Sarkozy doit-il démissionner ?
La réponse paraît évidente, mais il fallait quand même vérifier…
Démission du président de la République exigée :
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
Les français citoyens demandent, au nom de notre République, aux forces de l'ordre, de rétablir l'ordre républicain et d'agir dès aujourd'hui, en citoyens d'un état policé, en dénonçant toute corruption et abus d'autorité au sein de leurs services.
Les citoyens demandent aux magistrats, avocats, de redonner son sens à la justice, au service du peuple, et de dénoncer toute corruption et trafic d'influence au sein de leurs tribunaux.
Les citoyens demandent aux fonctionnaires qui en ont la charge d'empêcher toutes fuites de capitaux.
Les français demandent aux médias français et étrangers de diffuser et traduire ce texte.
Les citoyens demandent aux électeurs français d'exiger au plus tôt un référendum pour l'élection d'un(e) président(e) de la République qui soit au service du peuple, non au service de son ambition personnelle et de celle de ses amis fortunés.
Les français demandent à la garde Républicaine, de ne plus rendre les honneurs sous cette Vème République déshonorée, aux valeurs françaises et universelles bafouées.
Les citoyens demandent aux forces armées de se tenir prêtes à aider son peuple, comme l'armée roumaine le fit en 1989.
Le président de la République actuel détient le code des frappes nucléaires, et il est de plus en plus évident qu'il est incohérent, jusqu'à insulter son peuple, enrichir les riches pour s'enrichir, et appauvrir les pauvres.
Il ne représente pas la Nation que défendent les Armées, il a trahi cette nation.
L'honneur de nos Armées ne sait attendre.
Pourquoi ne pas attendre 2012 ?
Parce que les mesures écologiques vitales à prendre n'attendent pas : "La planète brûle", l'eau potable non polluée se fait rare, l'agriculture est sacrifiée aux profits, les émeutes de la faim apparaissent de par le monde.
La faim n'attend pas.
Parce que le pouvoir en place détruit méthodiquement toute liberté de s'exprimer et de réagir, et la sécurité devient un privilège.
La révolte n'attend pas.
Parce qu'on assiste à l'installation de corrompus, à l'instar des "kapos" des camps de concentration de sinistre mémoire, dans nos institutions, médias, entreprises et banques publiques, pour éliminer tous les opposants à cette nouvelle forme de tyrannie financière.
Parce que de plus en plus de privilèges sont rétablis, pour de moins en moins de personnes.
La probité n'attend pas.
Parce que la précarité puis l'exclusion touchent de plus en plus de personnes, et que leur nombre augmente de façon exponentielle.
Etre à l'abri n'attend pas.
Le régime de santé n'est plus solidaire.
Les malades et mourants n'attendent pas.
Parce que la situation catastrophique du Trésor Public doit être redressée, que le système capitaliste favorisé détruit la vie sociale, la morale, la planète, appelle à l'immigration et aux dé-localisations en établissant une forme d'esclavage.
L'inversion du processus exponentiel de la dette publique n'attend pas.
Parce que la laïcité est remise en question.
Dieu peut attendre.
Parce que pour tous ces points, le point de non-retour approche, et que des révoltes dévastatrices sont inéluctables, alors que des solutions existent pour les éviter, si elles sont mises en place immédiatement par des personnes plus soucieuses de l'intérêt général que de leur propre intérêt, compétentes et probes.
La réconciliation n'attend pas.
Parce que les textes issus de la révolution de 1789 sont aujourd'hui ré-écrits, sa devise ignorée : il y a de moins en moins de liberté, d'égalité, et de fraternité, de plus en plus de contraintes faussement justifiées, d'inégalités et de divisions communautaires.
Le préambule de la constitution de 1789 énonce article par article que tout individu doit surveiller le comportement de ses dirigeants, car tout manquement à l’un de ces principes dénonce la perte du pouvoir du peuple à diriger seul sa destinée : “ce qu’il ne faut pas accepter des pouvoirs ou des gens qui agissent en leurs noms…, car leur comportements sont contraire aux principes énoncés et sonne l'alarme qui doit conduire au soulèvement populaire".
La République n'attend pas.
( http://patricehenin.over-blog.com/article-20858525.html )
Les français citoyens signent cette pétition pour exiger la démission du président Sarkozy, la mise en place d'une élection présidentielle au plus tôt, afin de permettre l'instauration de contrôles financiers, d'une juste répartition des richesses de la 6ème puissance économique du monde :
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
Bonsoir Patrice hénin
Comme l’a expliqué Dominique, quelle que soit la côte du Président Sarkozy, il a été élu démocratiquement et sont mandat court jusqu’en 2012.
Nous vivons dans un état de droit, une démocratie.
Je pense tout à fait légitime de faire pression sur un président et un gouvernement lorsque l’on ne partage pas ses choix, mais vouloir imposer une démission serait peut être considéré comme une mini révolution par certains mais ce serait un acte anti démocratique digne des pays le moins stables politiquement.
Je pense que même ses opposants n’aimerait pas que cela arrive réellement, ils auraient trop peur que cela affaiblisse le régime et qu’ils puissent en faire les frais à leur tour.
Plutôt que de proposer la démission du Président, argumentez pour nommer son successeur, qui pour le remplacer?
Extrême droite, gauche, centre, extrême gauche???
J’attends des propositinos. Je sens que je vais rire …
Impasse
à New Reporter
Il ressort de cet excellent débat, dont je remercie les participants, qui se sont exprimés savamment et courtoisement, que l’on ne peut pas destituer le président, par les articles 68 ou pour haute trahison.
L’article 61 pourrait le faire, sans heurts, mais c’est impensable dans la situation actuelle, à moins que la droite elle-même l’utilise.
Reste la révolution, que je souhaitais, mais de trop nombreuses remarques soulignent le caractère anti-démocratique et les risques de dérives pour le proche avenir.
Il ne reste plus qu’à demander au président Sarkozy de vérifier ce sondage édifiant par referendum, il le doit bien aux français et aussi à ceux qui le soutiennent. Il faut qu’il soit mis en face de la réalité.
Il me fait penser à l’enfant sauvage trouvé en 1900 dans l’Aveyron. Cet enfant avait grandi hors de tout contact avec les hommes, et se nourrissait de glands, de fruits, il était sourd.
