Réflexions intemporelles.

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La nature reste un refuge privilégié où il fait bon se ressourcer !

Voilà deux réflexions posées sur le papier que je vous laisse apprécier.

 

 

 

LA FORET.    C’est là au creux de ses sentiers balisés,

Que nous venons respirer

L’air pur si recherché

Et trouver le calme tant espéré,

 

C’est là, que les oiseaux, les fleurs aux divers coloris

Et les ruisseaux aux mille bruits

Se mettent en harmonie

Et jouent une agréable symphonie,

 

C’est là que le petit monde silencieux

Des animaux besogneux

S’affaire tout joyeux

A conserver l’équilibre de son milieu,

 

Alors, tous : bûcherons, chasseurs et randonneurs,

Rassemblons toute notre ardeur

Pour préserver l’immense bonheur

Que nous offre la forêt à toute heure.

 

 

 

 

TORRENT 

 

 

Toi torrent, tu ronronnes inlassablement

Sur les pierres du moment,

 

Par gros temps, tu coules bien tristement

Traînant les restes du mauvais temps,

 

Par beau temps, tu  claironnes à tout vent

Ton joyeux ruissellement,

 

Tu sembles impassible à tout instant

On t’admire, te traverse allègrement,

 

Mais tu sors toujours gagnant

Car tu chantes éternellement.

 

 

2 réflexions sur « Réflexions intemporelles. »

  1. Bonjour Yolaine,

    je me suis aventuré sur votre présent article de façon à laisser une seconde chance au jugement que je m’étais fait de vos précédents.

    L’intention était vraiment louable, je vous l’assure, mais, là vraiment, je ne peux me retenir…

    Votre texte est sensé être poétique ? vrai ?

    Que l’on lise de tels exemples sous la plume de poêtes en herbe, adolescents acnéens en mal d’exprimer des émotions inconnues et incontrôlables, d’accord…

    Mais vous, oui, vous, Yolaine, que je suppose d’une maturité qui vous classerait désormais dans le monde des adultes, vous nous pondez une espèce de bouillie insipide à peine digne d’un môme de 8 ans à l’occasion de la fète des mères…

    Que vous ayez l’ambition poétique dans votre cercle familial et amical, soit, vous compterez sur sa compassion mais, la prétention de faire publier est une véritable insulte au lecteur sans un minimum d’apprentissage.

    Sachez Yolaine que la poésie a aussi ses règles, rimes, vers, pieds, césure, hémistiche, sans lesquelles un texte reste en prose (et encore, la prose a aussi ses règles…)

    Je vous donne un exemple vite pondu avec ce petit quatrain octosyllabique, à votre attention, esérant qu’il vous donnera l’envie d’en apprendre un peu plus sur la poésie…

    [quote]Ces mots pour vous, très chère Yolaine,
    Vous qui vous prîtes telle un Verlaine.
    La poésie n’a de saveur
    Que du talent du rédacteur[/quote]

    Avec mes salutations – Philipe

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