Sarkozy doit-il démissionner ?
La réponse paraît évidente, mais il fallait quand même vérifier…
Démission du président de la République exigée :
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
Les français citoyens demandent, au nom de notre République, aux forces de l'ordre, de rétablir l'ordre républicain et d'agir dès aujourd'hui, en citoyens d'un état policé, en dénonçant toute corruption et abus d'autorité au sein de leurs services.
Les citoyens demandent aux magistrats, avocats, de redonner son sens à la justice, au service du peuple, et de dénoncer toute corruption et trafic d'influence au sein de leurs tribunaux.
Les citoyens demandent aux fonctionnaires qui en ont la charge d'empêcher toutes fuites de capitaux.
Les français demandent aux médias français et étrangers de diffuser et traduire ce texte.
Les citoyens demandent aux électeurs français d'exiger au plus tôt un référendum pour l'élection d'un(e) président(e) de la République qui soit au service du peuple, non au service de son ambition personnelle et de celle de ses amis fortunés.
Les français demandent à la garde Républicaine, de ne plus rendre les honneurs sous cette Vème République déshonorée, aux valeurs françaises et universelles bafouées.
Les citoyens demandent aux forces armées de se tenir prêtes à aider son peuple, comme l'armée roumaine le fit en 1989.
Le président de la République actuel détient le code des frappes nucléaires, et il est de plus en plus évident qu'il est incohérent, jusqu'à insulter son peuple, enrichir les riches pour s'enrichir, et appauvrir les pauvres.
Il ne représente pas la Nation que défendent les Armées, il a trahi cette nation.
L'honneur de nos Armées ne sait attendre.
Pourquoi ne pas attendre 2012 ?
Parce que les mesures écologiques vitales à prendre n'attendent pas : "La planète brûle", l'eau potable non polluée se fait rare, l'agriculture est sacrifiée aux profits, les émeutes de la faim apparaissent de par le monde.
La faim n'attend pas.
Parce que le pouvoir en place détruit méthodiquement toute liberté de s'exprimer et de réagir, et la sécurité devient un privilège.
La révolte n'attend pas.
Parce qu'on assiste à l'installation de corrompus, à l'instar des "kapos" des camps de concentration de sinistre mémoire, dans nos institutions, médias, entreprises et banques publiques, pour éliminer tous les opposants à cette nouvelle forme de tyrannie financière.
Parce que de plus en plus de privilèges sont rétablis, pour de moins en moins de personnes.
La probité n'attend pas.
Parce que la précarité puis l'exclusion touchent de plus en plus de personnes, et que leur nombre augmente de façon exponentielle.
Etre à l'abri n'attend pas.
Le régime de santé n'est plus solidaire.
Les malades et mourants n'attendent pas.
Parce que la situation catastrophique du Trésor Public doit être redressée, que le système capitaliste favorisé détruit la vie sociale, la morale, la planète, appelle à l'immigration et aux dé-localisations en établissant une forme d'esclavage.
L'inversion du processus exponentiel de la dette publique n'attend pas.
Parce que la laïcité est remise en question.
Dieu peut attendre.
Parce que pour tous ces points, le point de non-retour approche, et que des révoltes dévastatrices sont inéluctables, alors que des solutions existent pour les éviter, si elles sont mises en place immédiatement par des personnes plus soucieuses de l'intérêt général que de leur propre intérêt, compétentes et probes.
La réconciliation n'attend pas.
Parce que les textes issus de la révolution de 1789 sont aujourd'hui ré-écrits, sa devise ignorée : il y a de moins en moins de liberté, d'égalité, et de fraternité, de plus en plus de contraintes faussement justifiées, d'inégalités et de divisions communautaires.
Le préambule de la constitution de 1789 énonce article par article que tout individu doit surveiller le comportement de ses dirigeants, car tout manquement à l’un de ces principes dénonce la perte du pouvoir du peuple à diriger seul sa destinée : “ce qu’il ne faut pas accepter des pouvoirs ou des gens qui agissent en leurs noms…, car leur comportements sont contraire aux principes énoncés et sonne l'alarme qui doit conduire au soulèvement populaire".
La République n'attend pas.
( http://patricehenin.over-blog.com/article-20858525.html )
Les français citoyens signent cette pétition pour exiger la démission du président Sarkozy, la mise en place d'une élection présidentielle au plus tôt, afin de permettre l'instauration de contrôles financiers, d'une juste répartition des richesses de la 6ème puissance économique du monde :
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
article intéressant,cependant quelques questions sont soulevées:
-si le président refusait de démissionner, existe–t-il une « procédure légale » de destitution, en dehors de l’accusation de haute trahison? où devrait-on se fonder sur l’injonction du droit souverain du peuple issu de 1789 pur légaliser une telle destitution?
-de la même manière, en appeler à l’Armée ne permettrait-il pas à celle-ci de constituer un régime de type junte ou dictatorial (cf: Grèce, Amérique du Sud, Franco,etc…)
-de la même manière, la désobéissance civile étant en passe d’^^etre plus ou moins assimilée à du terrorisme des forces de l’Ordre ne répondant plus aux injonctions de l’Exécutif ne seraient-elles pas considérées comme « illégitimes » par les forces « légalistes »? de quelle manière la Justice pourrait-elle résoudre ce dilemne? la Cour Constitutionnelle a-t-elle suffisamment d’importance pour décider dans une telle situation de qui représente la légalité et qui non? qui est coupable de sédition ou rebellion?
-en fait, dans une telle situation, à qui reviendrait le Pouvoir? le Parlement, n’étant que la cour de NS…à l’Armée? à un Comité de Salut Public ou Comité Révolutionnaire? qui en serait légitiment partie? le dit peuple souverain?
Cordialement,
[b]Il y a plusieurs questions que je me pose ! [/b]
[b][i]En effet, sachant qu’il a été élu par près de 53 % des électeurs français, sommes nous en droit de demander la démission du Président de la République, au risque de ne pas attendre la Présidentielle « 2012 » ?[/i][/b]
[b][i]Au plan de nos Institutions et de notre Constitution de la Vè République, quelle est notre légitimité légale à faire cette demande ?
Ne serait-il pas préférable de manifester massivement, ce, afin de demander le départ du Gouvernement, donc, ce, de manière à provoquer des élections législatives anticipées ? [/i][/b]
[b]Institutionnellement, bien que nous soyons dans un Régime de Quinquennat Présidentiel, que je considère comme excessivement dangereux et antidémocratique, rien ne s’oppose à ce que des élections législatives anticipées soient organisées ; rien ne s’oppose non plus à ce qu’une autre majorité soit mise en place, obligeant le Président de la République à nommer un Premier Ministre issu d’une formation politique opposée à son camp UMP/Nouveau Centre !
Il est clair que nous sommes dans une situation très graves, nos libertés fondamentales étant bafouées ! De plus, les Français confrontés au chômage, à la précarité des emplois, au mal et non logement, à la stagnation des salaires, des pensions de retraite, des allocations « chomage » et des minima sociaux, à l’augmentation continuelle des prix, à l’augmentation de la misère… semblent dégoûtés de la classe politique, ne comprenant pas qu’on leur parle d’Europe, alors qu’ils accusent celle-ci de tous leurs maux !