Le scientifique qui l’hébergeait pour l’étudier c’était aperçu qu’en fait l’enfant n’était pas vraiment sourd, mais qu’il n’entendait que ce qui était en rapport avec sa survie. Son cerveau ignorait tout les autres sons.
Pour en avoir le coeur net, pendant que l’enfant, assis sur une table, se dandinait en regardant par la fenêtre, il tire un coup de feu en l’air.
Absolument aucune réaction de l’enfant qui continue à se dandiner sans se retourner.
Puis il craque doucement une noix. L’enfant se retourne immédiatement, les yeux allumés de convoitise.
Notre ami Sarkozy, notre président de la République, ne peut entendre que ce qui va dans ses intérêts et ceux de ses amis fortunés, dont il dépend.
« …lorsqu’il y a une grève, personne ne s’en aperçoit… »
A tout problème de fiscalité, déficit, il prend des mesures qui enrichissent les riches, les seules que l’on demande de faire, sourd aux conséquences dans un monde dont il n’a pas la moindre compréhension, comme l’enfant sauvage.
Pour lui, un chômeur est un fainéant, il le croit dur comme fer.
Incompétent et inféodé, on sait de qui il reçoit les ordres et qui il sert.
Dassault lui-même, dans une émission TV, reconnaît avoir dicté à Sarkozy la règle des 3 tiers pour son discours présidentiel en février.
Il y a des limites insoutenables. Et vraiment, je ne comprend pas les sarkozyens.
La crise du capitalisme est mondiale, il défendait ce système il y a peu :
« devenez propriétaires, empruntez comme aux Etats-Unis », ce sont ses propres paroles.
Après avoir entendu ça, ce n’est vraiment pas l’homme de la situation.
à Jérémie :
vous posez la question qui fâche ! Qu’il ne fallait pas poser ! C’est un trop vaste débat qui ne peut rester dans le cadre de cet article. Je note que vous ne citez pas la droite. Effectivement, je sens que cela ne me ferais pas rire.
Mais cela ne devrait pas poser trop de problèmes pour trouver mieux, non ?
[b]Patrice [/b][b][b]Hénin[/b][/b],
il s’agirait d’être clair quant à l’interprétation des articles de la [b]Constitution [/b][b][b]de [/b][/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République [/b]!
Pour plus de précisions, je crois devoir rappeler que l'[b]article 68 de la Constitution de la Vè République précise[/b] : [b][i]« Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour. La proposition de réunion de la Haute Cour adoptée par une des assemblées du Parlement est aussitôt transmise à l’autre qui se prononce dans les quinze jours. La Haute Cour est présidée par le Président de l’Assemblée Nationale. Elle statue dans un délai d’un mois, à bulletins secrets, sur la destitution. Sa décision est d’effet immédiat. Les décisions prises en application du présent article le sont à la majorité des deux tiers des membres composant l’assemblée concernée ou la Haute Cour. Toute délégation de vote est interdite. Seuls sont recensés les votes favorables à la proposition de réunion de la Haute Cour ou à la destitution. Une loi organique fixe les conditions d’application du présent article. »[/i][/b]. Donc, ce n’est pas le peuple français qui décide, sauf, comme je l’ai expliqué, dans le secret de l’isoloir à l’occasion des deux tours d’une élection présidentielle !
Quant à l'[b]article 61(1) de la Constitution de la Vè République[/b], issu, lui, de la [b]Réforme des Institutions[/b], il stipule : [i][b]« Lorsque, à l’occasion d’une instance en cours devant une juridiction, il est soutenu qu’une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit, le Conseil Constitutionnel peut être saisi de cette question sur renvoi du Conseil d’Etat ou de la Cour de Cassation, qui se prononce dans un délai déterminé. Une loi organique détermine les conditions d’application du présent article »[/b][/i].
En aucun cas, ce texte, qui prévoit qu’une [b]loi[/b], qu’un [b]décret [/b]soit déclaré [b]inconstitutionnel[/b], décide si le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]doit être destitué de ses fonctions ou s’il s’est rendu coupable de Haute Trahison !
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
il parait que le nombres des conseillers de la p’tite entreprise de l’élysée va passer de plus de 50 à 33 :….
dites 33 docteur !
il parait que le domaine de Souzy-la-Briche qui affecte par trop le budget de la p’tite
entreprise va être loué à des patrons d’entreprises pour leurs réunions :….
no zouzy !!!!
G 33 oblige
Patrice hénin
Je n’aime guère la personne, je parle de notre président mais je crois que vous continuez tout simplement à l’erreur que l’opposition faisait lors de la campagne présidentielle.
Il y a eu une période où il ne se passait pas une journée sans que je ne reçoive un courrier humoristique sur Sarkozy.
Si seulement ces personnes avaient mis leur talent à construire un vrai programme.
C’est un peu ce qui se passe actuellement.
Haute trahison ?
Monsieur Dutillois,
je reviens sur l’une de vos déclarations concernant la Haute Trahison et apprécierais de connaitre votre point de vue sur le retour de notre Pays dans l’OTAN.
21 février 1966, au cours d’une conférence de presse, le général de Gaulle annonce le retrait de la France de l’OTAN. Le 7 mars, il fait part au président américain Johnson de l’intention de la France de recouvrer l’« exercice entier de sa souveraineté ».
Notre retour dans l’OTAN, inféodant notre défense à celle des Etats-Unis et autres membres de cette organisation, n’est-elle pas l’exact contraire de la volonté exprimée par notre Pays de recouvrer sa Souveraineté ?
Sachant cela et partant du principe que l’une des promesses de campagne du candidat Sarkozy était de soumettre toutes les questions d’intérêt national d’importance au référendum, chose soigneusement évitée pour la réintégration de notre Pays au sein de cette organisation, ne peut-on parler de Haute Trahison ?
Une simple question de citoyen.
Bien à vous,
Stéphane
Stephane , vous tapez en plein dans le mille !!!!!
épinglé par la presse internationale !
« Chacun d’entre nous doit s’interroger sur les conséquences de ce qu’il dit et de ce qu’il fait ». Nicolas Sarkozy
Rapportées par Libération, les considérations assassines du président français Nicolas Sarkozy, sur ses homologues, ont déjà fait le tour de la presse internationale lors d’un déjeuner avec des parlementaires . L’Elysée a beau démentir, l’arrogance française a encore frappé :
Barack Obama manque d’expérience, José Luis Zapatero ‘n’est peut-être pas très intelligent’ et José Manuel Barroso brille surtout par son absence.
