Quel futur pour la société ?

 

Une société équilibrée semble être un rêve, étant donnés la médiocrité, les espoirs trahis et les effondrements vécus tout au long de l’Histoire.

Cet équilibre est pourtant nécessaire. De manière générale, de nombreuses personnes de valeur peuvent prouver leur contribution potentielle aux problèmes économiques, en particulier les solutions énergétiques.

 Encore faut-il qu’elles puissent se faire entendre et soient libres de graves menaces. Le Dr Rath, d’Allemagne (Cf revue « Rath international » abordant le problème du cancer, la défense des vitamines, etc.), Pierre Lance dans « SAVANTS MAUDITS CHERCHEURS EXCLUS», et Andrew Goliszek  dans « Au nom de la Science » dénonçant les scandales médicaux, se battent courageusement pour la santé.

Mais beaucoup d’autres ont des choses à dire et proposent des issues valables. Un véritable dialogue doit être établi, et chacun doit avoir une chance de contribuer, qu’il soit bardé de diplômes ou non. Pourquoi ne parle-t-on quasiment que de mauvaises nouvelles à la télé au lieu de faire savoir ce qui se fait de bien ? Veut-on faire croire à l’homme qu’il n’y a aucun espoir afin qu’il ne cherche aucune solution ? pour qu’il se mette à faire n’importe quoi puisque, de toutes manières, c’est foutu ? (C’est un facteur encourageant la criminalité)

   Les efforts vers cela, aussi colossaux soient-ils, sont sensés et seront récompensés, pour autant que nous restions vigilants et perspicaces, que nous restions forts et défendions un but valable, et que nous travaillions en tant qu’équipe, car la tâche est immense bien qu’elle puisse être accomplie relativement rapidement. Cela demande « du monde à bord », une quantité de leaders de bas en haut de l’échelle sociale, pas seulement des sujets soumis incompétents et un leader. Des leaders compétents éliront un leader valable. Un critère majeur pour un leader est : apporte-t-il de l’ordre ou non ? S’il fait s’accumuler le déséquilibre économique, les protestations d’une nette majorité, la dégradation écologique ou sociale, les pratiques égoïstes sans scrupules au détriment de la société, l’étouffement des bonnes volontés, ou s’il bat en retraite parce que mettre de l’ordre exige, au début, un peu de désordre par la remise en cause des habitudes ou la destruction de structures non-fonctionnelles ou délabrées, eh bien ce leader n’a pas sa place à ce statut ou il doit mettre au clair son rôle.
   Un autre critère est : cet homme ou femme politique ou gouvernement assument-ils la responsabilité de leur message, ou se fourvoient-ils dans des actions superficielles s’éloignant du but ? Et assumer une responsabilité ne veut pas juste dire être coupable de ses erreurs, cela veut dire reconnaître qu’on est capable de changer les choses, qu’on a quelque chose à voir avec ce qui se passe autour de soi et que ce n’est pas toujours un agent extérieur qui fait arriver les choses. C’est soi, avec sa puissance, utilisée dans la bonne ou mauvaise direction. Ceux qui ont des choses nuisibles à cacher dégradent petit à petit leur sens de la responsabilité.
 Lorsque cela arrive au niveau politique, ou dans la police, ou dans le monde de la santé, un pays décline, ce qui est très dommage, car ce sens des responsabilités peut être facilement réhabilité chez la plupart des gens, à moins qu’on soit un tel criminel qu’on préfère fuir et garder ses indicibles secrets pour soi. La responsabilité, c’est reconnaître qu’on fait sa part dans le cursus du bien (et du mal) et de rester aux commandes, pas en pilotage automatique (aveugle) avec un semblant de présence (on ne s’implique plus positivement parce qu’on a des choses à se reprocher). C’est le poids et/ou la joie que chacun assume, dans chacune des sphères d’activité. Peut-être le message n’est-il pas simplement celui de la Franc-maçonnerie (Liberté, Egalité, Fraternité). Quoi qu’il soit, travaillons-y et réalisons le, du moment qu’il sous-entend l’élévation, l’équilibre et le bonheur.

La responsabilité pour le message d’une nation, cela demande de la communication et de l’intérêt pour son pays. Cela demande d’accepter de l’aide de la part de ceux qui la proposent, ainsi devraient ils être écoutés. Des tables rondes de ceux qui ont des solutions aux divers fléaux de la société devraient être organisées et les solutions testées. Il ne doit pas juste y avoir des politiciens qui pensent et ordonnent des solutions et d’autres qui subissent. Il doit y avoir une synergie composée de communication. Les gouvernements ont malheureusement tendance à omettre ce facteur vital, et cela leur coûte très cher, ainsi qu’à la société. Un gouvernement est un ensemble de personnes travaillant pour le bien public et servant le public.