Alors, si rien n’est fait, le danger est grand de voir la rue gronder… Alors, gare à 2012 : il risquerait d’y avoir de drôles de surprises bien pires que celle qu’on a eu au soir du 21 avril 2002.[/b]
@Mr Dutilloy:
les principes de 1789 ont-ils autorité sur la Constitution actuelle ou non? si oui, la légitimité d’une telle demande semble plausible…si non, quelle procédure en dehors de l’accusation de haute trahison pourrait permettre la destitution d’un président élu au suffrage universel?
Cordialement,
ps: j’ai répondu à vos questions sous mon article « libéral-fascisme »…
Et cette crise a commencé en 1974 !
Mais, comme je l’ai écrit dans mon livre politique : [b]« Divorce sans Consentement Mutuel »[/b], paru aux [b]Éditions [/b][b]Veevre [/b]( [url]http://www.veevre.fr[/url] ) en mars 2009, et, disponible sur [url]http://www.vosromans.fr/partenaires/partC4N.html[/url] ,
elle s’est aggravée au point de provoquer ce séisme que nous connaissons depuis le 21 avril 2002, et, qui a provoqué, entre 2002 et 2005, trois gifles électorales…
JackDaniels, le Peuple ne peut destituer le Président de la République qu’en le chassant du pouvoir grâce à son bulletin placé dans l’urne lors des premier et second tours d’une élection présidentielle ! C’est ce qui est arrivé à Valéry Giscard-d’Estaing, qui, briguant un second Septennat, a été battu, le 10 mai 1981, par François Mitterrand !
Cependant, l’article 68 de la Constitution de la Vè République précise : « Le Président de la République
JackDaniels, suite de mon commentaire :
Cependant, [b]l’article 68 de la Constitution de la Vè République [/b]précise : [b][i]« Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour. La proposition de réunion de la Haute Cour adoptée par une des assemblées du Parlement est aussitôt transmise à l’autre qui se prononce dans les quinze jours. La Haute Cour est présidée par le Président de l’Assemblée Nationale. Elle statue dans un délai d’un mois, à bulletins secrets, sur la destitution. Sa décision est d’effet immédiat. Les décisions prises en application du présent article le sont à la majorité des deux tiers des membres composant l’assemblée concernée ou la Haute Cour. Toute délégation de vote est interdite. Seuls sont recensés les votes favorables à la proposition de réunion de la Haute Cour ou à la destitution. Une loi organique fixe les conditions d’application du présent article. » [/i][/b].
[b]JackDaniels[/b],
les [b]principes [/b][b]de [/b][b]1789 [/b]n’ont aucune autorité sur la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], pour ce qui concerne la « possible » destitution du [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République[/b], la désignation de la [b]Haute [/b][b]Cour[/b], dont je viens de parler, seule apte à prononcer une éventuelle destitution !
Par contre, ces mêmes [b]principes [/b][b]de [/b][b]1789 [/b]ont autorité sur cette même constitution en ce qui concerne
– le respect des droits de l’homme et du citoyen,
– la libre circulation des personnes et des biens,
– le libre droit d’être propriétaire de biens et de pouvoir en disposer librement,
– le libre droit à l’expression démocratique et politique,
– le libre droit à l’expression…
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
@Mr Dutilloy :
J’entends bien votre propos, mais penser que le Parlement actuel se lancerait dans une telle procédure me semble surréaliste…bien que NS semble bien manquer à nombre de ses devoirs en tant que Président de la République…or le dit peuple ne semble avoir plus aucun recours, attendre 2012 risque de permettre une dérive encore plus importante, j’en arrive à envisager la possibilité qu’aucune élection présidentielle ne sera au programme en 2012, pour vous dire, vu la vitesse et la profusion sarkozienne en matière de « lois mesures liberticides »…
En cela, il me semble que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen me semble avoir autorité sur les constitutions…en cas de nécessité de recours ultime ou d’impossibilité de juger dans les limites constitutionnelles.
Partant de là, si je m’en tiens aux textes qui ont fondés notre République, pour exemple les deux articles suivants :
-article 29 « dans tout gouvernement libre, les hommes doivent avoir un moyen légal de résister à l’oppression; et lorsque ce moyen est impuissant, l’insurrection est le plus saint des devoirs » Déclaration de 1793
-article 35 « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
Il apparaît clair que du moment où le peuple ne dispose plus de moyens légaux pour se faire entendre, dans une situation où l’Exécutif par sa politique, ses lois, ses mesures viole, restreint, limite, s’attaque aux libertés fondamentales issues de 1789, la seule option restant le cas échéant est l’insurrection, cela en accord avec nos principes fondateurs…
Les médias sont sous contrôle, l’Exécutif ne tient pas compte des grèves, manifestations : exemple Mr Sarkozy, jouant la provoc, est allé dire lors des dernières grèves, que son devoir était d’écouter les non-grévistes, en cela il enlève toute portée à un moyen légal et reconnu d’exprimer son opinion : le droit de grève.
De la même façon, les affaires Colonna ou Coupat sont somme toute à la limite de l’arbitraire, ainsi que les diverses lois « liberticides et/ou sécuritaires »…etc…
Donc si l’Exécutif prive de toute portée les moyens légaux d’expression, d’opinion, d’action, si il limite aussi les dites libertés individuelles, en vertu des principes énoncés en 1789, 1793, 1793…l’insurrection est légitime, me semble-t-il…
Ma question est donc : quelle devrait être la réaction de l’Armée et/ou des forces de l’Ordre ? soutien à l’insurrection ou non ? quelle attitude serait légitime ?
Aussi quelle serait la réaction des armées européennes en cas d’insurrection en France ? interviendraient-elles ? (France membre OTAN et défense européenne)
Le cas échéant l’Armée française devait-elle protéger l’intégrité territoriale ou accepter cette « aide » ?
Cordialement,
Oui, [b]JackDaniels[/b], je veux bien croire que vous avez raison ! Et, en fait, vous avez parfaitement raison dans ce que vous écrivez…
Cependant, nous sommes sous la [b]Vè [/b][b]République[/b], celle qui a donné, au peuple français, le droit de voter pour un [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]!
Or, si vous vous en souvenez, sous la [b]IIIè [/b][b]République[/b], sous la [b]IVè [/b][b]République[/b], le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République[/b], qui ne jouissait pas des mêmes pouvoirs que sous la [b]Vè [/b][b]République[/b], était élu par un collège de [b]grands [/b][b]électeurs [/b]!
Alors, cet article 68 de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b][b]la [/b][/b][b]Vè [/b][b]République[/b], que j’ai décrit, serait, à l’heure actuelle, le seul apte à être mis en place pour destituer le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République[/b]…
Nous ne sommes plus en 1789, bien que les grands principes soient restés… Notre Pays a changé plusieurs fois de Constitution, et, pourrait très bien en changer ! Il en est de même pour les Institutions, qui ne sont pas les mêmes qu’en 1789, qui pourraient changer…
Puis, je rappelle que [b]Nicolas [/b][b]Sarkozy [/b]est élu pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois ! Alors, seule sa défaite aux [b]Présidentielles [/b][b] »2012″[/b] pourrait l’écarter définitivement du pouvoir !
Quelle doit être l’attitude de l’Armée ? Quelle doit être l’attitude des Forces de l’Ordre ?
