Il y a quelques années encore, l’africain pouvait s’enorgueillir de montrer aux yeux du monde entier la richesse de sa forêt verdoyante où vivaient en harmonie une variété d’animaux, d’oiseaux et autres. Mais avec le temps, une race de braconniers et d’exploitants forestiers avec la caution des pouvoirs publics de chaque pays africain, ont détruit et massacré cette nature en échange de l’argent, et cela s’étant fortifié dans les pays en guerre où les rebelles au mépris des règles élémentaires de la bienséance en ont fait leur butin de guerre. Va-t-on continuer de regarder ce désastre de nos forêts sans rien dire, souffrir dans notre chair de naturalistes ? Dieu en créant ce monde, outre l’homme et la femme, n’a-t-il pas pensé aux arbres, oiseaux, animaux, aux sources d’eau, à la mer, tout ce qui, en tout cas, pouvait participer à l’équilibre de la nature, en faisant l’Homme à son image pour l’accomplissement exact de son dessein sur la terre ? Mais, l’homme profitant de ce privilège, fait tout à sa tête, brûlant tout à son passage, coupant les grands arbres sans tenir compte de la complainte des arbustes.
..
Pour un voyageur international qui a pris l’habitude, durant de longues années, de parcourir les routes africaines, il a sûrement remarqué avec désolation la défiguration des forêts denses africaines ces dernières années. Là où un paysage chatoyant l’accueillait, une savane arborée a pris inopinément la place, perturbant dangereusement le système climatique de ces pays.
Si tous les écologistes du monde, tout particulièrement, ceux d’Afrique pouvaient s’unir comme un seul homme, pour aller contre cette autre guerre des superpuissances à l’endroit de nos forêts, qui ne dit pas son nom, cela pourrait éviter des catastrophes naturelles insurmontables à la longue.
Nous lançons un S.O.S à toutes celles et tous ceux qui ont une idée noble de l’importance de la forêt pour le bien-être de l’Homme, de faire en sorte que dans toutes leurs campagnes de sensibilisation l’accent soit mis sur la protection de la nature. Car la raison de vivre de l’Homme sur la terre ne peut aller sans la protection entière de toutes les composantes de notre environnement naturel.
Constant Ory
Ecrivain
.
Liz…nous parle de son programme de relance économique…
– ET SI ON SE LANCAIT DES FLEURS –
Que mon message inspire le monde entier…
dans la Joie, la Santé et le Bonheur…
Bisous et câlins à tous et chacun…
Elizabeth II d’Angleterre…votre Liz…
JE LEVE MON VERRE A LA REINE D’ANGLETERRE…
http://www.youtube.com/watch?v=23iU7kJnpRg
JOIGNEZ-VOUS A CETTE DANSE EN LIGNE…
A PARTAGER AVEC VOS AMIS…
MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE
C’est maintenant qu’il faut agir…
car demain il sera trop tard !
Les compagnies aériennes doivent absolument prendre
part à un débat sur les conditions atmosphériques qui
s’aggravent de jour en jour, car ce sont les premières
concernées sur cette dégradation qui est en cours,
causée par le kérosène et autres agents très toxiques.
L’urgence de prendre en considération que l’on doit
absolument réduire le trafic aérien mondial devenu
extrême, ceci dans le but d’éliminer les substances
nocives à la vie, comme le kérosène qui empoisonne
l’atmosphère au plus haut degré…
Car sans atmosphère, la nature terrestre disparaîtrait
ainsi que l’humain qui ne pourrait vivre sans cet appui
indispensable à l’existence.
Après les attaques sans précédent survenues en septembre
2001 sur les tours du « World Trade Center » à New York, une
étude a été faite concernant le trafic aérien qui avait considé-
rablement ralenti durant les mois qui suivirent l’attentat, pour
que la couche d’ozone s’améliore grâce à la réduction des vols.
L’humain étant de nature fataliste à bien des égards,
en pensant que tout est perdu d’avance…
a la mauvaise habitude de se laisser-aller par un instinct de
négligence qui le dirige à vouloir attendre jusqu’à la limite du
risque, avant de prendre enfin des décisions d’envergure vitale
à son bien-être.
Ainsi pour une question de survie, il doit faire l’effort
de se tourner vers le naturel bienfaisant à sa santé,
plutôt que de s’accrocher à une laideur artificielle qui
dégrade la qualité de vie au quotidien, car dans ce cas,
il prend de toute évidence la mauvaise route.
