Espagne-Suisse.
Quel coup de tonnerre !!
L’Espagne grandissime favori de la compétition s’est inclinée face à une valeureuse équipe suisse. Le statut de favori a semble-t-il pesé sur les épaules des ibères, qui n’ont pas pratiqué leur football habituel. Certes ils se sont montrés combattifs mais il a manqué la petite étincelle.
La Suisse en liesse !
Personne n’aurait osé pronostiquer une défaite des hommes de Vincente del Bosque. L’Espagne restait sur douze succès consécutifs, un excède confiance ou tout simplement le stresse de la compétition ?
Le Moses Mabhiba Stadium de Durban est encore sous le choc de l’énorme sensation de cette Coupe du Monde. L’Espagne a mordu la poussière, malgré les effets de cape et une domination stérile, ce sont les petits Suisses qui ont piqué au vif le taureau ibère.
Ottmar Hitzfeld a su insuffler un esprit de combattant à ces hommes. La Suisse s’est montrée solidaire, très bien organisée et plaçant des contres redoutables.
Tout d’abord Fernandez porta la première banderille, blessant le taureau espagnol dans son orgueil. Un but ou la défense espagnole a paru bien fébrile. Les longues joutes européennes des clubs espagnols, un peu de suffisance…
Les ibères reprennent leur domination, et sur un corner, Xabi Alonso expédie une frappe terrible qui s’écrase sur la transversale, un tournant dans la rencontre.
Quelques instants après c’est au tour de Derdiyok, consécutif à un exploit personnel, de trouver le poteau de Casillas, complétement mystifié par l’action du joueur Suisse.
A chaque contre les Helvètes donnaient l’impression de pouvoir encore inscrire un second but.
Les minutes s’égrènent, les corners et les coup-francs s’enchainent, mais rien ne perturbe l’excellent portier Helvète, Diego Benaglio, auteur d’une partie magistrale.
Coup de sifflet final après cinq longues minutes de temps additionnel, les Suisses se congratulent devant le taureau espagnol, vidé de son sang !
Désormais l’Espagne n’a plus le droit à l’erreur. Certes contre le Honduras on peut s’accorder à dire qu’une contre-performance est peu probable.
Mais face au Chili la partie ne s’annonce pas facile. Cette victoire Suisse ajoute une dose de suspense, donnant une tout autre dimension à ce groupe.
Le Mondial des surprises…
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Les vedettes et les équipes vedettes déçoivent….Trop de matches dans les jambes?….le nouveau ballon? Je m’endors …Vivement les tirs au but!
Bravo aux petits Suisses!
In-cro-yable !!! C’est vrai que le football réseve des surprises mais celle là… franchement ! Mais voyez-vous, on s’est tous planté! Même dans les paris sportifs, un ami m’a conseillé de cocher le gain ou nul de la Suisse en rigolant et je lui ai dit que c’était un pari perdu d’avance. Le grandissime favori était, sur papier largement au-dessus des suisses. Mais je viens de comprendre qu’un match ne se joue pas sur papier mais sur un terrain.
Pour revenir au match, la défense suisse a vraiment résisté ! Une résistance farouche jusqu’à la fin ! Cette équipe à porter l’estocade à un moment où les espagnols s’y attendaient le moins et ont su verrouiller leur cage. Les équipes ont vraiment travaillé leur défense au point où les scores sont très minces. Félicitation à la Suisse, j’ai perdu mon pari mais je suis content pour eux.
Salut Yves.
Quel coup de canon !
La solidarité suisse a vaincu la maestria espagnole. Tactiquement les hommes d’Ottmar Hitzfeld ont joué la partition parfaite.
Cette année les « petites » équipes ne sont pas celles que l’on attendaient. Je crois bien que nous ne sommes pas à la fin des surprises…
Bye à plus.