5 réflexions sur « Quel futur pour la société ? »

  1. Pourquoi un certain désintérêt de la chose publique. Que constatons nous ? Que voyons nous? des hommes et des femmes qui partent en politique avec l’espoir d’accéder à emploi bien rémunéré, ne demandant pas trop de travail, avec seulement l’obligation de bien savoir parler.
    Une fois élu, il faut quand même se donner un peu de mal pour se maintenir, être réélu mais on jouit de la considération des gens autour de soi, on n’a pas de chef, il faut seulement se faire remarquer par les instances du parti auquel on a adhéré. Les assistants parlementaires peuvent faire une grande partie du travail que l’on aime pas faire soi même.
    Mais le destin du pays, l’intérêt des employés, ouvriers et cadres, les grands problèmes de la Société, comment les traiter ? Le parti vous dit ce qu’il faut dire car il est préférable que l’on tire la charrette du même coté.
    On ne vient plus défendre de grandes idées pendant une an ou deux, non, on vient au boulot, le plus longtemps possible, faire carrière.

  2. AVENIR DE LA SOCIETE : BLACK IS BLACK !
    vu du noir, broyé du noir, le noir m’a tuer !
    « Le fond de l’air est noir comme les burqa, les niqab et autres « nigab » que nul ne peut plus éviter… sur nos écrans et comme dans nos journaux.

    Le fond de l’air est noir comme la barbe d’un « musulman » présumé intégriste, polygame et fraudeur, auquel l’UMP offre, sur un plateau, une tribune.

    Le fond de l’air est noir comme les tracts nauséabonds dont s’inspire Brice Hortefeux, ministre de l’intérieur.

    Le fond de l’air est noir comme la couleur du deuil que portent les familles et les amis des agricultrices et agriculteurs « qui, pour échapper à leur enfer quotidien, commettent l’irréparable » ou celui des familles de salariés de France Télécom.

    Le fond de l’air est noir comme la soutane qui étouffe le cri d’un enfant.

    Noir comme la carcasse d’un bus calciné à Tremblay-en-France ou à Grigny.

    Noir comme la marée noire aux USA, potentiellement une des pires de l’histoire.

    Noir comme le noir de la journée noire du Net en Tunisie.

    Noir comme le noir dessein des banquiers et des spéculateurs qui attaquent la Grèce et le Portugal, défont l’Europe et gouvernent à la place des peuples.

    noir comme le noir contrat des sous-mains du Pakistan;

    noir comme l’air au-dessus des volcans de l’Islande
    …. »

    [url]http://fr.news.yahoo.com/63/20100428/tpl-le-fond-de-l-air-est-noir-trs-noir-5cc6428.html[/url]

  3. AVENIR DE LA SOCIETE : BLACK IS BLACK !
    vu du noir, broyé du noir, le noir m’a tuer !
    Selon l’armée américaine, un troisième choc pétrolier menace. Il faut s’attendre, dit-elle, à ce que les surplus de capacité de production mondiale d’or noir disparaissent d’ici deux ans.

  4. AVENIR DE LA SOCIETE : BLACK IS BLACK !
    vu du noir, broyé du noir, le noir m’a tuer !
    Prendre aux pauvres en France pour donner aux banques françaises exposées en Grèce ?

    Mercredi dernier, le très « social » nouveau Secrétaire d’Etat au budget, François Baroin, a présenté en Conseil des ministres, la loi rectificative des finances qui permettra à la France, dont le budget est déjà en cours, de verser très rapidement une partie de sa contribution au plan « d’aide » de l’Union Européenne à la Grèce. Il s’agit d’une première tranche de 3,9 milliards d’euros sur les 6,3 prévus.

  5. Bonsoir poesophie,
    J’ai des tendances anarchistes…mais je m’intéresse à certains systèmes amérindiens où les
    leaders changent souvent,et les décisions sont prises avec l’ensemble de la communauté.
    Je plaisante quand je dis que j’a’imerais les femmes au pouvoir,en fait il me semble judicieux qu’il y ait une réelle parité.
    Je constate que vous êtes pro-amérindien au niveau de la « politique » 😉
    Evidemment cela semble être à certains à des années lumière de pratiquer ainsi.
    Tant qu’il y aura des hommes infantiles qui voudront toujours tirer la couverture à eux..
    Qui ne voudront pas partager le gateau,estimant qu’il leur revient sous divers pretextes..
    Tant que certains voudront briller plus que d’autres et laisser absolument leur nom dans
    l’histoire..
    Tant que l’homme ne sera pas adulte ,donc on peu dire jamais..sauf peut-être que quelques
    nations(amérindiennes)ne voudront plus jouer le jeu et qu’elles arriveront à s’imposer de manière à ce qu’on leur fiche la paix pour de bon..et qu’elles laisseront ceux qui veulent
    vivre dans un système peu équitable se débattre mais au loin,quitte à ce qu’ils se tirent
    sur une autre planète et tant pis si celle çi meure ,mais au moins les âmes seront traquilles..

Les commentaires sont fermés.