Les fonctionnaires, tous les fonctionnaires, par principe, n’obéissent qu’à l’État !
L’État étant géré par des élus, ils obéissent indirectement à ceux-ci, devant, pour ce qui concerne militaires et policiers, observer un devoir de réserve bien compréhensible, n’ayant pas le droit de militer dans un parti politique…
Certes, le Président de la République a reçu, du peuple français, un mandat de cinq ans, pour un programme politique, économique, social… qu’il lui a présenté ; certes, le Gouvernement, qui est l’illustration même d’une majorité qui se sera dégagée à l’issue des premier et second tours d’une élection législative, conduit et détermine la politique de la Nation, conformément au souhait des Français qui ont voté pour cette majorité gouvernementale !
Cependant, les militaires ne peuvent, et n’ont pas le droit de le faire, intervenir à la suite de manifestations pouvant déboucher sur des violences urbaines ! Leur mission est d’assurer la défense du Territoire national, pas de réprimer des manifestations violentes ! Seuls, les gendarmes, qui sont des militaires, ont mission de réprimer les manifestations violentes, mais uniquement dans une mission de protection de l’ordre public !
Quant aux forces de l’ordre, et je veux parler des policiers (y compris les CRS), ils sont là pour assurer le maintien de l’ordre, la protection des biens, et de réprimer les violences urbaines !
@Mr Dutilloy:
je pense que si nous voulons échapper à toute situation insurrectionnelle, il va falloir d’un changer la Cosntitution actuelle et donc la nature du régime présidentiel qui permet une telle situation.
de deux, il va falloir éviter de retomber dans les travers des anciens modèles de République, qui rendait impossible tout gouvernement ou politique viable à long terme.
Le problème étant, que dans la situation actuelle, je ne pense pas que nous arriverons en 2012 sans « insurrection » ou crise politique/sociale majeure:
-que fera donc NS dans cette situation? c’est celà qui me pose problème, lorsque je m’intéresse à sa personnalité et à sa « politique » qui relève plus de l’improvisation que d’autre chose.
-je vois poindre l’état d’urgence ou l’état d’exception…avec NS à la tête de l’Etat, je crains ce que cela pourrait signifier, de même que je m’interroge vraiment sur la possibilité d’élection présidentielle en 2012 dans un tel cas…
voilà mon propos, que se passera-t-il donc? comment réagiront forces de l’Ordre et Armée, suivront-elles l’Exécutif ou protègeront-elles notre héritage « 1789 »?
car il est certain que d’ors et déjà aujourd’hui: liberté d’opinion/d’expression/d’action sont attaquées: certes la concentration/contrôle des médias ne constitue pas d’emblée une atteinte à la liberté d’opinion:d’expression mais la vide de toute portée, de même que la « criminalisation » de la liberté d’action ou de la contestation.
si nous n’avons aucun recours légal afin de corriger la situation actuelle, nous sommes bel et bien dans une impasse, que dans le meilleur des cas, un changement constitutionnel résolvera, dans le pire attendons-nous à une crise majeure voir à une insurrection …avec tout ce que cela entend…
Cordialement,
démission ou destitution ou soumission
Une révolution n’obeit qu’aux lois qu’elle va écrire, pas à celles qu’elle veut déchirer.
La révolution force la loi jusqu’à avoir force de loi, les forces de l’ordre sont au service du peuple (force publique). Article numéro 12, 15 ? (il est tard / tôt).
@Patrice Hénin:
effectivement que dans une optique révolutionnaire, l’obéissance à l’ancienne Loi ne teint plus, cependant les forces de l’Ordre ne sont force de l’ordre qu’en vertu de la Loi que la révolution est supposée « forcer »…partant de là, elles ne peuvent servir la « nouvelle loi » celle-ci n’existant pas au moment de la révolution.
soit…
il n’empêche que votre article parle d’une pétition, d’une demande de démission, non pas d’une révolution…l’insurrection ne peut être fondée, si elle résulte d’une volonté démocratique, que dans le cadre de la réistance à l’oppression ou si l’Exécutif ne sert plus le peuple souverain..ce qui semble être la situation actuelle…
il ne s’agirait donc pas le cas échéant d’une révolution mais d’une insurrection « démocratique » soit d’un renversement par le peuple souverain d’un Exécutif ne répondant plus à l’impératif démocratique, uniquement dans ce cas là, on peut envisager un soutien des forces de l’Ordre ou de l’Armée..à la condition que celles-ci ne soient pas soumises à l’Exéuctif mais à la défense du droit souverain du peuple.
Une révolution est autre chose, elle n’a pas besoin d’une caution « démocratique » pour s’enclencher, pas plus que le régime qui surgira de cette révolution ne sera certain d’être démocratique ou de garantir le droit souverain du peuple.
Cordialement,
« Sarkozy doit-il démissionner ?: Si peuple veut ! »
et aussi, si Dieu le veut !
Regardez Fillon , il a failli partir .
regardez Sarkozy , son avion a failli lui faire défaut à Villacoublay .
[b]Veritas[/b],
Dieu n’a rien à voir avec tout ceci… Rappelez-vous cet [b]article [/b][b]1er [/b]de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], qui, en son [b]Préambule[/b], stipule : [b][b][i]« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandants électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales.»[/i][/b][/b], et, qui, de facto, renforce la [b]Loi [/b][b]de [/b][b]1905 [/b][b][i]portant [/i][/b][b][i]Séparation [/i][/b][b][i]des [/i][/b][b][i]Églises [/i][/b][b][i]et [/i][/b][b][i]de [/i][/b][b][i]l’État [/i][/b]!
Alors, le fait que [b]Fillon [/b]ait failli partir, ce n’est pas l’œuvre de [b]Dieu[/b] !
Quant au [b]Président [/b][b]Sarkozy[/b], son avion lui a bien fait défaut à [b]Villacoublay[/b], à un point tel qu’il a été obligé d’embarquer dans un autre avion ! Mais, là aussi, ce n’est pas l’œuvre de [b]Dieu[/b]… C’est la mécanique et la technique, qui ont fait que cet avion est tombé en panne !
Dieu n’a rien à voir avec tout ceci…
c’est ce que vous pensez;
mais ce n’est pas ce que j’ai écrit !
vous etes libre d’avoir vos idées ;
je suis libre d’avoir les miennes et de les écrire !!!
(siècles des lumière oblige , mon cher !!!)
[b]Jackdaniels[/b],
pour changer de [b]Constitution[/b], ce, afin d’aboutir à une [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]VIè [/b][b]République[/b], il faut qu’il y ait [b]crise [/b][b]institutionnelle[/b]… Or, tous les ingrédients sont là, qui font que la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], ayant été « toilettée » 22 fois, est à bout de souffle !
