Le football , sport roi, est ébranlé depuis quelques mois par une crise qui n’a d’autre explication que le refus du gouvernement brésilien d’accepter la vente d’alcool dans les stades pour la coupe du monde 2014 organisé au Brésil.

L’organisation d’une coupe du monde dans l’univers du sport demande beaucoup d’argent et si la Fédération Internationale de Football et Associations (F.I.F.A) réussi ce défi immense qu’est l’organisation des différentes Coupe d’ Monde c’est grâce à la publicité. La publicité génère beaucoup d’argent certes mais la crise économique qui touche tous les continents s’est aussi invitée dans le monde sport.
Oui la crise économique touche de plein fouet l’industrie des équipementiers sportifs, ce qui fait que c’est l’industrie de l’alcool qui finance le monde du football. Et pour la coupe du monde de football de 2014 la Fédération Internationale de Football et Associations (F.I.F.A) veut, sous la pression de ses annonceurs de l’industrie de l’alcool, faire vendre l’alcool dans les stades lors des phases finales de la coupe du monde. mais le gouvernement brésilien socialiste soucieux de l’éducation des adolescents et des jeunes s’oppose fermement à cette décision de la Fédération Internationale de Football et Associations. Le football qui a toujours été facteur d’éducation et d’union tend à devenir un fond de commerce à la solde de l’industrie de la dépravation et ce pour satisfaire le plaisir de voir réussir un spectacle voulu grandiose au détriment de l’éducation des générations futures.

Comme on le voit, le temps est bien révolu où la morale était le souci de tous. Mais bien évidemment c’est la folie de la grandeur ajoutée à l’affairisme financier qui semblent gagner les consciences des élites sportives.

Que serait le football, sport de saine émulation sans humanisme même si elle brandit à tous la ferveur populaire et le fair-play, ce franc-jeu qui est la convivialité dans l’adversité sportive?