Schtroumpfement bon !

 

 Il était une fois, un pays peuplé de petits bonhommes bleus : le pays des Schtroumpfs. Ils sont nés en 1958 de la plume de Peyo, écrivain de BD Belge. En grande fan de ce pays imaginaire depuis ma plus tendre enfance, il était évident que j’aille dès le premier jour voir leur adaptation américaine au cinéma.

 


J’ai pu retrouver avec grand plaisir la majorité des petites figurines que je collectionnais étant petite. Ma maman m’en offrait une chaque mois, et mon oncle tenant une librairie en Belgique régulièrement aussi. Ainsi la cinquantaine d’exemplaires avec lesquels jouent mes enfants maintenant m’ont fait passer des heures à me raconter des histoires entre les champignons des schtroumpfs et la lugubre demeure de Gargamel.


Dans le film américain de Raja Gosnell sorti ce 3 aout 2011, les Schtroumpfs chassés de leur village par Gargamel, le méchant sorcier,  se retrouvent au beau milieu de Central Park à travers un portail magique. Nos petits héros sont donc à New York, où ils vont vivre des aventures pleines de vie et de rire. Leur rencontre avec un couple de New-Yorkais laissera des traces. Comment pourrait-il en être autrement ? Comment ne pas succomber à leur bonne humeur légendaire et à leur optimisme sans faille ? Tous identiques, mis à part le Grand-Schtroumpf et la Schtroumpfette, seul leur caractère change. Ici on vit les mesaventures du Schtroumpf maladroit, personnage des plus attachants ! Le légendaire Schtroumpf grognon nous fait aussi craquer lorsqu’il tombe amoureux au magasin de jouet. Et que dire de Gargamel, dont la méchanceté nous fait plus que sourire avec son chat Azraël, irrésistible !


On ressort de la séance ravis, petits et grands semblent unanimes du bon moment passé, sans parler des effets 3D qui donnent un bonus à la séance.

Le seul hic à la chose est la petite musique fétiche des schtroumpfs qui nous poursuit jusque chez nous, et pendant plusieurs jours !!

Un film à partager en famille, ou pas, car il n’y a pas de honte à vouloir se replonger, le temps d’un ciné, dans l’insouciance de son enfance !