Et maintenant ?! Qui sauvera Carlos Ghosn !

La machine infernale enclenchée le 19 novembre avait déjà signé son arrêt de mort, distillant cette exécution programmée de manière insidieuse et sournoise, par voie de gardes à vue successives, prolongées et répétées.
La situation est manifeste, l’évidence n’est invisible qu’aux envieux nourrissant une haine jalouse à l’endroit de cet homme hors du commun, compétent, capable et brillant à un degré exceptionnel et doté d’une combativité et d’une endurance rare.

Par cette troisième garde à vue, prolongée de surcroît, le Japon aura décidé d’exécuter définitivement l’Empereur Ghosn, dans le but de servir de sombres intérêts honteusement nationalistes et xénophobes à visée anti-occidentale.
Nissan, son donneur d’ordre, a assuré la victoire de son putsch par la personnalité douteuse de quelques procureurs corrompus.
La Japon a ainsi sacrifié Carlos Ghosn… et le Monde entier, dans cet insoutenable silence complice et collaborationniste, a abandonné la Grand Ghosn, aux mains de la mafia étatique nippone, dans ce mouroir concentrationnaire.

C’en est assez !
L’otage Ghosn, martyre politico-économique d’intérêts capitalistes à connotation nationaliste, ne sera pas laissé plus longtemps dans cet Auschwitz nippon.
Il doit être libéré avant le 31 décembre !
Ce n’est plus même une question de Justice, c’est devenu une question de Droit, c’est rentré à présent dans le cadre des Droits de L’Homme.

En son article 9, qui stipule que nul ne peut être arbitrairement arrêté ou détenu, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948, a déjà condamné le Japon pour violation des droits de Carlos Ghosn.
D’autres articles ont été violés en l’espèce, il en est ainsi de l’article 2 qui assure l’égalité en matière d’origine nationale, ce précisément pourquoi Carlos Ghosn a été arrêté, parce qu’il était français et non pas japonais.
L’article 3 également a été bafoué, celui assurant la liberté et la sûreté des personnes, de même que l’article 5, interdisant la torture, et les traitements cruels inhumains, des violation telles qu’ils les vit dans ce «bloc 11» , parallèle avec le «bloc de la mort» d’Auschwitz.
Les articles 6 et 11, ont eux aussi été violés, ceux relatif aux droits de la défense.

La réalité de la situation étant plus qu’évidente et outrageusement scandaleuse, cette détention abusive doit être levée de manière immédiate et sans caution.
Le caractère putschiste de cette arrestation injustifiée, étant avéré et plus qu’intolérable, toute charge retenue contre lui doit être abandonnée.
Et l’obligation de laisser Carlos Ghosn libre de quitter le Japon, sans restriction, doit être ordonnée.

Si le Premier Ministre japonais et son gouvernement, participants actifs de ce règlement de compte visant à évincer un Empereur devenu gênant et une France pour laquelle ils ne nourrissent que détestation, n’affirment pas la volonté d’y mettre un terme, nous leur demanderons des comptes sur les Criminels de Fukushima.

J’en appelle ainsi à tous les idéalistes, les grands défenseurs de la justice et des droits de l’homme, les protecteurs des grands esprits, et des grands hommes,
J’en appelle à tous les soutiens de Carlos Ghosn et aux trois États dont il a la nationalité, notamment le Liban sa patrie de sang, ainsi qu’au constructeur Renault et à l’État français actionnaire,
D’intervenir sans délai, pour sauver la martyre Ghosn des geôles nippones, et ce, avant le 31 décembre.

Puisse mon appel être entendu par vous tous !

Car à part vous, qui d’autre pourra sauver l’otage Ghosn.

Une pétition vient également d’être mise en ligne, pour enjoindre au Premier Ministre japonais de libérer Carlos Ghosn.

https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/liberez-otage-ghosn/56424

C’est la force de la mobilisation seule, qui réussira à conduire à sa libération.

Unissons-nous pour lui.

Liens :
Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948
http://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/