Rentrée au black… On lit ici et là que 13 % des entreprises contrôlées fraudent ! Ah ! Bon ! Des patrons-voyous.

Vite la chevalière blanche Parisot ! Et son MET-A-GAUCHE !

Pour ne pas troubler votre digestion, je vous fais grâce du menu exhaustif des activités de ces honorables citoyens.

Tout de même 16% à l’Hôtellerie du Pigeon à la Tva (préférez les gros pois pour vous le faire assaisonner.)         J’ai encore dans l’enclume la sérénade : « C’est l’entreprise qui crée de l’emploi ! » Celles-là ? Je serai enclin à le croire !        Si par impertinence vous comptez les employés de l’Inspection du Travail, vous comprenez aussitôt que 13% de fraudeurs ne représente que ce qu’il reste de l’iceberg en train de fondre faute de scientifiques pour mesurer la dégelée. Mais on ne peut pas passer son temps à virer puis réintégrer les cadets qui réussissent les concours de police et conserver les empêcheurs de travailler en soute ! 900 contrôleurs et 480 Inspecteurs, c’est l’orgie en France! A supposer qu’un tout gradé prenne sa retraite on en aura encore perdu 2 !!!        

Passe que certains « employeurs » soient tentés par leur propre forme de BONUS, le sans charge, ils s’en chargent.

Mais c’est le déficit SS et National (Bof) qui est étourdissant. Pour combler le trou de quelques milliards, on parle de 12, la sapée Rose…Camembert nous picore depuis chez le toubib en passant par la pharmacie et autres jusqu’à 40 € par an et par tête.

On ne risque pas de se soigner au noir, nous ! Mais soyons R-assurés, le black c’est 8 % d’augmentation depuis 2007. Preuve que le chômage est combattu avec une sacrée force! Mais de l’autre côté de l’iceberg, il y a tous les cadeaux de l’Etat. Heures supp non taxées, 1° emploi, zone prioritaire, qui feraient dans les 60 MM entre charges et budget. –

Je compte sur un économiste de nos lecteurs pour préciser et compléter (ce doit être dur).

 Quand ce n’est pas l’Etat qui nous prive de charges sociales, ce sont les patrons. Je m’en voudrais de finir en oubliant chacun d’entre nous qui y prend sa part et trouve son compte. Mes (pas trop) chers artisans du quartier, comprenez ! Merci aussi ! Merci encore !