Comme vous le savez, le [b][b]Général [/b][/b][b]de [/b][b]Gaulle [/b]a été le dernier [b]Président [/b][b]du [/b][b][b]Conseil [/b][/b][b]des [/b][b]Ministres [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]IVè [/b][b]République[/b], sous le septennat de [b]René [/b][b]Coty[/b], [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République[/b]… Ce fut, comme vous le savez, un coup d’état sans effusion de sang, qui fut organisé par le [b]Général [/b][b]de [/b][b]Gaulle [/b]et ses amis, qui provoquèrent la chute du [b][b]Président [/b][/b][b][b]Coty [/b][/b]! Comme vous le savez, le [b]Général [/b][b]de [/b][b]Gaulle[/b], et ses amis, dont [b]Michel [/b][b]Debré[/b], ont rédigé la [b][b]Constitution [/b][/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], qu’ils ont soumis au peuple français par référendum ! Celle-ci, qui fut adoptée le 28 septembre 1958, prévoyait, [u][i]et [/i][/u][i][u]cela [/u][/i][i][u][u]constituait [/u][/u][/i][u][i]en [/i][/u][i][u]soi [/u][/i][i][u]une [/u][/i][i][u]révolution[/u][/i], l’élection du Président de la République au suffrage universel direct à deux tours !
D’ailleurs, si vous vous en souvenez, ce fut le [b]Général [/b][b]de [/b][b]Gaulle[/b], qui,le 21 décembre 1958, devint le premier [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]à être élu par le peuple français !
Alors, oui… Il faut une révolution, qui soit comparable à celle que je viens de vous décrire… Il ne faut pas qu’il y ait des bains de sang et de périodes insurrectionnelles…
Le peuple français est là, qui divorce de plus en plus avec sa classe politique !
[b][u]Quant à savoir si le Président Nicolas Sarkozy doit être destitué, il faudrait s’entendre sur les hautes trahisons dont il se serait rendu coupable, à vos yeux, ou à ceux de Patrice Hénin, l’auteur de cet article[/u] : [/b] [i]de [/i][i]quelles [/i][i]hautes [/i][i]trahisons,[/i] [i][i]s[/i][/i][i]'[/i][i]agit[/i][i]-il [/i]?
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
[i][b]Bien entendu, Veritas, vous êtes libre d’écrire ce que vous voulez… Cependant, nous sommes, comme je viens de le rappeler, dans une République Laïque ! De plus, vous êtes hors sujet par rapport à cet article, puisque Patrice Hénin, son auteur, a discuté de l’opportunité de « demander la destitution du Président de la République »… Alors, pour moi, Dieu n’a rien à voir dans tout ceci ![/b][/i]
« Bien entendu, Veritas, vous êtes libre d’écrire ce que vous voulez… »
je vous en remercie, Dominique ….au N.O.M. du siècle des lumières !!!!
[b]Il n’y a pas de quoi, Veritas… Je ne parle pas du N.O.M., ni du siècle des lumières… Je me contente d’ajouter ma contribution à cet article ![/b]
@Dominique Dutilloy
je conçois votre propos, or crise institutionnelle, il semble bien que nous y faisons face..donc question : qui initie un changement constitutionnel ? le président ? le parlement ? dans les deux cas, cela me semble improbable sous l’ère Sarkozy…
qui le cas échéant pourrait mener ce « coup d’état » légal ?
quant à la haute-trahison ? comment la définit-on ? en fonction de collaboration avec l’ennemi ? lequel ? extèrieur ou intérieur ? considèrant qu’il serait difficile de considèrer des citoyens français comme ennemis, je ne vois pas de quelle manière, la haute-trahison pourrait être entendue que dans le fait d’un président ne servant plus les intérêts de toute la nation mais juste des intérêts particuliers..cela relève-t-il de la trahison ou non ?
donc impasse, me semble-t-il, qui dit impasse suppose crise plus qu’institutionnelle et possibilité d’insurrection…pour un « coup d’état » déposant sa majesté NS ou finissant sur une « dictature NS » ?
Cordialement,
la haute trahison , la haute trahison …
il doit bien y a des cas simple où elle s’applique
par exemple le cas historique de Ph. Pétain.
[b]Jackdaniels[/b],
comme je viens de vous l’écrire, un [b]Président [/b][b]du [/b][b]Conseil [/b][b]des [/b][b]Ministres[/b], à [u][i]savoir [/i][/u][i]:[/i] [i]le [/i][i]Général [/i][i]de [/i][i]Gaulle[/i], a provoqué la mort annoncée de la [i]IVè [/i][i]République[/i]… Alors, cela pourrait fort bien être le [b]Premier [/b][b]Ministre[/b], [i]l'[/i][i]actuel [/i][i]ou [/i][i][i]un [/i][/i][i]suivant[/i], qui pourrait provoquer la mort annoncée de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b][b]la [/b][/b][b][b]Vè [/b][/b][b]République [/b]!
Or, [b]l’article 20 de la Constitution de la Vè République[/b] stipule, au sujet du [b]Premier [/b][b]Ministre[/b], [b][i]« Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation. Il dispose de l’administration et de la force armée. Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49, 49(1), 50 et 50(1).»[/i][/b].
En clair, cela signifie que le [b]Premier [/b][b]Ministre [/b]est l’illustration même de la majorité gouvernementale qui se sera dégagée à l’issue des premiers et second tours d’une élection législative !
Cela signifie également que le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République[/b], qui ne vote pas la [b]Loi[/b], qui ne crée pas la [b]Loi[/b], la promulgue, restant dans son rôle d'[b]arbitre [/b][b]suprême [/b][b][b]de [/b][/b][b]la [/b][b][b]Nation[/b][/b], de [b]Président [/b]de tous les Français, de [b]Gardien [/b][b]des [/b][b]Institutions [/b][b]dont [/b][b]il [/b][b][b]est [/b][/b][b]la [/b][b]clef [/b][b]de [/b][b][b]voûte [/b][/b]!
Alors, trahison ? Envers qui ? Notre pays n’est pas en situation de conflit mondial !
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
[b]Veritas[/b],
pour rappels, [b]Philippe [/b][b]Pétain [/b]était le [b]Chef [/b][b]de [/b][b]l’État Français [/b]! Or, nous étions en guerre avec l’Allemagne… Là, on peut parler de [b][i] »[/i][/b][b][i]haute [/i][/b][b][b][i]trahison »[/i][/b][/b], puisque le [b]Maréchal [/b][b]Pétain [/b]avait mené une politique de collaboration avec l’Allemagne nazie !
Or, de vous à moi, est ce que [b]Nicolas [/b][b]Sarkozy [/b]a livré notre Pays à un envahisseur ?
Donc, il n’y a aucune comparaison entre les deux cas !
@Dominique Dutilloy :
j’ai bien compris votre propos mais si d’un le Premier Ministre ne détermine ni ne conduit la politique nationale, ce qui est le cas actuellement, puisque c’est le président qui fait « tout » et décide de « tout », si de deux le président n’est plus dans sa « fonction » tel que définit par la Constitution, comment espèrer un tel changement de constitution ?
de la même manière, si c’est la même majorité qui remporte les prochaines échéances électorales présidentielles et législatives, qui donc peut provoquer ce changement et restaurer la « normalité » dans le fonctionnement de nos institutions ? qui si ce n’est l’Armée ou le Peuple ? l’insurrection « démocratique » est-elle légitime ou non lorsque l’Exécutif ne se conforme plus aux valeurs de la République ?
Cordialement,
[b]Jackdaniels[/b],
justement, le [b]Président [/b][b][b]de [/b][/b][b]la [/b][b]République[/b], en agissant ainsi, ne respecte pas [b][b]la [/b][/b][b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], en particulier cet [b]article [/b][b]20 [/b]que vous venez de lire !