[b][b]Stephane[/b][/b], l’exacte orthographe de mon nom est : [b]DUTILLOY [/b]!
[b][u]Tout d’abord, je dois vous préciser deux choses[/u] :[/b]
[i]- La France a toujours été Membre de l'[b]OTAN[/b], bien qu’elle ait quitté le Commandement Intégré de cette organisation militaire, sous l’impulsion du [b][b]Général de Gaulle[/b][/b].
– Lorsque le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b], qui, selon la [b][b]Constitution de la Vè République[/b][/b], est le Chef Suprême de nos Armées, a décidé que la France retournerait dans le [b]Commandement Intégré de l’OTAN[/b], ce, de façon partielle ([u][u]puisque la dissuasion nucléaire reste aux seules mains de la France[/u][/u]), il a soumis sa décision au vote du Parlement…[/i]
Partant de ce constat, ce [b]projet de loi[/b], qui n’aurait jamais dû être un [b]projet de loi ordinaire[/b], aurait dû être un [b]projet de loi constitutionnel[/b] débattu en [b]Congrès[/b] à [b]Versailles[/b].
[i][i][i][b]Cependant, j’aurais aimé que ce retour de la France dans le Commandement Intégré de l’OTAN fût soumis à Référendum ![/b][/i][/i][/i]
En effet, [b]l’article 5 de la Constitution de la Vè République[/b] stipule : [b][i]« Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics, ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »[/i][/b].
Donc, à partir du moment où le [b][b]Président Sarkozy[/b][/b] a soumis son choix aux parlementaires, on ne peut pas parler de haute trahison !
Pour terminer, je dois préciser également qu’il n’y aura aucune base américaine installée sur notre sol.
Bien à vous
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
à Dominique D. (risque pas d’écorcher le nom)
« [i]ce projet de loi, qui n’aurait jamais dû être un projet de loi ordinaire, aurait dû être un projet de loi constitutionnel débattu en Congrès à Versailles[/i] »
On peut creuser, là-dessus ? Si cela aurait dû être un projet de loi constitutionnel, comment faire la différence, le faire admettre, et rectifier le tir (sur l’OTAN !) ?
A vos lumières !
Je vais inviter un étudiant de science-po qui vient de terminer 2 ans de droit constitutionnel.
S’il accepte, s’il a le temps, il pourraît aider.
à part ça, bonne journée sous Sarkozy.
Mais, [b][b]Patrice Hénin[/b][/b], à partir du moment où le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b] a, du fait d’un [b]projet de loi ordinaire[/b] émanant du [b]Gouvernement Fillon[/b], soumis au [b]Parlement[/b] le retour partiel de la France dans le [b]Commandement Intégré de l’OTAN[/b], il ne peut être question de Haute Trahison !
En effet, ce sont les [b]parlementaires[/b], qui ont accepté ce retour !
Bien sur, j’aurais préféré qu’un référendum soit organisé… Le [b]Chef de l’État[/b] a préféré recourir à un projet de loi ordinaire ! C’est son choix ! Mais, il n’en n’avait pas d’autre, hormis de faire de ce [b]projet de loi ordinaire[/b], un [b]projet de loi constitutionnel[/b] ou un [b]projet de loi référendaire[/b] !
Cependant, pour lever toute équivoque, le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b] a reçu, du [b]Peuple Français[/b], mandat pour diriger la France ! Ce mandat, qui dure cinq ans, n’est renouvelable qu’une fois !
La seule légitimité du [b]Peuple Français[/b] est de ne pas renouveler le mandat du [b]Chef de l’État[/b], ce, par la voie des urnes, lors des [b]Présidentielles « 2012 »[/b] !
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
Chèr Dominique vous dîtes : « Partant de ce constat, ce projet de loi, qui n’aurait jamais dû être un projet de loi ordinaire, aurait dû être un projet de loi constitutionnel débattu en Congrès à Versailles. »
Pourquoi cette affirmation ? En quoi, le retour intégré dans l’OTAN aurait-il dû faire l’objet d’une réunion spéciale des Assemblées en Congrès ?? Surtout que nous avons toujours été dans l’OTAN ! Perso, je suis contre cette décision, mais ce n’est pas pour sa qu’il faut dire que ce projet de loi devait être présenté en Congrès. A la limite, un référendum aurait été une bonne solution seulement NS savait très bien que ce serait rejeté … La faute politique de NS fût de l’officialiser avant même d’avoir présenté son projet aux Assemblée. Par là, il a montré que c’était lui qui décidait et non les parlementaires.
Concernant la haute trahison, il n’y a pas de définition claire et précise. Comme l’a justement dit JackDanields, c’est en quelque sorte une définition vague qui peut correspondre à plusieur cas.
Avant, le Président été jugé en cas de « manquement » ce qui était tout aussi insignifiant. Les changements de l’art 68 ont juste rendue la mesure plus politique.
Bref, le but des constituants de la Veme Rep était de rationaliser le parlementarisme ( synonyme de valse politique) et de placer le Président au dessus de tout. voila pourquoi il n’est pas responsable devant le gouvernement ou les Assemblées. on ne peut donc pas lui demander de démissionner. de plus, le Président ne peux faire l’objet ni d’investigations, ni de poursuites. Aucune perquisition ni intérrogatoire n’est autorisée et le Président peux donc faire ce qu’il veut lors de son mandat sans en être inquiété. Jacques Chirac s’en est assuré en modifiant le statut au plan pénal et judiciaire du Président.
Lui même peut décider de mettre en jeu son mandat, par le biais d’un référendum de confiance, comme le faisait De Gaulle, ce qui lui a couté sa demission d’ailleurs … Seul lui le faisait et aucun de ces prédecesseur n’a repris cette pratique … Cela me paraît peu probable que Sarkozy fasse de même !!
Enfin, la saisine du Conseil Constit par l’art 61 est un peu un coup d’épée dans l’eau puisque le Président nomme 3 membres sur 9 plus le président du Conseil Constit et le Premier Ministre puis l’Assemblée Nationale nomment les 6 autres restants. La composition du Conseil est donc une décision politique. On y place donc des « amis » souvent ou au moins des gens de « confiance ». Ce qui fait qu’ils les soutiendront. Partant du fait que l’exécutif et le législatif sont à dominance UMP, alors le Conseil Constit reflête cette ligne politique.
