Un site américain appartenant à une ONG (http://healthyskepticism.org) se bat depuis quelques années pour révéler les manquements de l'administration américaine en matière d'homologation de nouveaux médicaments (drogues) basée sur des tests biaisés provenant des laboratoires eux même; pour révéler aussi la naiveté des médecins, cajolés à coups de séminaires, de cadeaux divers pour faire passer à leurs patients des médicaments aux effets secondaires pires parfois que le mal lui meme.
La firme ayant commercialisé le "Zyprexa" a déjà dépensé des millions de dollards pour empecher les patients américans de se plaindre et va devoir débourser encore plus lors du proces retentissant contre ce grand labo!
Les commerciaux en charge de vendre le produit aux médecins leur expliquent qu'il vaut mieux voir leur patient stabilisé (à prouver) et gros que en crise d'angoisse et dépressif et mince; s'il est avéré que le zyprexa fait grossir, les résultats sur son efficacité à réduire anxiété et symptomes dépressifs est à vérifier!
Dernierement, un psychologue a révélé que ses patients souffraient plus des méfaits des antidépresseurs SSRI et autres psychotropes ; ceux ci pouvaient les rendre plus agités, plus suicidaires.
Force est de constater qu'on se suicide plus qu'avant l'apparition de toute cette batterie de cachets du bonheur!
Les médecins sont souvent impuissants devant un tel abattage marketing et doivent bien faire confiance à des données présentées de façon si scientifiques. et répondre en meme temps au mal etre des patients sans avoir l'air incompétent.
Le meilleur des Mondes est en marche!
Heureusement pour les patients, certaines ONG ont décidé de contester ces pouvoirs absolus que representent la FDA et le corps médical….. du moins, aux Etats Unis!!!
La FDA est de plus en plus exigeante….Rappelons qu’elle a rejetté la demande d’homologation du syprexa que vous mentionnez!!!!!Que 95% de potentiels nouveaux médicament n’arrivent pas à la phase de commercialisation….
Produit pharmaceutique ?
Bonsoir les produit pharmaceutique ont un prix de revient et de recherche de plus
en plus élevé et la France copie un peu trop les Américains qui ont beaucoup moins
de rigueur que nous et il arrive de plus en plus souvent que l’on ce base sur les
résultats clinique de produit qui ne serais pas accepté en France et en Europe!
et dans ce domaine mais pas que pour psychiatrie s’est le patient qui fait office de laboratoire d’essais
Dans le domaine pharmaceutique comme dans certain domaine automobile s’est le clients le laboratoire et si sa ne fonctionne pas ont rectifie le tir !!!! :'(
cher libertus-libertus-libertus
faux, la FDA a seulement rejeté l’usage en injection longue durée du Zyprexa;en ce qui concerne la pilule, les dernieres nouvelles de la FDA…..
About Oral Zyprexa
Zyprexa is indicated in the United States for the short- and long-term treatment of schizophrenia, acute mixed and manic episodes of bipolar disorder, and maintenance treatment of bipolar disorder. Since Zyprexa was introduced in 1996, it has been prescribed to approximately 24 million people worldwide. Zyprexa is not approved for patients under 18 years of age.
Zyprexa is not approved for the treatment of patients with dementia-related psychosis. Elderly patients with dementia-related psychosis treated with atypical antipsychotic drugs are at an increased risk of death compared with those patients taking a placebo.
les medecins sont naifs et impuissants.Ils apprécieront!
l’objectif des medecins,numero un il ne faut pas l’oublier c’est de soigner les malades. Il ne vont pas en séminaire pour se graisser la papatte.Mais pour discuter des nouvelles avancées….qui pourraient bénéficier à leur malade…..Non ils ne font partie du grand complot!
PS -Le texte en anglais ne contredit pas mon commentaire, au contraire
Lorsque un médicament est commercialisé, une cellule est constituée, elle est chargée de rassembler les plaintes (notamment concernant les effets secondaires induits,les problèmes de tolérances à long terme) ) C’est ce qu’on appelle la phase 4.Un médoc peut être arrêté pendant sa commercialisation .
