La planète terre est la seule découverte jusqu’à présent étant capable d’accueillir la vie. Et pour cette raison ses habitants doivent tout mettre en œuvre pour la protéger.

L’autre raison qui doit nous pousser à la sauvegarde de notre planète est sa fragilité. En effet une modification si minime soit-elle de sa situation et venant de l’extérieur a des répercussions graves sur la vie humaine. Mais quand l’Homme n’est pas victime d’un tort venant de l’extérieur (de l’espace), il se fait du tort à lui-même.

C’est ainsi que la Terre se trouve de plus en plus menacée du fait de ses habitants. Le principal facteur est celui qui va nous intéresser à savoir le réchauffement climatique. Ce dernier a pour origine principalement les pays soi-disant développés.

Les pays du Nord produisent plus de 80 % des gaz à effet de serre qui constituent un danger sérieux pour la couche d’ozone ; laquelle couche nous protègent des rayons ultraviolets du Soleil.

Si les conséquences de cette négligence ne sont pas encore visibles, du moins pour les pays occidentaux, il n’en sera pas le cas dans les années à venir. Ainsi doivent-ils penser un moins à eux même et s’occuper du sort des générations à venir qui risquent de trouver l’Enfer sur Terre et surtout du sort actuel des pays du Tiers-monde qui commence déjà à payer les pots cassés.

 


Les pays sous-développés notamment ceux africains vivent essentiellement de l’agriculture et de ce fait leur sort dépend essentiellement du comportement climatique. Des pluies à la période adéquate constituent une garantie de bonne récolte et l’inverse produit une quasi-catastrophe.

Au Sénégal par exemple, j’ai remarqué le dérèglement de plus en plus visible du climat. Lors des cinq dernières années, cela a causé des problèmes innombrables au monde rural : saison des pluies qui commence curieusement vers Septembre, fréquence des pluies hors-saison qui constituent un danger pour les bétails comme c’était le cas en 2002, etc.

Un autre exemple très récent des effets du dérèglement climatique est l’avancée de la plage de plusieurs dizaines de mètres à Rufisque et qui a défrayé la chronique dans la presse sénégalaise.

Pour toutes ces raisons, les pays occidentaux et notamment ceux européens puisque les Américains ne veulent pas entendre parler de ratification d’un quelconque protocole doivent mettre en œuvre les moyens pour soigner le mal à la racine afin qu’il ne soit trop tard.

Car il est bien vrai que c’est nous pays du sud qui subissons pour le moment les conséquences mais, ces dernières risquent très vite de se propager sur toute la planète bleue