Pour conclure le Président ne peut se faire juger réellement sauf s’il y a un cas comme le gouvernement Vichy. Sinon, c’est un leurre puisque dans la Vème Rép, le président est » la clef de voute du système » comme dirait Debré. La seule manière d’atteindre un Président, c’est d’attendre ou les présidentielles ou les législatives pour ne pas lui donner sa majorité. Dans les nombreux cas de cohabitations, c’était le premier ministre qui détenait le pouvoir. La présidentialisation du régime était donc moins voyante et même contre carré. Ce qu’il faut se demander, c’est s’il faut changer de Constitution. Mais pour en faire quoi ? Un régime parlementaire type Grande Bretagne, un régime présidentiel type USA ? ce qui est sûr, c’est que de par la personnalité de NS, la présidentialisation du régime s’est accélérée. Mais cela n’est pas anti constitutionnel au contraire, cela va dans le sens de celle ci.
Juste une dernière chose. Le fait que le Président ne puisse pas être jugé peut avoir des justifications. Il en est autrement pour les membres du gouvernements ou les parlementaires. Rappellez vous de l’affaire du sang contaminé … Pourtant, l’absence d’un ministre ou d’un parlementaire ne déséquilibrerait pas la répartition des pouvoirs ou la cohérence de l’État, au contraire de celle du Président. Il devrait donc y avoir une réelle procédure qui mette en jeu leur responsabilité. Il n’en existe pas vraiment à ce jour ( sauf devant la Haute Cour de Justice de la République, procédure toujours plus politique que judiciaire ce qui garantit l' »immunité » de ces gens, immunité absolument pas fondée constitutionnellement. Là aussi, il y a matière à réfléchir. Là est le paradoxe de cette Vème République. Des pouvoirs toujours plus grand, pour toujours moins de responsabilités ….
@ Sophie
[b]Sophie[/b],
Puisque, dans votre long commentaire, vous parlez de [b] »[/b][b]Gouvernement [/b][b]Vichye[/b], je crois devoir vous rappeler qu’il n’y a jamais eu de [b]Gouvernement [/b][b]de [/b][b]Vichy [/b]! Il y a eu un [b]Gouvernement [/b][b] »Pétain[/b]/[b]Laval »[/b], installé à [b]Vichy[/b], [b]Capitale [/b][b]de [/b][b]l’État Français[/b] !
[u][i][b]Nuances de tailles, que le Vichyssois, que je suis, tenait à faire remarquer ![/b][/i][/u]
[b][u]Pour [/u][u]vous [/u][u]en [/u][u]convaincre [/u]:[/b]
[b]1°) -[/b] [i]Donner à un gouvernement le nom de son dirigeant (Premier Ministre ou Président du Conseil des Ministres), ce qui se fait toujours, participe à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, mais, fait partie des règles essentielles de la grammaire française.[/i]
[b]2°) -[/b] [i]Donner à une loi le nom de son auteur (un Député, un Sénateur, un Ministre d’État, un Ministre, un Ministre Délégué, un Secrétaire d’État, ou, tout simplement un Gouvernement dans son ensemble), ce qui se fait toujours, participe à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, mais, fait partie des règles essentielles de la grammaire française.[/i]
[b]3°) -[/b] [i]Donner à un Gouvernement le nom de la ville où il siège, ou celui de la ville où il a siégé est une faute de français, en plus de ne pas participer à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, ce bien que cela soit -et je le déplore- toléré par facilité de langage ![/i]
[b]4°) -[/b] [i]Donner à une loi le nom de la ville où elle a été débattue, votée, puis, promulguée est également une faute de français, en plus de ne pas participer à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, ce, bien que cela soit -et je le déplore- toléré par facilité de langage !
[/i]
[b][i][u]Merci d’en tenir compte… [/u][/i][/b]
[b][i][u]Maintenant, j’en viens au sujet de votre commentaire ![/u][/i][/b]
Pourquoi aurais-je préféré que ce [b]projet de loi ordinaire portant [i] »retour partiel de la France dans le Commandement Intégré de l’OTAN »[/i][/b] fût discuté, en tant que projet de loi constitutionnel en Congrès à Versailles ?
Pourquoi, il aurait été, à mon sens, encore beaucoup mieux que ce même [b]projet [/b][b]de [/b][b]loi [/b][b]ordinaire [/b]fût soumis à [b]référendum[/b], en tant que [b]projet [/b][b]de [/b][b]loi [/b][b]référendaire [/b]?
Certes, en vertu de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]est le [b]Chef [/b][b]Suprême [/b][b]de [/b][b]nos [/b][b]Armées [/b]! A ce titre, il était en droit de demander, à son [b]Gouvernement[/b], de rédiger un projet de loi ordinaire qui aille dans le sens du [b]retour [/b][b]partiel[/b](*) [b]de [/b][b]la [/b][b]France [/b][b]dans [/b][b]le [/b][b]Commandement [/b][b]Intégré [/b][b]de [/b][b]l[/b][b]'[/b][b]OTAN[/b] !
Cependant, à partir du moment où cette question engage la France dans ses alliances, dans ses devoirs et obligations envers cette organisation militaire, dans ses logiques d’indépendance nationale, dans ses logiques de stratégie militaire (quand on intervient ? Où et dans quel cadre intervenons-nous ?), il était logique que le peuple français fût, en vertu de l'[b]article [/b][b]11 [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], consulté par référendum !
Personnellement, j’aurais voté [b] »[/b][b]non »[/b]… Mais, ce n’est que mon opinion, qui n’engage que moi…
@ Sophie
[b]Sophie[/b],
Puisque, dans votre long commentaire, vous parlez de [b] »[/b][b]Gouvernement [/b][b]Vichye[/b], je crois devoir vous rappeler qu’il n’y a jamais eu de [b]Gouvernement [/b][b]de [/b][b]Vichy [/b]! Il y a eu un [b]Gouvernement [/b][b] »Pétain[/b]/[b]Laval »[/b], installé à [b]Vichy[/b], [b]Capitale [/b][b]de [/b][b]l’État Français[/b] !