Or, comme vous le constaterez, c’est le [b]Régime [/b][b]de [/b][b]Quinquennat [/b][b]Présidentiel[/b], très antidémocratique, très dangereux,qui nous cause ce problème majeur !
Cependant, rien n’interdit un [b]Premier [/b][b]Ministre [/b], [b][i]François [/i][/b][b][i]Fillon [/i][/b][i][i]ou [/i][/i][i]un [/i][i]de [/i][i]ses [/i][i]successeurs[/i], de s’en inquiéter ouvertement en allant saisir le [b]Conseil [/b][b]Constitutionnel [/b]! Là, on en est certains, il provoquera une très grave crise constitutionnelle, les faits lui donnant raison, puisqu’il aura demandé au [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]de rester dans son rôle !
Je dois également vous faire remarquer que, contrairement à ce que beaucoup de personnes croient, rien ne s’oppose, dans un [b]Régime [/b][b][b]de [/b][/b][b]Quinquennat [/b][b][b]Présidentiel[/b][/b], à ce qu’il y ait, dans un avenir proche, un [b]gouvernement [/b][b]de [/b][b]Cohabitation [/b]([u][i]non [/i][/u][u][i]désiré[/i][/u]) ! Il suffit qu’il y ait une fronde au [b]Parlement [/b]pour que le [b]Gouvernement [/b]saute, ce qui provoquerait des élections législatives anticipées !
Maintenant, je reste persuadé que [b]Nicolas [/b][b]Sarkozy [/b]ne sera pas réélu à la tête de notre Pays !
Pour terminer, [b]Jacdaniels[/b], je vous recommande la lecture de mon papier : [b][i]« Il est urgent de revenir, par voie référendaire, au Septennat présidentiel [/i][/b][b][i]»[/i][/b], en cliquant sur ce lien :
[url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3147[/url]
Il vous expliquera pourquoi je suis contre ce régime !
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
@Dominique Dutilloy:
je vous ai bien compris mais encore une fois nous sommes face au serpent qui se mord la queue? envisager que Mr Fillon saisisse le Conseil Constitutionnel afin d’inquiéter NS me semble surréaliste…ce système donc empêche dans les faits tout changement du moment que d’un: il accorde au statut de président une importance non conforme aux valeurs démoctratiques, de deux il rend le Parlement et le Gouvernement impuissants.
même en cas de victoire de l’opposition en 2012, je ne vois pas pourquoi le nouveau président changerait un tel système qui leur est si favorbale, j’ai compris que c’est le Premier Ministre qui est sesné initier un tel processus, mais ce système vassalise cette fonction ainsi que le Parlement…
je ne vois donc aucune option autre qu’un mouvement « populaire » suffisamment conséquent pour faire plier nos politiques dans ce sens.
Cordialement,
[b]Jackdaniels[/b],
[b][i]en Politique, tout est possible… même l’inimaginable, même l’impensable… [/i][/b]
[b][i][i]Alors, nul ne sait de quoi demain sera fait ! [/i][/i][/b
[b]Lisez mon article, que je viens de vous référencer en cliquant sur le lien en bleu… Ensuite, vous comprendrez le pourquoi de ma position, ici, sous le papier de Patrice Hénin !
Je reste persuadé que, tôt ou tard, il y aura un clash, qui viendra très certainement d’une personne qui voudra faire appliquer nos Institutions de manière correcte !
Et ce n’est pas le serpent qui se mord la queue, qui changera le problème… Bien au contraire !
Actuellement, bien que j’en souhaite son maintien, j’estime que le poste de Premier Ministre est totalement inutile ! C’est là dessus que joue Nicolas Sarkozy !
Cordialement,
Dominique Dutilloy[/b]
Blague cet article? 😀
Quand je lis cet article et certains commentaires le sourire me vint aux lèvres.
Croyez vous que Sarkozy est le seul homme qui prend les décisions? à en croire ce que vous dites c’est le cas mais les lois sont aussi votés au Sénat et à l’Assemblée je rappelle.
Apparemment vous pensez également qu’un seul homme peut changer la France … sans pouvoir magique ceci est impossible, le monde est ainsi fait de nos jours. Sarkozy est coincer tant par les grandes puissances mondiales que par l’Europe.
Et quand je lis certains, je suis exaspéré de voir que le premier mot qui leur vienne à la bouche c’est GREVE: savez vous qu’a l’étranger la réputation des français c’est cela gréviste??? on se demande bien pourquoi. En France c’est faisons la grève puis discutons, ne croyez vous pas que discuter avec la grève serez plus judicieux?
ceci n’est que mon opinion! Quand vous faites grève pensez vous aux conséquences sur votre entreprise, la perte d’argent que cela engendre pour elle … je suppose que non!
Alors arrêter de vous plaindre de perdre votre emplois pour certains.
Quand a l’article rédigé par un gauchiste je pense, admettons une démission de Monsieur Sarkozy mais qui pour le remplacer? la est toute la question, sur ceux méditez bien.
le terrorisme ultra gauchiste?
@Patrice Hénin, même si je ne partage pas tes vues, je reconnais ton droit à l’xprimer, même si le régime que tu appelle de tes voeux ne laisserait plus ce droit.
@Dominique, tu me surprends toi l’umaniste de t’être laissé embringuer dans cette discussion haineuse et anti démocratique.
Réclamer au nom du peuple français (QUI?) la démission de Nicolas Sarkozy est prendre ses désir pour des réalités; la série des parceque … n’est qu’une suite de lieux communs amalgamant tout ce qui peut avoir servir de caisse de raisonnance. ont été oubliés: parceque l’équipe de France de Foot n’a rien gagné depuis longtemps, parceque … hier le temps était désagrable et qu’aujourd’hui il fait trop chaud pour la saison, parceque Mathieu Simon et Monfils viennent d’être éliminés au tournoi de MonteCarlo … etc … que voilà donc de bonnes raisons d’exiger la démission de notre président!
Reparlons plutot de Vichy. Une bonne nouvelle la coatch du Président (Tiens!) va y organiser des stages de remise en forme…
@gergovia
Je ne sais si vous classez mes commentaires dans la catégorie « haine et anti-démocratie », j’ai juste posé des questions, en l’occurrence à Mr Dutilloy dans le cas de la situation envisagée par cet article.
D’un est-ce que la destitution d’un président est possible ou non en France ? de deux sur quels critères faudrait-ils se fonder ? trois l’insurrection peut-elle être légitimer démocratiquement ou non ? enfin quel rôle auraient les forces de l’ordre ou l’armée dans un tel contexte.
Il s’agit là d’un questionnement et non pas d’un appel à la révolution ou à l’insurrection, juste quel biais a le Peuple dans le cas où l’Exécutif ne répond plus à l’impératif démocratique de servir le Peuple et non pas des intérêts particuliers ou autres. Et le cas échéant NS est-il en « infraction » avec ce devoir démocratique ou non ?
Voilà tout, afin d’éclaircir mes propos.
Cordialement,
Bonjour
[img]http://www1.bestgraph.com/gifs/animaux/abeilles/abeilles-02.gif[/img] Patrice,
Dans votre article je retrouve les plaintes que de nombreux français que je côtoie tous les jours, expriment.
