Secret service – Un scandale sur fond de prostitution

 

 

Les USA voulait la tête de DSK, amateur de parties fines, de libertinage et accusé de viol par une femme de chambre qui a détruit sa vie politique et le traîne aujourd’hui en justice. La prostitution règne dans les milieux politiques jusque dans les services pourtant très respectés de la garde rapprochée du président B. Obama. Mark Sullivan, chef du « Secret Service » va devoir s’expliquer pour le comportement libertin de son service. Effet  immédiat de ce scandale : une mise à la retraite et un limogeage chez les dirigeants et pas moins de 11 membres suspendus.

 Le scandale a explosé, suite à la visite du président Obama à Carthagène en Colombie. Dans cette station balnéaire de grand standing, des militaires de l’armée américaine et les agents du « Secret Service » préparaient l’organisation et la sécurité de la visite présidentielle mais il semble également que quelques « professionnelles » détournaient ces policiers considérés comme l’élite,  de leur mission première qui était de sécuriser la zone pour le sommet des Amériques qui à compté une trentaine de chefs d’état.

Un manque de sérieux évident pour ce groupement qui a pour devise «   digne de confiance » et surtout une faille dans le système de sécurité qui démontre une nouvelle fois la faiblesse humaine. Les premiers éléments de l’enquête ont tendance à démontrer que des fêtes en compagnies de call girls sont courante mais étaient organisées jusqu’à présent,  après le départ de l’avion présidentiel et une fois le travail terminé.

Depuis la nuit des temps on emploi des femmes pour soutirer des renseignements, déjouer la vigilance de services de garde ou compromettre des personnes influentes sur lesquelles on effectue un chantage sexuel. DSK qui à vue sa carrière politique arrêtée net après les accusation de la femme de chambre du Sofitel, en sait quelque chose. Cette fois la réunion était, des plus,  importante  avec une trentaine de chef d’état à protéger et les manquements de ces services font scandale en pleine campagne d’un candidat à sa succession qui prône les restrictions budgétaires et l’austérité.