La scène politique, déja bien pauvre en argumentation, doit gausser de la piètre prestation de Ségoléne Royal.

Le bilan présidentiel, un peu tôt pôur se permettre un jugement définitif, malgré bien des désillusions. Que dire de l'opposition. La pauvreté intellectuelle et l'amnésie semble s'emparer des acteur, de cette farce politique. Je suis dubitatif devant l'incohérence qui semble sourdre au sein du gouvernement, mais Ségoléne devarait se voir proposer le Ministère du Rire…

A la recherche du notariat…perdu. Voila ce qui caractérise la classe politique, dans ce que l'on désignait d'antan, l'opposition. Les critiques pleuvent, fusent, ricochent, le tout sans argumentation, sans projet, la platitude semblant animer le débat. Nicolas Sarkozy n'est certainement pas celui qui redressera la France, il faut bien l'admettre. Le niveau atteint par l'opposition, dans l'incompétence, me soulage presque d'avoir évité le naufrage…

Ségoléne se lancant éperdument dans des critiques sans fondement, hormis la Turquie, ou Nicolas Sarkozy se montre bien dans un rôle d'imposteur, ayant une forte tendance à l'amnésie.

Je vois encore le spectacle People, nous montrant Royal, sur la Muraille de Chine, encensant les officiels du régime pour l'efficacité de la justice Chinoise… Lancant un véritable tollé, lors de son apparition au Québec..Des sorties démontrant toute les compétences de la candidate socialiste, au niveau diplomatique.

Royal est certainement en passe de se discréditer complétement, les oubliettes de l'Histoire l'engloutiront. Vouloir remettre en doute la crédibilité de la France sur l'échiquier international, en étalant une piètre analyse de la situation, ou comme toujours la notion de projet ou de programme n'apparait nulle part.

Au vu de cette démonstration, je me demande si les producteurs de la région Poitou-Charente oseraient lui confier la promotion de leurs fromages..

Pour les déçus de Nicolas Sarkozy, il faut se dire que nous avons échappé au pire, la pauvreté du débat dans l'opposition nous dévoile ce qu'aurait pu être un gouvernement de gauche…

Le changement était incarné par François Bayrou, qui ne promettait pas monts et merveilles, qui nous annoncait la récession, et qui aurait certainement fait un bon président, n'en déplaise à mon ami Blaise. Bayrou était bien le candidat de la rupture, Nicolas Sarkozy l'a isolé en pratiquant le leurre d'une politique d'ouverture non concertée, imposant ses choix et sa volonté, lui donnant uin statut bonapartiste…

Je maintiens que la création du MoDem n'était pas une bonne idée, venant bien trop tôt dans le calendrier politique. Comme dirait Dominique, l'absurdité du quinquennat s'étale dans toute sa splendeur. Je soutiens le retour d'uin septennat, bien plus adapté…