Mais en effet, si Nicolas Sarkozy démissionne par qui allons-nous le remplacer ??? C’est là une très bonne question, malgré que je pense que ce Président ne doive absolument pas rester au pouvoir.
Bien sûr qu’il n’est pas seul à diriger la France, mais lorsqu’un problème le dérange, c’est bien lui et lui tout seul qui ne s’occupe pas du discours des autres et fait voter une loi, qui l’arrange. C’est bien lui qui met ses amis à des postes haut placé pour ensuite avoir la main mise sur les médias, la justice etc…
Bien sûr qu’avec des « Parce que » des « Si » on ne peut refaire le monde, mais les français souffrent et j’ai bien peur que d’ici peu leur colère ne s’exprime de façon plus violente, qu’un article.
Nicolas Sarkozy pourrait bien nous surprendre avec son Ego, ses ambitions de pouvoir et je crois que nous devons y penser sérieusement.
Un vote Super.
Amicalement.
ANDREA.
à JackDaniel, mon commentaire ne s’adressait pas aux votre qui même si je ne les partage pas toujours mais a l’article sujet du débat qui lui est un appel à l’insurrection.
[i]est-ce que la destitution d’un président est possible ou non en France ?[/i] [b] Oui[/b]
[i]
[i]sur quels critères faudrait-ils se fonder ?[/i][/i]L’incapacité à gouverner (santé mentale ou physique) ou la forfaiture ou haute trahison
[i] trois l’insurrection peut-elle être légitimer démocratiquement ou non ?[/i]
[b]Non car elle n’est pas inscrite dans notre constitution, et que la réponse suivante la rend très aléatoire[/b]
[i] enfin quel rôle auraient les forces de l’ordre ou l’armée dans un tel contexte.[/i]
[b]Les forces de l’ordre sont foncièrement républicaine et légitimiste; elle ne suivraient pas (rappelez vous le putch d’Alger)[/b]
[i]Les minorités qui essaieraient un coup d’état ne parviendraient pas à obtenir plus que le controle de certains quartiers de certaines villes et encore avec l’appui des caids locaux, donc de la « pègre »[/i]
[i]NS est il en infraction avec le « Devoir Démocratique »?[/i]: Certainement moins que ses prédecesseurs et dans un contexte beaucoup plus défavorable.Une tentative d’insurrection par la rue resserait les français autour de lui lui donnerait plus de pouvoir… rappelez vous le retour de De Gaulle de Colombey en 1968
Amicalement JN
@Gergovia
je vous remercie pour votre commentaire, ainsi que les éclaircissements que vous avez apporté, j’aimerai rebondir sur certains points :
est-ce que la destitution d’un président est possible ou non en France ? Oui
1) vous écrivez ceci : « sur quels critères faudrait-ils se fonder ?L’incapacité à gouverner (santé mentale ou physique) ou la forfaiture ou haute trahison »
j’ai bien une idée de qui définit la trahison, mais il me semble que sur la forfaiture les définitions soient variables. Ensuite, dans l’incapacité à gouverner, liée à la « santé mentale » prend-elle en compte les personnalités de type ultra-narcissique, voir mégalomaniaque ? ce qui relève bien de désordres mentaux, ayant vocation à être traités par la pyschologie ou au pire en psychiatrie. Pra cette question volontairement ironique, je voudrais savoir quel état mental est considéré comme entravant l’exercice du pouvoir. Les troubles d’ordre psychologiques sont-ils à considérer ou non ?
2) vous écrivez ceci : « trois l’insurrection peut-elle être légitimer démocratiquement ou non ?
Non car elle n’est pas inscrite dans notre constitution, et que la réponse suivante la rend très aléatoire »
Il me semble que les déclarations de 1793 et 1795 légitiment l’insurrection dans le cadre de la résistance à l’oppression ou lorsque l’Exécutif ne sert plus le Peuple, considèrant que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen a autorité sur notre Constitution, une insurrection serait-elle forcément illégitime au regard de nos principes démocratiques ?
3) vous continuez en me répondant sur le rôle de l’Armée ou des forces de l’Ordre, ainsi : « Les forces de l’ordre sont foncièrement républicaine et légitimiste; elle ne suivraient pas (rappelez vous le putch d’Alger) »
Lorsque vous dites républicaines et légitimistes, qu’entendez-vous ? ont-elles vocation à défendre l’Exécutif quoiqu’il en soit, ou la République et donc ses principes démocratiques ?
4) enfin dernière chose, vous concluez ainsi : « NS est il en infraction avec le « Devoir Démocratique »?: Certainement moins que ses prédecesseurs et dans un contexte beaucoup plus défavorable.Une tentative d’insurrection par la rue resserait les français autour de lui lui donnerait plus de pouvoir… rappelez vous le retour de De Gaulle de Colombey en 1968 »
Si je m’intéresse aux prédécesseurs, il est certain que des dérives sont à noter, mais je n’ai pas connaissance d’une telle concentration/captation de tous les pouvoirs : politique, économique, médiatique,etc..au sein d’un même « clan » servant les intérêts du dit « clan ».
Seule la période « autoritaire » de De Gaulle me semble comporté quelques similitudes même si de fait, De Gaulle servait bel et bien la France et non pas une partie de celle-ci ou les élites économiques/financières.
Je n’ai pas connaissance d’une politique « d’éradication » de l’opposition aussi virulente et effective avant la dite politique d’ouverture de NS, de même je n’ai pas connaissance d’une telle mainmise sur les médias (ORTF certes mais pluralité des opinions conservée dans la presse écrite) …
Donc, je me demande bien en tenant compte de tous ces éléments, ainsi que des diverses lois sécuritaires, et/ou liberticides potentiellement ou effectivement, si NS est réellement dans une perspective démocratique ou à la limite de l’autoritarisme.
Cordialement,
[b]Gergovia[/b],
contrairement à ce que tu écris, je ne me suis pas laissé embarquer dans cette discussion [b][i] »haineuse »[/i][/b] », à tes yeux… J’ai simplement rappelé les fondements même de notre [b]Constitution[/b], qui interdit la destitution du [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b], sauf en cas de haute trahison !
A [b]Jackdaniels[/b], à [b]Patrice [/b][b][b]Hénin[/b][/b], je rappelle les dangers du [b]Quinquennat [/b][b]Présidentiel[/b], à mon sens, un régime antidémocratique !
[b][i]Donc, il faudrait que tu relises tous mes commentaires pour t’apercevoir que la seule destitution dont pourrait être victime Nicolas Sarkozy pourrait venir des urnes…[/i][/b]
[b]Avec toute mon amitié,[/b]
[b]Dominique[/b]
[b]je_re_my, qu’est ce qui vous autorise à considérer que ce papier a été rédigé par un Gauchiste ?
[i]Que je sache, les adversaires politiques du Président Sarkozy ne sont pas issus uniquement de la Gauche ! Il y en a à Droite, au Centre… et aux partis extrémistes ![/i][/b]
Histoire de clarifier le débat, voici l’étendu des pouvoirs du Président de la République
La présidence dans la Cinquième République est la plus haute fonction de l’État Français.