[u][i][b]Nuances de tailles, que le Vichyssois, que je suis, tenait à faire remarquer ![/b][/i][/u]
[b][u]Pour [/u][u]vous [/u][u]en [/u][u]convaincre [/u]:[/b]
[b]1°) -[/b] [i]Donner à un gouvernement le nom de son dirigeant (Premier Ministre ou Président du Conseil des Ministres), ce qui se fait toujours, participe à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, mais, fait partie des règles essentielles de la grammaire française.[/i]
[b]2°) -[/b] [i]Donner à une loi le nom de son auteur (un Député, un Sénateur, un Ministre d’État, un Ministre, un Ministre Délégué, un Secrétaire d’État, ou, tout simplement un Gouvernement dans son ensemble), ce qui se fait toujours, participe à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, mais, fait partie des règles essentielles de la grammaire française.[/i]
[b]3°) -[/b] [i]Donner à un Gouvernement le nom de la ville où il siège, ou celui de la ville où il a siégé est une faute de français, en plus de ne pas participer à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, ce bien que cela soit -et je le déplore- toléré par facilité de langage ![/i]
[b]4°) -[/b] [i]Donner à une loi le nom de la ville où elle a été débattue, votée, puis, promulguée est également une faute de français, en plus de ne pas participer à la manifestation de la vérité dans la narration des faits historiques, ce, bien que cela soit -et je le déplore- toléré par facilité de langage !
[/i]
[b][i][u]Merci d’en tenir compte… [/u][/i][/b]
[b][i][u]Maintenant, j’en viens au sujet de votre commentaire ![/u][/i][/b]
Pourquoi aurais-je préféré que ce [b]projet de loi ordinaire portant [i] »retour partiel de la France dans le Commandement Intégré de l’OTAN »[/i][/b] fût discuté, en tant que projet de loi constitutionnel en Congrès à Versailles ?
Pourquoi, il aurait été, à mon sens, encore beaucoup mieux que ce même [b]projet [/b][b]de [/b][b]loi [/b][b]ordinaire [/b]fût soumis à [b]référendum[/b], en tant que [b]projet [/b][b]de [/b][b]loi [/b][b]référendaire [/b]?
Certes, en vertu de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]est le [b]Chef [/b][b]Suprême [/b][b]de [/b][b]nos [/b][b]Armées [/b]! A ce titre, il était en droit de demander, à son [b]Gouvernement[/b], de rédiger un projet de loi ordinaire qui aille dans le sens du [b]retour [/b][b]partiel[/b](*) [b]de [/b][b]la [/b][b]France [/b][b]dans [/b][b]le [/b][b]Commandement [/b][b]Intégré [/b][b]de [/b][b]l[/b][b]'[/b][b]OTAN[/b] !
Cependant, à partir du moment où cette question engage la France dans ses alliances, dans ses devoirs et obligations envers cette organisation militaire, dans ses logiques d’indépendance nationale, dans ses logiques de stratégie militaire (quand on intervient ? Où et dans quel cadre intervenons-nous ?), il était logique que le peuple français fût, en vertu de l'[b]article [/b][b]11 [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], consulté par référendum !
Personnellement, j’aurais voté [b] »[/b][b]non »[/b]… Mais, ce n’est que mon opinion, qui n’engage que moi…
@ Sophie – suite et fin de mon commentaire !
Ensuite, [b]Sophie[/b], et vous avez parfaitement raison de le signaler, c’est bel et bien l'[b]article [/b][b]20 [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b], qui fait que le [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]n’est pas responsable de ses actes devant le [b]Parlement [/b]!
Cependant, rien n’empêche, ce, en vertu de l'[b]article [/b][b]68 [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République[/b] (que j’ai installé dans deux de mes commentaires), qu’il puisse être destitué en cas de haute trahison !
Or, dans les cas développés dans cet article, le Président Nicolas Sarkozy ne s’est rendu coupable d’aucun acte de haute trahison…
De même, ne s’est-il pas rendu coupable de haute trahison lorsqu’il y eut,
[i]- en Congrès à Versailles ([b][u]projet [/u][/b][b][u]de [/u][/b][b][u]loi [/u][/b][b][u]constitutionnel[/u][/b]) ratification du [b]Traité [/b][b]de [/b][b]Lisbonne[/b],
– à l'[b]Assemblée [/b][b]Nationale [/b]et au [b]Sénat [/b]([u]projet [/u][u]de [/u][u]loi [/u][u]ordinaire[/u]) adoption du [b]retour [/b][b]partiel[/b](*) [b]de [/b][b]la [/b][b]France [/b][b]dans [/b][b]le [/b][b]Commandement [/b][b]Intégré [/b][b]de [/b][b]l[/b][b]'[/b][b]OTAN [/b]![/i].
Maintenant, en ce qui concerne l’article 61(1) de la [b]Constitution [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Vè [/b][b]République [/b](que j’ai installé dans deux de mes commentaires), il convient de signaler, que, s’il constitue une nouveauté et un grand pas en avant pour notre Démocratie, il a été installé lors de la [b]Réforme [/b][b]des [/b][b]Institutions[/b]. Donc, pour l’instant, il n’y a eu aucun cas de saisine ! Mais, il pourrait y en avoir !
Puis, je crois devoir vous rappeler que le [b]Conseil [/b][b]Constitutionnel [/b]a fait capoter des [b]projets [/b][b]de [/b][b]loi [/b][b]ordinaires[/b], des [b]propositions [/b][b]de [/b][b]loi[/b], ce, sous le [b]Gouvernement [/b][b]Fillon [/b]!
[b][u][i]C’est dire si le Conseil Constitutionnel est indépendant et qu’il y veille farouchement ![/i][/u][/b]
Sincères salutations
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
[i][i][b]————————————————[/b][/i][/i]
[b](*) – [i]en ce qui concerne le retour de la France dans le Commandement Intégré de l’OTAN, il convient de signaler qu’il est partiel, parce que la France garde sous sa seule responsabilité sa dissuasion militaire, imitant en ce sens la Grande Bretagne ! Par ailleurs, il convient de signaler qu’aucune base américaine ne s’installera en France.[/i][/b]
Mille excuses pour cette faute de frappe, qui m’a fait écrire : [b] »Gouvernement Vichye[/b] ! En fait, il fallait lire : [b] »Gouvernement Vichy »[/b] !
Cordialement à toutes et à tous
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
Je n’ai qu’une réflexion qui se rapproche de certains commentaires.
