Ou quand la Bulgarie pratique le trafic des êtres humains
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On achève bien les chevaux !!
Sur les trottoirs de Sofia, une jeune et jolie blonde, cache les derniers secrets de son intimité, sous un bout de tissu bleu étoilé de jaune, comme pour évoquer l’entrée récente de la Bulgarie dans l’Union européenne, le 1er janvier 2007
L’un des premiers effets de cette adhésion est l’explosion de la prostitution.
En 2006, 2 000 Bulgares avaient été arrêtés en Europe.
En 2009, c’était pratiquement 50 % de plus.
Explications du criminologue Tihomir Bezlov : « La Bulgarie est une des plaques tournantes du trafic d’êtres humains. »
La Commission de Bruxelles nourrit des soupçons quant aux liens puissants existant entre le crime organisé et certains responsables politiques
Europol, la police européenne, fournit une assistance aux forces de l’ordre bulgare pour les aider à assainir leurs services, car beaucoup de policiers ou d’anciens fonctionnaires se sont reconvertis dans le proxénétisme.
Il faut aussi reconquérir les zones de non-droit comme les marchés aux esclaves clandestins dans les quartiers roms de la ville de Kustendil, proche de la frontière avec la Macédoine, où les unités spéciales ne se rendent qu’exceptionnellement et où les policiers locaux, recrutés sur place, sont soumis à la loi des trafiquants.
Un inspecteur de police judiciaire à Sofia, explique le secret d’une bonne opération de police "à la bulgare" :
« Le principal est de ne pas prévenir les collègues que nous arrivons! »
Dans un pays déjà fragilisé par de fortes tensions communautaires, la majorité des trafiquants sont roms ou turcs.
Les victimes sont des Slaves "du Nord" ou des Bulgares "de souche".
« On trouve aussi des Tsiganes sur le trottoir, car certains Roms n’ont aucun scrupule à prostituer les leurs. »
L’ultra violence est la marque du proxénétisme balkanique :
« Les étudiantes isolées ou les filles « paumées » sont repérées par des "sentinelles", kidnappées et vendues à des proxénètes entre 2000 et 8000 euros. »
Elles sont enfermées plusieurs jours et "dressées" dans un lieu secret : viols collectifs, passages à tabac, menaces de mort sont au programme…
Dans certaines villes, en Bulgarie, une femme sur quinze est prostituée.
« La fille doit appeler ses proches pour rompre avec eux, parachevant elle-même son isolement.
En cas de révolte, elle est punie en présence de toutes les autres, pour l’exemple. »
En s’adressant à la police, elle risque d’être tuée, ainsi que sa famille
Sofia, nuit noire.
Une équipe de bénévoles est partie en maraude apporter un secours relatif aux prostituées: préservatifs, lingettes, café et quelques minutes de réconfort entre deux passes.
« Daniela, véritable zombie sous un maquillage qui n’embellit rien, raconte qu’elle a été punie la semaine dernière par son proxénète pour désobéissance :
« Pour ne pas m’abîmer, il m’a frappé la plante des pieds à coups de barre de fer jusqu’à ce que je m’évanouisse. »
Katya, une blonde cocaïnomane, se vend pour environ 10 euros la passe. Elle peut "rapporter" de 150 à 200 euros par jour.
En Europe, la moyenne quotidienne d’une prostituée slave est de 800 à 1 000 euros.
Avec cet argent, les nouveaux riches bulgares, adeptes du crâne rasé, des bijoux clinquants et de la musculation, s’achètent des demeures fortifiées dans les montagnes du Rhodope, en zone musulmane, ou dans de richissimes villages roms en Roumanie.
Les flambeurs vont sur les bords de la mer Noire. Ceux qui veulent porter beau ornent leur costume Armani d’une cravate en mailles d’or massif.
L’argent de la prostitution leur a permis d’enlaidir les étendues sauvages de la côte du Soleil. En octobre 2008, les hauts murs d’une propriété privée appartenant à ces proxénètes ont abrité une bataille rangée lors d’une enquête de la PJ de Varna. L’opération a permis de démanteler un réseau de 80 personnes qui contrôlait la drogue et la prostitution sur la côte.
À sa tête: deux élus municipaux, dont un militant "des libertés et des droits de l’homme"!
C’est également à Varna, fréquentée par les "Occidentaux", que les filles destinées à l’Union européenne finissent leur "dressage". Grâce à leurs contacts diplomatiques, les trafiquants circulent librement dans l’espace Schengen, pour leurs activités "d’import-export" :
« Les Russes, les Ukrainiennes et les Serbes sont exploitées en Bulgarie, puis envoyées dans l’Union, à cause de la porosité de la frontière du plus mauvais élève des 27, explique Tihomir Bezlov.
On trouve entre 18000 et 21 000 prostituées dites "bulgares" sur les trottoirs européens, dont approximativement 3500 en France. »
Les filles sont alors placées sous le contrôle des hommes du clan et à des prostituées montées en grade.
Celles qui partent dans les grandes villes étrangères ne connaissent que la traduction et le tarif de leurs prestations.
Dès qu’elles se débrouillent, elles tournent en province ou changent de pays, de préférence là où la législation est plus facile à contourner, comme en Allemagne.