Le chef de l’État est :
le détenteur du pouvoir exécutif,
le chef des armées françaises,
le plus haut magistrat de France,
le gran[u][u]d maître de la Légion d’honneur,
le co-prince d’Andorre.
Ses principales prérogatives sont définies dans la constitution de 1958 et ses amendements:
Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités.
Il nomm[/u][/u]e le Premier ministre et met fin à ses fonctions sur présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement. Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.
Il préside le Conseil des ministres.
Il promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée.
Sur proposition du gouvernement ou des deux chambres, il peut soumettre une loi ou une ratification de traité à un referendum.
Il peut, après consultation du Premier ministre et des présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale. Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans l’année qui suit la première.
Il accrédite les ambassadeurs et les envoyés extraordinaires auprès des puissances étrangères.
Il est le chef des armées. Il préside les conseils et comités supérieurs de la Défense nationale.
Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel. Il en informe la Nation par un message. Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d’assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d’accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet. Le Parlement se réunit de plein droit. L’Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.
Le Président de la République a le droit de faire grâce.
Sources lues sur le site de Présidentielle 2007 :
[url]http://www.presidentielle-2007.net/pouvoirs.php[/url[/url]
Histoire de clarifier le débat, voici le détail des pouvoirs du Président de la République
La présidence dans la Cinquième République est la plus haute fonction de l’État Français.
Le chef de l’État est :
le détenteur du pouvoir exécutif,
le chef des armées françaises,
le plus haut magistrat de France,
le grand maître de la Légion d’honneur,
le co-prince d’Andorre.
Ses principales prérogatives sont définies dans la constitution de 1958 et ses amendements:
Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités.
Il nomme le Premier ministre et met fin à ses fonctions sur présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement. Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.
Il préside le Conseil des ministres.
Il promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée.
Sur proposition du gouvernement ou des deux chambres, il peut soumettre une loi ou une ratification de traité à un referendum.
Il peut, après consultation du Premier ministre et des présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale. Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans l’année qui suit la première.
Il accrédite les ambassadeurs et les envoyés extraordinaires auprès des puissances étrangères.
Il est le chef des armées. Il préside les conseils et comités supérieurs de la Défense nationale.
Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel. Il en informe la Nation par un message. Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d’assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d’accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet. Le Parlement se réunit de plein droit. L’Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.
Le Président de la République a le droit de faire grâce.
Sources lues sur le site de ‘’Présidentielle 2007 » :
[url]http://www.presidentielle-2007.net/pouvoirs.php[/url]
Dominique j’ai regardé votre commentaire, mais je n’y ai pas vu la fonction ecclésiastique du président de la république :
Sa position très élevée de CHANOINE DU LATRAN !!!
[b]La Révolution ?
Le peuple doit se révolter pour obliger N.S. à « abdiquer » (démissionner)
Mais on est loin de 1789!
Ce discours d’Ultra Gauche n’a aucun sens!
Même Besancenot, n’en dirait pas autant!!!
Mais pensez vous que la France est encore « indépendante » ?
Nous faisons partie de l’Europe, et de l’OTAN, nous sommes les vassaux des puissants, et vous croyez que l’on nous laisserait faire Notre Révolution, sans intervenir par la force ?
Les conditions ne sont plus les mêmes qu’en 1789, et je ne m’étendrai pas sur la comparaison, il y a ici suffisamment d’hommes intelligents pour s’amuser à réécrire l’Histoire!!
Nous sommes en République démocratique, laissons faire le peuple en temps et en heure, c’est à dire en 2012!!
A moins que vous ne vous mettiez à penser à un coup d’Etat, pendant que vous y êtes!
Pire envisager l’assassinat de Nicolas Sarkozy, pour avancer l’échéance !!
Vous nous promettez là une belle dictature en perspective!!
Impensable, j’en mettrai mes…. « cheveux » à couper!!,[/b]
[i][b]Tout simplement, Veritas, c’est parce qu’il s’agit uniquement d’une distinction honorifique ! De ce fait, elle n’a pas à être mise dans les pouvoirs du Président de la République !
Cette tradition qui fait du Président de la République le Chanoine de Latran remonte, me semble-t-il, à Louis XI[/b][/i]
Pour en savoir plus sur les origines de cette distinction honorifique octroyée à tout Président de la République Française, il convient de cliquer sur ce lien :
[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Antonins[/url]
Puis, pour tous ceux que cela intéresse, voici un petit rappel historique sur les Présidents de la République française :
[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Président_de_la_République_française[/url]
@Chère SOPHY :
Rassurez-vous la grande Révolution aura bien lieu, rien ne peut s’opposer à l’irrésistible volonté du grand peuple de France, cependant rassurez-vous quant à votre devenir : le Comité de Salut Public et de Démocratique Terreur que mes camarades et frères islamogauchistes ne vous tiendra point rigueur pour les quelques articles ump-isant que vous avez produit sur ce forum citoyen corrompu par la l’ennemi du peuple bourgeois et capitaliste, nous savons que cela ne fut qu’un égarement de votre part et que la Lumière révolutionnaire saura vous illuminer de l’intérieur…qu’Allah et Marx soient loués !!! (répétez après moi, je vous prie !)
Mais vous comprendrez que dans la perspective de la Révolution permanente et la lutte contre les infidèles, vous devrez être ré-éduquée..ne vous inquiétez pas, le Comité de Salut Public et de Démocratique Terreur ne vous infligera aucun supplice physique, par contre vous serez contrainte pour une durée de 1 an et 1 jour de vous soumettre à un régime particulier, à savoir :
-vous serez nourri exclusivement de couscous et kebab, nourriture ô combien prolétarienne, dont les valeurs autant diététiques que hallal sont reconnues par tous les combattants du Peuple de France
-en second lieu, vous devrez apprendre par cœur le Saint Coran de même que les Mémoires du camarade Leonid Trotsky, nous ne vous infligerons pas la lecture du programme UMP, nous connaissons la souffrance que cela peut causer
-enfin, afin que votre ré-éducation soit complète, tout cela se passera dans un environnement sonore prolétarien, à savoir l’ensemble de la production de rap hexagonal et francophone…
Si à al fin de cette période de ré-éducation, le Comité de Salut Public et de Démocratique Terreur juge que vous n’avez pas suffisamment prouvé votre attachement à la Grande Révolution, vous serez déportée en Corse, où nos camarades du FLNC sauront vous faire entendre les vertus du combat populaire.
Bien entendu, nous sollicitons d’ors et déjà votre coopération, si ce n’est collaboration afin que tout se passe au mieux pour chacun. Qu’Allah et Marx soient loués..AMEN !!!
p.s : je déconne !!!pas de révolution au programme, le Peuple continuera à se faire balader par la caste politique pour longtemps encore…
[b]AHHHHHHHHHH, Cher Jackdaniels…
Allah, que c’est bon de rire….
Mais j’au eu peur !
Je ne vous connaissais pas sous ce jour, et votre humour, (un peu partisan tout de même)est aussi « profond » (?) que vos connaissances…
Je voudrai juste demander une faveur,s’il vous plait, pendant ma pénitence : pas de kebab, et pas trop de couscous
J’adore les deux, mais mon corps ne supportera pas ce régime journalier, et au sortir de ma pénitence vous risquez fort de ne pas me reconnaitre, (bouffie, boudinée, une horreur quoi!)