Réclamer la démission d’un président démocratiquement élu démontre un manque de respect du système démocratique dans lequel nous vivons.
A moins qu’il ne s’agisse que d’une manoeuvre de politique politicienne visant à faire pression sur le gouvernement en place, ce qui est parfaitement différent.
Et quelle alternative y a t il actuellement à proposer?
Ségolène Royal, Martine Aubry?
Je crois que cette dernière est encore plus détestée des français que ne l’est Sarkozy!
Que de crimes en ton NOM ,VICHY ! VENI, VIDI, VICHY !
Non Veritas !
Que de crimes en ton NOM ,PETAIN ! VENI, VIDI, PETAIN !
D’ailleurs, je ne connais qu’un [b]Régime [/b][b]de [/b][b]Vichy[/b], [b][u][i]culinaire celui là[/i][/u][/b] : [b][b] »Les carottes Vichy »[/b][/b] !
cachez ce nom que je ne saurais voir , Dominique !!!
Justement [b]Veritas[/b], il y a comme une honte à prononcer le nom du [b]Maréchal [/b][b]Philippe [/b][b]Pétain[/b], au prétexte qu’il fut, lors de la [b]1ère [/b][b]Guerre [/b][b]Mondiale[/b], le grand vainqueur de la [b]Bataille de Verdun [/b]et le [b]Père [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]Victoire[/b]…
[b][i]———————————————–[/i][/b]
Mais, [b]Veritas[/b], si vous rentriez un peu dans le sujet de cet article ? Cela ferait plaisir aux autres commentateurs, mais également à [b]Patrice [/b][b]Hénin [/b]!
[b]Vu [/b][b][b]de [/b][/b][b]la [/b][b]meuse[/b], vous avez parfaitement raison dans votre commentaire !
La seule légitimité, qui est conférée au [b]Peuple [/b][b]Français[/b], sera, lors de la [b]Présidentielle « 2012 »[/b] de « destituer », par la voie des urnes et dans le secret de l’isoloir, le [b]Président [/b][b]Nicolas [/b][b]Sarkozy[/b] !
Si, on se souvient bien, le [b]Président Valéry Giscard-d’Estaing[/b] fut bien, alors qu’il briguait un deuxième mandat, « destitué » par les électeurs, qui portèrent, le 10 mai 1981, [b]François [/b][b]Mitterrand [/b]à la tête de notre Pays !
Cordialement,
[b]Dominique [/b]
commentaires effacés
[b]à Veritas[/b]
Quels sont les commentaires effacés ? Dans C4NEWS ou dans le sondage publié dans Le Post ?:
[url]http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html[/url]
Si le lien ne fonctionne pas, taper simplement :
Sarkozy doit-il démissionner
dans Google, par exemple. Pratique pour en parler par téléphone !
J’ai lu des plaintes de commentaires effacés dans Le Post.
Oui, nous sommes dans le pays des droits de l’homme, revus et corrigés, à liberté d’expression défigurée.
[b]à Vue De La Meuse :[/b]
là est toute la question. Si 91% des sondés ont voté pour le départ immédiat de Sarkozy, nombreux sont ceux qui ont posé votre remarque : il est élu pour 5 ans, nous devons boire la lie jusqu’au fond.
Mais nous serons au fond, dans 3 longues années.
Et puis, il y a duperie. Aucune de ses promesses n’a été tenue. Il est internationalement reconnu comme mégalomane. Ce n’est pas la qualité rêvée pour un chef d’état démocratique, qui doit oeuvrer pour le bien général, et donc y être enclin, de par sa personnalité.
Il est le garant des institutions, il les détruit.
Ce monsieur n’a rien d’un président de la république française, démocratique. Il a lui-même cassé le contrat, il ne peut prétendre, au nom de la démocratie, continuer ce contrat bafoué sous pretexte de contrat non résiliable de 5 ans.
Vous vous abonnez à une chaîne de TV de divertissement, et vous découvrez qu’il s’agit d’une chaîne qui ne passe que des films d’horreur. Vous cassez le contrat en justice ou vous continuez votre contrat non résiliable de 5 ans ?
Lorsque la démocratie est à ce point bafouée par le plus haut dignitaire de l’état, qui en plus se révèle le chef d’état le plus ridicule de la planète, la démocratie doit se réveiller.
C’est l’esprit de la constitution de 1789, qui s’applique aujourd’hui dans ses valeurs universelles et intemporelles : lorsque les dirigeants sont dévoyés, le peuple doit se soulever, c’est son devoir.
En toute légalité, donc.
[url]http://patricehenin.over-blog.com/article-20858525.html[/url]
Patrice Hénin
Patrice Hénin : Dominique Dutilloy n’aime pas que je plaisante sur VICHY !
Pourtant VICHY n’est pas la capitale des Gaules !!!!!
et moi je me fais gauler !!!!!!
[b]Patrice Hénin[/b], comme je l’ai écrit à [b]Vu [/b][b]de [/b][b]la [/b][b][b]meuse[/b][/b], la seule [b][b]légitimité[/b][/b], qui est conférée au [b]Peuple [/b][b][b]Français[/b][/b], sera, lors de la [b]Présidentielle « 2012 »[/b] de « destituer », par la voie des urnes et dans le secret de l’isoloir, [b]le Président Nicolas Sarkozy[/b] !
Si, on se souvient bien, le [b]Président Valéry Giscard-d’Estaing [/b]fut bien, alors qu’il briguait un deuxième mandat, « destitué » par les électeurs, qui portèrent, le 10 mai 1981, [b]François Mitterrand[/b] à la tête de notre Pays !
Bien qu’il y eut un ras-le-bol généralisé en 1981, bien qu’il risque d’y avoir un ras-le-bol généralisé en 2012, la France, qui faisait le plus légalement du monde, sa révolution, n’était pas en état de crise insurrectionnelle !
Or, aussi bien dans votre article, que dans vos commentaires, vous semblez oublier que le [b]Président [/b][b]Nicolas [/b][b]Sarkozy[/b] a été élu [b]Président [/b][b]de [/b][b]la [/b][b]République [/b]par près de 53 % des électeurs !
