Quand l’enfant devient la victime de ses parents

Un enfant, c’est l’avenir de l’humanité. Lorsque l’on décide de faire un enfant, on doit accomplir notre mission et notre devoir de parents, et ce, contre vents et marées. AssureR l’avenir de son enfant, c’est lui garantir un futur radieux, sans ombre.

Un enfant, c’est le plus beau cadeau du monde. Il n’a pas de prix. Lorsque l’on a la chance de devenir parent, il faut être aimant, attentionné, à l’écoute de sa progéniture. Il faut l’aider à tout moment, dans les moments les plus difficiles surtout. Il vous considère du haut de son petit âge comme un modèle de vertus et souhaiterait sans doute vous ressembler dans le futur. Ne le décevez pas ! Ne brisez pas ses rêves, ni son innocence. Préservez-le du mal. Lorsque je vois des parents, si on peut les qualifier comme tels, en train de s’adonner quotidiennement à l’alcool, ça prouve à quel point l’individu est dominé quelque part par des forces purement maléfiques. Plus aucune lucidité, on devient violent, méchant et sans cœur envers son enfant.

Quand je vois des parents qui pensent davantage à  leur relation amoureuse qu’au bien-être de leur enfant, je tombe de haut. À quelle planète ceux-là peuvent bien appartenir ? Par les temps qui courent, il est essentiel d’être sérieux. Une relation d’un soir ou une relation tout court, quelque soit la durée, ne doit pas prédominer sur l’amour que l’on porte à son enfant. Il doit être notre raison d’être et ne pas subir nos travers et nos dérives.  Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe des parents hyper jaloux de leur propre enfant, de son succès, de sa réussite ou simplement de sa personne. J’en conviens qu’il faut être vraiment narcissique, avoir un cœur noir comme l’ébène et appartenir à la plus méprisable des espèces. 
Que peut-être la pire des crimes en ce monde ? Bafouer le droit des enfants, ne leur laisser aucune chance, toucher à leur dignité, les blesser dans leur intimité, je trouve cela monstrueux. Je parle bien sûr de pédophilie incestueuse. Le parent qui ose basculer dans cette folie, car c’en est une, est méprisable, monstrueux…. Je reste sans qualificatifs et sans voix face à cette dérive impardonnable, qui mériterait le pire des châtiments : l’enfer. Il existe des parents qui sous-alimentent leur enfant, lui font subir des violences au quotidien, qui le martyrisent constamment. C’est lamentable !

Je veux juste dire par là que lorsqu’un enfant innocent devient la victime de ses parents, c’est vraiment grave.  Heureusement qu’il existe des parents en or sur cette terre !

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5 réflexions sur « Quand l’enfant devient la victime de ses parents »

  1. Ce que vous dites me parait du simple bon sens.
    C’est pourquoi je suis pour la contraception et l’avortement officiellement autorisé. Il est inadmissible de mettre au monde un enfant non désiré, et nous savons que le plaisir peut pousser un soir à commettre cette erreur, que l’on est pas toujours maître de soi, alors l’enfant devient un fardeau inadmissible, quelque chose qui risque de vous gâcher la vie parce que l’on est pas préparé financièrement et mentalement à le recevoir.
    Un enfant doit être désiré, mais pas comme un jouet, pas comme un chien ou un chat, un enfant c’est un être humain, un descendant, une partie de soi que l’on lance dans le Monde, c’est la chose la plus précieuse que l’on puisse créer avec les moyens qui nous sont donnés pour le faire.
    Mais le plaisir existe, il est précieux, lui aussi, un homme et une femme qui se plaisent, qui s’aiment ont la faculté de créer un enfant, ils ont aussi le besoin de se rapprocher physiquement, mais ils doivent penser aux conséquences de qu’ils font.
    Un accident est toujours possible, il est dommage qu’un enfant soit la conséquence d’un accident, si vraiment on ne désire pas d’enfant il faut être vigilant.

  2. Les contraceptif ont existé depuis la haute antiquité, je pense, j’imagine, que c’est la vue d’un boudin qui a donné aux hommes l’idée d’utiliser des intestins d’animaux pour créer des préservatifs.

  3. Je viens justement d’écrire un article sur la question de savoir si l’enfant « appartient » au parent, débat que j’ai abordé sous un angle original, cf. ici http://bit.ly/ayerfS . Bonne continuation.

  4. GREG.

    J’ai suivi votre lien, j’ai écouté Colette, je croyais pouvoir lire votre article mais il n’était pas là, je ne puis donc en parler.
    [b]Je suis entièrement d’accord avec ce que vous écrivez ci-dessus.[/b]
    Un enfant n’est pas un jouet donné pour nous distraire; la nature nous confie un enfant pour en faire un homme ou une femme. Pendant de longues années nous allons être obligé de sacrifier un peu de notre liberté, nous aurons des joies mais aussi de soucis, nous verrons s’affirmer des caractères souvent très différents des nôtres.
    Un enfant c’est sans doute la continuation de nous mêmes et de nos ancêtres par les gênes que nous transmettons et il serait logique que nous respections cet héritage.
    J’aime à penser, quand j’observe mes enfants et mes petits enfants, que des traits, des attitudes, des manières d’être sont des traces d’un lointain ancêtre à jamais disparu.
    Ce sont des illusions, peut être, mais elles me plaisent..
    Ceci me conduit à dire qu’adopter un enfant, c’est prendre une énorme responsabilité. On prend dans l’esprit d’un enfant la place des parents naturels, on prend leur affection et on bénéficie de l’amour qu’ils auraient pu recevoir, mais que de devoirs nous avons envers lui. J’ai constaté que souvent les parents adoptifs sont plus attentifs, plus responsables, ont plus d’attachement à l’enfant adopté que des parents naturels parce que, sans doute, il s’agit d’un choix murement réfléchi et qu’en fait l’adoption demande des d’efforts, des démarches, de la volonté.
    Je me pose beaucoup de questions sur l’homoparentalité, je ne réussis pas à avoir une opinion ferme sur ce problème, beaucoup d’arguments pour, beaucoup d’arguments contre surgissent à mon esprit sans que je puisse prendre parti.
    On me dit: Il faut un père et une mère à un enfant, personne ne peut remplacer une mère, personne ne peut remplacer un père et cela ne me semble pas faux.
    Mais l’on me dit aussi un enfant recueilli par un couple homoparental, recevra beaucoup d’amour au lieu d’être abandonné à de mauvais parents ou a la DASS.
    Des arguments simples mais convaincants.
    Il faut, bien sur, que l’adoption d’un enfant par un couple homoparental ne soit pas un désir de singer un couple habituel, ou bien un caprice, une fantaisie.

  5. J’étais une enfant prodige et surdouée en plusieurs matière. Malheureusement mes parent ont été jaloux envieux au point de me détester et de me faire subir leurs jalousie. Et aujourd’hui je suis toujours prodige et surdouée sa les enrage il croit pas en moi j’ai du me battre toute ma vie. Ils m’ont rien donner 0 éducation j’ai fait mon éducation moi-même, j’ai payer mes nombreuse études moi-même. Quand j’ai eu l’âge de pouvoir le faire. C’est affreux d’être un parent peu fière de son enfant tel les miens. Par pure jalousie, sa fait très mal et sa traumatise aussi.

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