous les 200 rapports sexuels.

 

On est loin du compte.