[b][u]Il a été élu en fonction d’un programme présidentiel, qu’il a présenté, qu’il a mis en œuvre[/u] :[/b] [i]il a reçu mandat de ses électeurs pour mettre son programme en application ![/i]
Aussi, je considère que vouloir destituer le [b]Chef [/b][b]de [/b][b]l’État[/b] par des méthodes autres que celles qui sont autorisées par la [b]Constitution de la Vè République[/b], cela s’apparente à un climat insurrectionnel, qui me parait particulièrement dangereux !
Certes, les Français peuvent manifester pour protester contre une mesure ! Certes, le droit de grève est prévu par la [b]Constitution de la Vè République[/b], à condition qu’il y ait eu, au préalable, un dépôt de préavis de grève !
Certes, il existe des mesures prises par le [b]Gouvernement [/b][b]Fillon[/b], qui sont impopulaires !
Cependant, quelle [b][b]légitimité [/b][/b][b][b]légale[/b][/b], avons-nous pour décider que [i][i][b] »le Président de la République s’est rendu coupable de haute trahison »[/b][/i][/i] ? Aucune, sinon de demander, lorsque nous jugeons qu’une [b][b]loi[/b][/b], qu’un [b]décret[/b], sont anticonstitutionnels conformément à l'[b][b]article 61(1) de la Constitution de la Vè République[/b][/b], que j’ai installé dans deux de mes commentaires !
Pour conclure, c’est à l'[b]Opposition [/b]de faire son travail politique, de présenter son programme de gouvernement, de dénoncer des mesures gouvernementales qui lui paraissent inadaptées, tout en faisant des propositions allant de le sens contraire !
[b][u][i]Mais, un pouvoir issu d’une insurrection, d’une révolution, me parait être un pouvoir illégitime, parce qu’il aura été obtenu par la force ![/i][/u][/b]
Cordialement,
[b]Dominique [/b][b]Dutilloy[/b]
Mais pour que Sarkozy soit battu en 2012, il faudrait encore qu’il y ait un candidat crédible.
Si l’on devait refaire les élections actuellement, il n’est pas si certain qu’il ne repasserait pas car ce n’est pas parce que ses opposants crient le plus fort qu’ils sont les plus nombreux.
[b][u]new reporter, il n’est pas certain, si des élections présidentielles étaient organisées aujourd’hui, [i]ce qui n’est pas d’actualité[/i], que le Président Nicolas Sarkozy serait réélu[/u] :[/b] [i]en effet, il y a tant de mécontents, qu’il risquerait d’être battu dès le premier tour de ces Présidentielles ![/i]
[b][b][u][u]Maintenant, ce ne sont pas des candidats crédibles qui manquent, à condition qu’un tel scénario se produise[/u][/u] :[/b][/b] [i][b][b]Dominique Strauss-Kahn [/b][/b]([u][u]qui serait prêt à démissionner du [b][b]FMI[/b][/b] pour cela[/u][/u]), [b][b]Jean-Louis Borloo[/b][/b], [b][b]Nicolas Dupont-Aignan[/b][/b]…, qui, tout en ayant une très grande légitimité parce qu’ils sont « neufs », présentent une certaine idée rénovatrice de la France ![/i]
Amicalement,
[b]Dominique [/b]
Parmi ceux que vous citer je ne vois guère que DSK qui me paraisse crédible. Il pourrait rassembler autour de lui une partie du PS et des centres. Je pense qu’il aurait du être le candidat du PS au dernière élection. Je crois qu’il est le seul (au ps) qui aurait pu battre assez facilement Sarkozy au second tour.
Les autres étant de droite ne bénéficieraient pas de l’appui de l’UMP.
Dupont-Aignan que vous semblez apprécier et bien seul même je crois que c’est un homme de qualité.
j’espère que la France ne se remettra pas sous le joug d’un internationaliste de la PYRAMIDE , du Bilderberg comme DSK ! PITIE !!!!!!!
La France d’après
Oui, commencer à rêver, c’est-à-dire commencer à envisager le remplaçant de Sarkozy après son départ précipité ou en mai 2012, c’est rester dans le sujet de l’article.
Suite logique.
Je suis convaincu par les programmes anti-capitaliste, mais l’esprit anti-démocratique de l’extrême gauche ne me convient pas. Trop d’autoritarisme, de réseaux de copains, une nomenklatura en gestation.
J’observe avec intérêt Nicolas Dupont-Aignan, mais je suis pour l’extension de l’Europe à la Turquie, justement pour son apport islamique. A condition que la Turquie ait réglé son prroblème avec le Kurdistan.
Je préfère l’entrée de la Turquie ET du Kurdistan libre, compliqué et pas évident.
Il va y avoir une pléthore de candidats en 2012, François Hollande se prépare, DSK, Ségo, Mélenchon, Besancenot, j’en oublie !
Villepin et Juppé se positionnent déjà, surtout Juppé que l’on voit partout à la TV. Eux se préparent pour un remplacement immédiat, Juppé en 1er ministre immédiatement. Copé et Raffarin sont déjà écartés.
J’ai suffisamment traîné mes guêtres au PS pour avoir fini par comprendre le marché passé entre DSK et Sarkozy :
– tu soutiens Ségo par ton silence méprisant. Qu’un DSK ne la soutienne pas, c’est ma victoire assurée, et je te proposerai comme candidat au FMI
– et je jetterai les bases d’une banque mondiale, le FMI aura le droit de battre monnaie, en $, à hauteur de 500 M de $. Ceci dans la droite ligne des perspectives du groupe de Bilderberg…
– et tu reviendras en 2012, moi je préfèrerai « faire du fric ». Après ce que la France aura subi, je ne pourrai pas me représenter.
– je te proposerai comme candidat pour remplacer Barroso…
– tiens, ils ont un modèle avec sièges en cuir, chez Falcon !
J’observe avec intérêt Nicolas Dupont-Aignan, mais je suis pour l’extension de l’Europe à la Turquie, justement pour son apport islamique
Personnellement je ne crois pas que la Turquie fasse géographiquement partie de L’europe.
Quant à vouloir intégrer à tout prix un pays musulman, pourquoi ne pas modifier la règle et admettre un pays du maghrebe le Maroc, la tunisie ou l’algérie qui ont une culture et surtout une histoire plus proche de la nôtre?
Mais intégrer un pays en fonction de sa religion, je ne crois pas que cela soit une bonne idée, surtout compte tenu des différents problèmes de la Turquie.