Pas de Loukoums non plus s’il vous plait,
Le Coran passe encore, on m’a bien infligé l’évangile quand je n’avais pas encore le droit à la parole, quand on me l’a imposé!
Je veux bien me passer de tous les discours UMP, mais surtout pas de Marx non plus, il est démodé, juste toute l’oeuvre de Molière, et tous les « romantiques », de lamartine, à gérard de Nerval, un peu de musique aussi…
Du classique de préférence, les opéras de Verdi seraient les bienvenus!
Je sais c’est beaucoup demander quand on est au « purgatoire d’Allah », mais ne dit-on pas qu’Allah est bon, qu’Allah est grand, alors pouvez interceptez pour moi auprès de lui ?
Je sens que je vais me faire des ennemis, d’ici peu…..
Bon, moi aussi, je « déconne »….
je vais tout de même le copier coller, votre commentaire, un comme celui là, on risque fort de ne pas en retrouver souvent… (hihihih)[/b]
Sarkozy, t’es petit mais t’es lourd
DÉBUT de citation de la deuxième réaction à cet article :
En effet, sachant qu’il a été élu par près de 53 % des électeurs français, sommes nous en droit de demander la démission
FIN
Aujourd’hui, le sondage dans Le Post montre que sur 7976 personnes interrogées, 1730 ont voté pour sa démission immédiate, 6,9% pour qu’il reste. Ceci le 14 avril 2009 à 21h21.
L’échantillon est plus représentatif qu’un sondage public type OpinionWay ou CSA, Ifop. Il faut savoir que les 577 assistants parlementaires et les 343 sénateurs ont été informé de ce sondage par mes soins, par courriels.
Depuis deux ans il y a eu des décès et de nouvelles personnes majeures, mais l’immense majorité des 53% d’électeurs de Sarkozy existent encore et se retrouvent dans ce nouvel électorat de ce sondage.
Pour preuve : des commentaires qui accompagnent ce sondage indiquent qu’ils avaient voté Sarkozy en 2007.
La réponse à la citation est donc mathématique, OUI, les mêmes personnes ont le droit de demander la démission d’une personne qui les a trompés, considérant l’étendue et la gravité des dommages.
C’est un pays tout entier et ses relations avec les autres nations qui sont saccagés.
Ce n’est plus un droit, c’est un devoir. Les révolutionnaires de 1789 l’avaient bien compris puisqu’ils ont constitutionalisé (ouf !) ce devoir. A débattre pour la forme, mais c’était l’esprit, cela n’est pas à débattre.
C’est comme si je louais pour 5 ans non résiliables une chaîne de TV d’après son programme spécialisé dans les documentaires, débats, informations, vulgarisation scientifique, et que je me retrouve avec une chaîne qui ne diffuse que des films d’horreur, des films catastrophe, ou des émissions de cirque, ponctués d’interminables publicités pour des farces et attrapes.
Il faut casser le contrat ou rester aussi con qu’il y a 2 ans. Dans ce cas, on n’a même pas le droit de se plaindre.
Et dans 3 ans, vu les changements destructeurs, l’évolution délétère des mentalités, des peurs, les étrangers ne reconnaîtront plus la France.
Écouter la vidéo du policier anti-sarko en cliquant sur le mot Sarkozy dans les dernières lignes de mon texte, cela devrait marcher aussi avec ce lien :
[url]http://www.lepost.fr/article/2009/03/24/1468959_o-l-anti-sarko.html[/url]
C’est long, 3 ans.
Oops erreur résultat sondage
Je suis confus.
Derniers résultats du sondage : 1735 ont voté, 89,6% pour sa démission immédiate et 6,9% pour qu’il reste.
Sondage vu 8005 fois.
Comment reconstituer les 53% ?
Pourquoi attendre 2012?
Parce que nous vivons dans une démocratie et que le président mal aimé a été élu démocratiquement et n’en déplaise à ces détracteurs il n’est pas si certain que cela qu’il serait battu à plate couture s’il y avait de nouvelle élection aujourd’hui.
Le PS serait en ordre dispersé, le NPA lui siphonnant bien des voix, le PC moribond il n’y aurait guère que le Modem pour jouer les troubles fêtes.
pourquoi attendre 2012
à New Reporter
J’ai eu une révélation; J’aime Sarkozy et vient de réaliser tout ce qu’il a fait de bien pour la France, c’est incroyable.
Comment ais-je pu être aussi aveugle ? La propagande des médias, sûrement. Ou ces économistes qui ne parlent que de catastrophes.
Il faudra attendre mille ans avant de trouver un tel homme d’état.
Dieu soit loué (je redécouvre Dieu et la prière), je l’ai connu de mon vivant et j’aimerais tellement réparer ma faute (crime pour la France et même les français, je suis coupable), qu’il faut absolument que je puisse voter pour lui.
Ceci permettrait aussi à ceux qui l’avaient compris et cru en lui de le remercier en votant encore pour lui, à titre honorifique. On pourrait même admettre que ce nouveau vote légitimerait une prolongation de son mandat, 2 ans. Il pourra arranger ça.
Vive Sarkozy, qu’il guide nos vies.
Vous lancez un sondage en ce sens,
[b]Patrice Hénin,[/b]
[i][b]Avons-nous une quelconque légitimité pour destituer le Président de la République autrement que devant les urnes ?[/b][/i]
[b][i]Avons-nous une quelconque légitimité pour décider si le Président de la République a commis un acte de haute trahison ?[/i][/b]
[b]Non [/b][b]![/b]
[b][b]Notre Légitimité à nous, Citoyens Français, est de demander, lors d’une élection présidentielle, la prochaine ayant lieu en 2012, au Président de la République de partir, en ne votant tout simplement pas pour lui ! [/b][/b]
[b]Nous, Citoyens Français, nous l’avons fait en renvoyant Valéry Giscard-d’Estaing dans ses foyers et en le remplaçant par François Mitterrand, ce, par le biais de nos votes, dans le secret de l’isoloir !
Bien sur, nous pouvons manifester dans la rue, ce, en maintenant la pression populaire ! Nous l’avons fait par le passé, empêchant la promulgation de certains projets de loi, de certaines propositions de loi !
Alors, où est notre légitimité face à un Président de la République, qui, il est vrai, ne respecte pas la Constitution ? Elle réside dans le fait que nous pouvons nous servir de ce nouvel article de la Constitution de la Vè République, l’article 61(1), qui nous permet de saisir le Conseil Constitutionnel, dès que nous jugeons une loi ou un décret liberticides ! [u][i]La Loi Hadopi ne nous plait pas, le décret interdisant de fumer sur toute l’étendue d’un lieu dit de plaisir ne nous plait pas, les franchises santé ne nous plaisent pas[/i][/u] : alors, il faut, en masse, saisir le Conseil Constitutionnel en nous servant de ce fameux article 61(1) de la Constitution de la Cinquième République ! Voila en quoi consiste notre légitimité !
Mais, nous n’en n’avons aucune en ce qui concerne la décision d’estimer que le Président de la République s’est rendu coupable de Haute Trahison ! A moins de vouloir créer un climat insurrectionnel… ce qui serait justement dangereux pour notre Démocratie !
Cordialement,
Dominique Dutilloy[/b]