C’est en parcourant des sentiers qui abondent d’air pur
et vivifiant que tout ira mieux…
Savions-nous que la Terre a des normes qui doivent-être
respectées, comme nous le faisons pour notre corps ?
Mais notre préoccupation première de voir à l’efficacité d’un
marché économique florissant, dans le but de remplir les
coffres de banques, ce qui est à nos yeux d’une importance
primordiale et prend plus de place que de se soucier du réel
problème d’extrême urgence qui est de vouloir sauvegarder
la nature terrestre, en rétablissant l’ordre naturel que nous
avons détruit.
Car le système écologique s’aggrave de jour en jour par la
négligence de ne pas vouloir remédier plus sérieusement à
éliminer la pollution qui empoisonne la pureté de l’air, l’eau
et celle de l’environnement. Ceci dû à la propagation de gaz
toxiques dans l’air et l’eau, étant sans aucun doute la cause
du réchauffement planétaire. Il est évident que la température
ambiante qui entoure la Terre, a tendance à se réchauffer
graduellement et naturellement, sans que l’homme abuse et
dérange le système climatique, en déstabilisant un processus
qui doit rester naturel.
MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)
Ayant vécu trois ans à Los Angeles au début des années 70,
c’est à cette époque que j’ai pris conscience du réel danger
de la concentration de gaz toxiques dans l’air ambiant, ceci
dû à une circulation automobile très dense sur les multiples
autoroutes de cette grande agglomération. Créant un smog
MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)
permanent au-dessus de la ville, tel un écran de pollution qui
amplifie la chaleur du soleil.
Alors qu’en Chine, où le problème de pollution est encore plus
grave, les habitants des grandes cités portent des masques
pour protéger leur respiration.
Et si un smog planétaire se formait dans l’atmosphère
que ferions-nous ?
Cela produirait un effet de serre asphyxiant et suffocant sur
toute la surface terrestre, en appauvrissant, détériorant et
empoisonnant toutes formes de vie sur Terre.
Alors que le processus du réchauffement de la température
ambiante devrait se stabiliser, si nous prenons les moyens
nécessaires pour enrayer ce mal.
Car à l’heure actuelle, le processus s’accélère et continue
dans la mauvaise direction. Ce qui accentue le mouvement
naturel du système climatique, en causant de plus en plus
de feux de forêts, augmentant le nombre de pluies abondantes
ainsi qu’une rapidité accrue de la fonte des glaces de l’Arctique
et l’Antarctique. En se rappelant que le point d’équilibre entre
les deux pôles se situe sur la ligne médiane de l’équateur !
En réalité l’effet de serre est tolérable, pour autant que l’air
ambiant qui entoure la planète soit d’une qualité de pureté
supérieure à la norme fixée comme étant acceptable.
Ce principe est du reste employé en bio-culture et sert à activer
la production des légumes, fruits et fleurs, ce qui donne de très
bons résultats, en utilisant l’énergie solaire qui crée la chaleur
nécessaire pour qu’une condensation de vapeur se forme à
l’intérieur de la serre.
Avec l’aide d’engrais, la relation: lumière / chaleur / vapeur
est le moyen de faire pousser en serre des cultures vigoureuses
en ce milieu, entourées d’un air ambiant 100% pur, d’autant plus
qu’en terme savant: BIO signifie VIE.
Il suffit d’aller se promener dans les grandes serres du jardin
botanique, pour pouvoir ressentir un effet agréable de bien-être,
dont dispose cette luxuriante végétation pour s’embellir, de la
même manière qu’un bon bain de vapeur régénère notre corps.
MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)
En fait l’effet de serre est un système écologique qui se développe
sous l’épais feuillage des grands arbres des forêts tropicales.
Ainsi à l’ombre et à l’abri de la chaleur accablante se propage en
permanence une condensation de vapeur qui humidifie l’air ambiant,
ce qui procure une fraîcheur continue plus vivable pour la flore et la
faune. Aussi, cette rosée qui alimente en eau cette belle nature,
est la seule source de vie durant la période de sécheresse.
Et lorsque le moment de la saison des pluies abondantes arrive,
cette grande rain forest de l’Amazonie devient le poumon naturel
de la Terre.