Arménie,
Chypre
Kusdistan
new reporter, je ne suis pas favorable à l’adhésion de la Turquie dans l’Union Européenne… D’ailleurs, je ne suis pas favorable à cette Europe des 27 qu’on veut nous imposer là !
La Turquie a vocation d’être Membre à part entière de l’Union pour la Méditerranée (UPM), mais, n’a pas vocation à être Membre de l’Union Européenne…
Je ne me base pas sur la religion de ce grand pays, qui, constitutionnellement est laïc… Je me base sur sa non/proximité géographique avec l’Europe…
Par ailleurs, Chypre est, me semble-t-il, déjà dans l’Union Européenne…
En ce qui concerne l’Arménie, le kurdistan… Non ! Ils ne sont pas dans l’Europe !
Amicalement,
Dominique
Dominique
Je partage votre opinion qui est à mon avis la seule censée concernant le problème.
Souhaiter qu’un pays rentre dans l’Europe juste parce qu’il est musulman et que l’on pense que cela nous protégera des extrémistes est une vaste connerie selon moi.
Mais tous les pays européens n’ont pas la même vision de l’europe laïc.
Justement new [b][b]reporter[/b][/b],
en Irlande, le [b]Catholicisme [/b]est une Religion d’État,
en Grande Bretagne, le [b]Catholicisme [/b][b]anglican [/b]est une Religion d’État,
en Grèce, à Chypre…le [b]Catholicisme [/b][b]orthodoxe [/b]est une religion d’État…
Amicalement,
[b]Dominique[/b]
L’Europe n’est qu’un début
Pour expliquer rapidement pourquoi je parle d’apport islamique.
Je vois la construction de l’Europe comme une première étape d’une communauté mondiale à économie équitable, pacifiste, écologique.
C’est l’Europe qui semblait le meilleur creuset pour apprendre à faire vivre ensemble des nations disparates, en laissant aux nations leurs particularités, langue, culture, traditions. En refondant totalement les rapports.
C’est pour cela que j’ignore délibérement l’identité Europe, qui n’existe pas, et que je vois bien au-delà des frontières géographique, qui n’existent plus non plus. Saint-Pierre et Miquelon sont en Europe, tout comme Mayotte !
Mais la construction de l’Europe a échappé aux peuples qui la composent, pour tomber dans les mains des multinationales dont les budgets dépassent ceus des états.
Et pour ré-aménager ce monde, il faut bien admettre qu’il y a un milliard de musulmans.
Une Turquie laïque, qui respecterais le droit des Kurdes à disposer d’eux-mêmes, est une étape vers la construction d’une union mondiale qui n’aurait rien à voir avec le rêve mondial, pro-occidental (donc voué à l’echec).
Il faut que les turcs le comprennent, le concept de laïcité est le ciment de cette future union mondiale. Ceci est une autre affaire.
Nous sommes loin du débat initial !
A ce sujet, jen ai tiré la conclusion : le joli mois de mai est la seule solution.
Ou l’hibernation pendant 3 ans.
a) remplacer « ceus » par « ceux »
b) « d’une union mondiale qui n’aurait rien à voir avec le rêve mondial, pro-occidental (donc voué à l’echec), souhaité par le Groupe de Bilderberg, par exemple »
c) toujours se relire avant de cliquer sur « ajouter un commentaire »
Bon, je me relis…
Oui,Sako dois démissionne ‘on reve’
-FABRIQUE DES PAUVREs
lES RICHES SONT DE PLUS EN PLUS RICHE
-LE CHOMAGE AUGMENTE
cèle des subventions formation….
La liberte expression diminue
Préparons 2012 AVEC LES ARMES DE LA DEMOCRATIE
Par son article Patrice Hénin, ne fait que refléter les désiratas de la majorité silencieuse des Français qui veulent la démission de l’imposteur Elyséen, mettre un terme à 35 ans de trahison politique de droite et de gauche, donc au bi-partisme, et aussi dénoncer les faux nationalistes souverainistes, que sont les LE PEN et DE VILLIERS, et à l’hypocrisie des Bayrou et écolos de tous poils !
Et surtout leurs désirs de sortir de l’Europe cette europe qui nuit gravement aux intérêts supérieur de la France, Notre Nation, Notre Patrie !
@ Plusssse !
Ou sont les partis de gauche?
Je milite maintenant chez Nicolas Dupont-Aignan.
Mais c’est tout petit, ici !
NDA m’a répondu que faire entrer la Turquie ferait « imploser l’Europe ». Mais je n’ai pas pu lui expliquer ma vision d’Union mondiale (traités équitables, écologiques, sociaux). Vision qui n’a rien à voir avec des projets de gouvernance mondiale déconnecté des peuples.
Il est évident que l’entente cordiale DSK-Sarko se poursuit : DSK battrait Sarko de 1%, ben voyons. On nous manipulerais que cela ne m’étonnerais pas.
de toutes façons DSK ou ZORROZY c’est du pareil au même !
tous les deux sont du NOUVEL ORDRE MONDIAL .
ON NE POURRAIT EN SORTIR QU’AVEC BESANCENOT
MAIS IL NE PASSERA JAMAIS
CAR LES BANQUIERS TIRERAIENT SUR LUI A BOULET ROUGE -UN COMBLE !!!!!!
Quelle intéressant débat.
Moi aussi fervente d’histoire, sans parler de révolution, ou d’obligation démocratique, depuis quand les opprimés qui se sont mutinés ont-ils attendu qu’un nouvel article de loi leur propose de se retourner contre le pouvoir?
Tous ces mots de constitution, ces articles… mais est-elle si bien que ca cette 5 eme constitution?
Et ca parle des révolutionnaires. Eux en tout cas ne devaient pas se poser de questions, ils ne devaient pas se demander ce que le Roi allait dire? ou la police?
Si la tournure des évènements prendre cette direction, c’est que Sarkozy a tout fait pour dégrader son image et son propre honneur.
Cet homme est un relais, il permets juste de faire en sorte que ses amis, ou plutôt ses employés lui demandent de faire beaucoup de bruit, afin qu’eux, puissent rester tranquilles et dormir sur leurs deux oreilles.
Après lecture quasi intégrale de votre histoire Patrice Hénin, je vous soutiens dans votre quête de justice, et trouve cela très bien de ne pas lâcher l’affaire. Se battre contre la censure n’est pas évident. Et faire entendre sa voix est un combat quotidien.