Dans mon monde gris des volcans, je me mets à rêver, en cette après-midi grise, froide et humide. J’écoute Snow Patrol et j’aspire à l’amour. J’aimerais tant un monde meilleur où l’hypocrisie, le mensonge, la cupidité auraient disparu d’un coup de baguette magique. Je ne parle pas de nos petits travers comme la gourmandise, le mauvais caractère, la tristesse, etc. Un monde tout maculé de blanc m’ennuyerait profondément; vous aussi je suppose. Un monde meilleur n’est que pure utopie (pour moi). Pourtant, un certain changement commence à se dessiner à l’horizon. C’est bien et c’est si peu par rapport à plus de 7 milliards d’individus.
Soyons francs. Notre terre ne pourra bientôt plus supporter cette masse monstrueuse de gens. L’ère de l’industrialisation, gérée par des manoeuvres diaboliques et immorales, a remplacé notre bien-être par un matérialisme outrancier et nous en voulons toujours plus. Notre subconscient enregistre des images subliminales et nous ôte toute réflexion et tout bon sens. Notre cerveau devient mou et dirigé par cette haute finance qui se frotte les mains en constatant que nous sommes à croc de toutes ces dernières technologies, de toutes ces images qui ne reflètent qu’un pauvre monde linéaire sans couleur.
Soyons francs. Notre terre ne pourra bientôt plus supporter cette masse monstrueuse de gens. L’ère de l’industrialisation, gérée par des manoeuvres diaboliques et immorales, a remplacé notre bien-être par un matérialisme outrancier et nous en voulons toujours plus. Notre subconscient enregistre des images subliminales et nous ôte toute réflexion et tout bon sens. Notre cerveau devient mou et dirigé par cette haute finance qui se frotte les mains en constatant que nous sommes à croc de toutes ces dernières technologies, de toutes ces images qui ne reflètent qu’un pauvre monde linéaire sans couleur.
Soyons francs. Notre terre ne pourra bientôt plus supporter cette masse monstrueuse de gens. L’ère de l’industrialisation, gérée par des manoeuvres diaboliques et immorales, a remplacé notre bien-être par un matérialisme outrancier et nous en voulons toujours plus. Notre subconscient enregistre des images subliminales et nous ôte toute réflexion et tout bon sens. Notre cerveau devient mou et dirigé par cette haute finance qui se frotte les mains en constatant que nous sommes à croc de toutes ces dernières technologies, de toutes ces images qui ne reflètent qu’un pauvre monde linéaire sans couleur.
Où est donc ce monde meilleur ? Même d’un mini eden je me contenterai. Un monde de sourires, d’aspirations à la paix, du travail pour chacun de nous, de l’argent mais pas trop, une nature respectée, des animaux protégés. Surtout plus cette hargne, ces visages fermés à chaque coin de rue, cette peur constante dont nos politiciens en tirent profit, cette tristesse qui envahit notre sphère jusqu’à dans la profondeur la plus intime de nos vies privées qui n’ont, d’ailleurs, plus rien de privé. Nous avons laissé, très loin derrière nous, la musique, les couleurs, l’amour, le geste gratuit. Mon père m’a appris une chose d’une importance capitale : "que ta main droite ignore ce que donne ta main gauche". C’est beau, non ? Pas très applicable en fonction de ces nombreux humains qui vivent dans le profit permanent.
Bien sûr que certaines peuplades arrivent encore à vivre avec leurs ancêtres, en dehors de notre dramatique monde qui n’arrive même plus à gérer ses poubelles. Les Touareg en sont un exemple vivant. Mais pour combien de temps encore ? Les 4×4 remplacent peu à peu les chameaux, les rallyes dévastent les sites préhistoriques et polluent sable et air… Et pour ne pas disparaître, les touaregs sont obligés de déclancher une guerre contre les états qui les asservit (comme au Niger ou au Mali au bord de la guerre civile) et cherchent à les faire disparaître comme on fait disparaître la civilisation inuit en les inondant de boîtes, d’alcools et de drogue…Le nombre fait la force…
Et pourtant, et il n’y a pas si longtemps, les Touareg vivaient si heureux, loin de notre folie dévastatrice, loin des magouilles de chaque état, loin de notre super civilisation qui avait tous les éléments en mains pour vivre bien et qui a déclenché une descente rapide en enfer! Hélas, les touareg sont dans la rébellion aujourd’hui et je ne crois pas qu’à ce jour, ils soient heureux, pris en étau entre El Quaida et son fanatisme et les états qui cherchent à les faire disparaître en ne leur redistribuant pas la mane minière dont ils ont droit et qui enrichit, que ce soit au Mali ou au Niger, les anciennes puissances coloniales et leurs affidés politiques locaux.
Tous les peuples nomades de la planète, derniers peuples libres, sont menacés de disparition par assimilation, famine, manques de soin, destruction de leur environnement. Ils font parti des assassinés du système ultra-libéral qui fera autant de morts que les guerres mondiales.
IL FAUT DÉSOBÉIR À TOUT CE QUI FAIT LEUR SYSTÈME.
Alors oui, je rêve avec force à ce monde meilleur, à cette réunion entre nous qui pourrait être du bonheur, un peu comme on le voit dans certains films qui me rendent un trop souvent triste parce que ce monde là était… avant!
[b][b][b]CORRECTION[/b][/b] :[/b]Je tiens à rectifier mon texte. En faisant la mise en page, immaculé a été coupé et s’est donc transformé en maculé, qui est tout le contraire. Parfois, les lunettes ne servent pas à grand chose, la preuve!!!
[b]relire avec délices le savetier et le financier, certains feraient bien de l’apprendre par cœur ! [/b]