C’est en renversant la vapeur et en pensant plus précisément
à améliorer et enrichir la nature, pour que sa croissance soit
saine et ainsi plus prospère.
Il faut rétablir le processus naturel indispensable au bon sens de la
vie, en prenant la décision d’améliorer cette grande défaillance des
conditions atmosphériques.
Par l’élimination progressive des excès de pollution qui
affectent la nature terrestre, en plus que de nuire à notre
santé de façon sournoise.
En prenant davantage conscience de l’ampleur catastrophique
de cette pollution atmosphérique, selon un article paru dans le
journal Métro du 7 novembre 2013, l’Organisation Météorologique
Mondiale (OMM) cite que l’humanité n’a jamais habité une Terre
aussi polluée, ainsi la concentration actuelle de méthane dans
l’atmosphère est 260% plus importante que celle de la période
pré-industrielle.
Si le rythme actuel des émissions se maintient, l’organisation
s’attend à ce que la teneur annuelle moyenne en CO2 à l’échelle
du globe dépasse le seuil de 400 parties par million en 2016.
Le dioxyde de carbone demeure dans l’atmosphère pendant un
siècle, parfois plus longtemps, ce qui signifie qu’une bonne part
du réchauffement climatique est déjà assurée.
« La quantité croissante de gaz à effet de serre dans l’atmosphère
montre de quelle façon l’homme a modifié l’équilibre naturel pour
devenir un contributeur majeur aux changements climatiques »
affirme Michel Jarraud secrétaire général de l’OMM.
Les individus à l’âme guerrière et avides de conflits militaires,
ayant une tendance plutôt destructive, seront les derniers à
vouloir améliorer ce grave problème de pollution.
Aussi ce sont les amoureux de la nature qui s’occuperont plus
volontiers à prendre position et agir dans la bonne direction…
MANIFESTE SUR L’ÉTAT PRÉCAIRE DE L’ATMOSPHÈRE (suite)
En fait l’effet de serre est un système écologique qui se développe
sous l’épais feuillage des grands arbres des forêts tropicales.
Ainsi à l’ombre et à l’abri de la chaleur accablante se propage en
permanence une condensation de vapeur qui humidifie l’air ambiant,
ce qui procure une fraîcheur continue plus vivable pour la flore et la
faune. Aussi, cette rosée qui alimente en eau cette belle nature,
est la seule source de vie durant la période de sécheresse.
Et lorsque le moment de la saison des pluies abondantes arrive,
cette grande rain forest de l’Amazonie devient le poumon naturel
de la Terre.
C’est en renversant la vapeur et en pensant plus précisément
à améliorer et enrichir la nature, pour que sa croissance soit
saine et ainsi plus prospère.
Il faut rétablir le processus naturel indispensable au bon sens de la
vie, en prenant la décision d’améliorer cette grande défaillance des
conditions atmosphériques.
Par l’élimination progressive des excès de pollution qui
affectent la nature terrestre, en plus que de nuire à notre
santé de façon sournoise.
En prenant davantage conscience de l’ampleur catastrophique
de cette pollution atmosphérique, selon un article paru dans le
journal Métro du 7 novembre 2013, l’Organisation Météorologique
Mondiale (OMM) cite que l’humanité n’a jamais habité une Terre
aussi polluée, ainsi la concentration actuelle de méthane dans
l’atmosphère est 260% plus importante que celle de la période
pré-industrielle.
Si le rythme actuel des émissions se maintient, l’organisation
s’attend à ce que la teneur annuelle moyenne en CO2 à l’échelle
du globe dépasse le seuil de 400 parties par million en 2016.
Le dioxyde de carbone demeure dans l’atmosphère pendant un
siècle, parfois plus longtemps, ce qui signifie qu’une bonne part
du réchauffement climatique est déjà assurée.
« La quantité croissante de gaz à effet de serre dans l’atmosphère
montre de quelle façon l’homme a modifié l’équilibre naturel pour
devenir un contributeur majeur aux changements climatiques »
affirme Michel Jarraud secrétaire général de l’OMM.
Les individus à l’âme guerrière et avides de conflits militaires,
ayant une tendance plutôt destructive, seront les derniers à
vouloir améliorer ce grave problème de pollution.
Aussi ce sont les amoureux de la nature qui s’occuperont plus
volontiers à prendre position et agir dans la bonne direction…