En France, la loi du 18 mars 2003 pour la sécurité intérieure permet aux prostituées de dénoncer leur proxénète afin d’obtenir une protection relative et un titre de séjour. La peur est toujours là, mais la majorité des prostituées ayant demandé de l’aide à la police en 2008 sont des Bulgares.
En décembre 2009, la Ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot- Marie, a mis en place un groupe de travail pour renforcer la prise en charge des victimes après l’arrestation de dix proxénètes bulgares et roumains exploitant cinquante filles en Normandie
Si l’adhésion à l’Union a facilité le trafic d’êtres humains, les chefs de réseau ne sont plus à l’abri derrière leurs frontières.
Le nouveau mandat d’arrêt européen, qui remplace les traités d’extradition pour les États membres, renforce la coopération des services de police et de justice.
En juillet 2008, la police a ainsi démantelé un réseau à Marseille. Le « parrain » dirigeait le réseau depuis sa cellule de la prison de… Sofia! Il a été transféré en France.
Un Bulgare sévissant dans le Var, condamné par défaut en décembre 2007 à cinq ans de prison et sous le coup d’un mandat d’arrêt européen, a aussi été coincé en juillet 2009 puis extradé de Bulgarie.
En Suède, des écoutes téléphoniques ont prouvé que les proxénètes balkaniques, jugeant le risque pénal trop grand par rapport aux profits réalisés, se déplaçaient vers l’Allemagne et le Danemark.
Sur cet extrait de l’enquête réalisée par deux journalistes de Valeurs Actuelles : on ne parle pas du terrifiant problème posé par les « esclaves » qui squattent les trottoirs de nos villes dans toute la France.
Chaque matin une grosse cylindrée passe déposer aux points stratégiques de nos cités, par tous les temps, des femmes avec enfants parfois en très bas âge, qui viennent tendre la main….
Chaque soir le même véhicule ramasse ces êtres humains exploités, qui s’engouffrent à 8 voire 15 personnes, en sachant que le lendemain, on les changera de place.
Ces « esclaves » roumains, sont pour la plupart « chapeautés » par la Mafia Bulgare,
Voila où nous mène une Europe « passoire », une Europe sans frontières.
Quand on sait que la Bulgarie est le plus grand trafiquant d’hommes et de femmes du Monde occidental.
Quand on sait que la Mafia y règne en maître, que les politiques, et les policiers sont corrompus jusqu’à la moelle.
Nous dirons que : Bulgare proxénète, rapporte plus que plombier Polonais
A quelques jours de la célébration de la journée Internationale de la FEMME est-il encore normal de voir des « marchands de chair fraiche » envahir nos villes et nos campagnes ?
Enquête réalisée par Pierre-Alexandre Bouclay et Tatiana Zyma dans le V.A. n° 3822
Pour en savoir plus sur l’imposture de cette Europe des 27, lisez ou relisez l’article de Dominique Dutilloy : http://www.come4news.com/
Vidéo : La prostitution au Bois de Boulogne
{youtube}Mui_mqM1iYA{/youtube}
Pour les lapins,
dans le sujet de cet article? Mais je crois que vous l’avez vue venir….
[img]http://blabladezinc.20minutes-blogs.fr/media/01/01/13e1e8e90ef32a43e31ad46f21c51d16.jpg[/img]
GBGB
[img]http://lh5.ggpht.com/_w88RRpa3IBU/S3j9VtdeogI/AAAAAAAAAYg/c3cupNUKqtM/chat2c4n.png[/img]
Celle-ci je vais la placer pour Sophy.
[img]http://www.futura-sciences.com/typo3temp/pics/dcd2ccfef3.jpg[/img]
GBGB
[img]http://lh5.ggpht.com/_w88RRpa3IBU/S3j9VtdeogI/AAAAAAAAAYg/c3cupNUKqtM/chat2c4n.png[/img]
[b]TROP drôle, LUDO, et Mes LAPINS,
J’adore votre dialogue par images interposées
Au moins je peux sourire, car je suis bien empêtrée sous un autre article, enfin, j’en prend l’habitude…..
Bisous, à tous les trois (lol)[/b]
[b]MERCI, LUDO, nos pensées se sont croisées…[/b]
Une petite dernière Sophy en hommage à toutes ces filles qui sont jetées sur le trottoir par des salauds.
[img]http://bp1.blogger.com/_sJgrh3qZWQs/RfHCuAqCtUI/AAAAAAAAAJ0/dTmqRmVh4P0/s400/journee-de-la-femme.jpg[/img]
GBGB
Ludo
[b]Quel bel exemple pour la Journée de la Femme…
Très drôle, le grillage du char…bian du harem, (je ne sais plus comment s’appelle cette fenêtre dans les harems) et le grillage de la burqa,
pour vu que les trous soient situés au bon endroit, sinon la dame elle risque de n’y voir que du noir….[/b]
La burqa 16/9° me fait rire 😀
La vidéo est terrible, mais il s’agit de quoi: un court métrage, un clip, des images de reportages ? Peut-on en savoir d’avantage ?
[b]C’est un court métrage, le générique de fin le précise.
Mais il est écrit dans le synopsis, que que le film retrace l’histoire Vraie, de Nina, qui a eu la chance de sortir de ce cercle INFERNAL (au vrai sens du terme), [/b]