De toutes les façons tous les 5 ans la demande du médicament doit etre renouvelée devant la Fda……..C’est donc un protocole très rigoureux.
Agnes puisque vous parlez de tests biaisés,que proposez vous comme méthodologie afin d’éviter les erreurs statistiques?
deux poids, deux mesures
La fda autorise de moins en moins de nouvelles molécules, puisqu’elle est de plus exigeante .
Or la demande de medoc est forte.Le public se rabat sur le pharmacopée chinoise, sur les alicaments, sur la phytotherapie, et autre homéopathie qui ne doivent pas passer par d’aussi longs protocoles.
Je préfère un médicament agréé par l’emea, ou par la fda plutôt qu’un produit fourré à la mélamine….Pourquoi diable il n’y a pas d’ong chinoise qui s’intéresse à la question?
>:(
Société pharmaceutique = business
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Les sociétés pharmaceutiques se font de l’argent, c’est ça leur intéret, tout ça sous couvert de santé mental !!!!!
il faut que la population se réveille vite, et qu’elle arrete d’accepter ces mensonges !
renseigner vous, et évaluez vous meme !
Psychiatrie et médicaments : comment tromper son monde, mode d’emploi
Vous et moi, et le monde médical, sommes victimes d’une désinformation massive en matière de psychopharmacologie, sous-tendue par des intérêts financiers à court terme.
On se souvient du scandale du Vioxx produit par la firme Pfizer : il aura fallu un nombre considérable de morts par crise cardiaque avant que des études indépendantes démontrent que ce médicament constituait un facteur de risque à cet égard – alors que Pfizer s’était soigneusement abstenue de publier les études qui l’avaient pourtant montré avant même la commercialisation du médicament, un anti-inflammatoire banal. Une prise de conscience a eu lieu, partielle et tardive, et la pression est mise maintenant pour que les industries pharmaceutiques, qui financent ou cofinancent majoritairement leurs études en vue de la validation par des offices tels que la FDA, publient les résultats négatifs et ceux qui démontrent des risques pour la santé, au lieu de les cacher.
Voici une illustration des ficelles du métier de promoteur médicamenteux qui est, il me semble, davantage en rapport avec le sujet soulevé ici. Je la tire d’un journal spécialisé (A Meta-Analysis of the Risk of Acute Extrapyramidal Symptoms With Intramuscular Antipsychotics for the Treatment of Agitation. Theodore D. Satterthwaite et al., Journal of Clinical Psychiatry 2008;69:1869-1879, Physicians Postgraduate Press, 2008). Cet article est paru tout récemment, en décembre 2008.
Le Zyprexa que vous citez fait partie des « neuroleptiques atypiques », ou « de seconde génération » qui depuis une quinzaine d’années font l’objet d’une publicité effrénée à tous les niveaux, alors que leur coût est de 10-20 fois supérieur aux neuroleptiques dits « classiques ». Les auteurs de cet article ont effectué une revue très soigneuse de toutes les études publiées au cours des dernières décennies (ce qu’on appelle une méta-analyse), afin de déterminer si l’absence d’un certain type d’effets secondaires (syndrome extrapyramidal, dans tous les cas très gênant, et parfois dangereux) constituait vraiment un avantage par rapport aux thérapies antérieures.
Le Zyprexa (et quelques autres) a été comparé dans 3425 études à un médicament classique, l’halopéridol, pour le traitement urgent de personnes agitées, avec à chaque fois la même conclusion en faveur du Zyprexa, en ce qui concerne ce type d’effets secondaires : l’halopéridol en provoque dans 4.6% des cas, alors que les nouveaux médicaments ne le font que dans 0.6%, en moyenne. Les auteurs des études concluaient unanimement qu’il fallait impérativement choisir Zyprexa et consorts dans de tels cas, et non le vieil halopéridol (dix fois moins cher et surtout arrivé depuis longtemps en fin de brevet). Avec encore l’appoint des manœuvres publicitaires et pseudo-informatives des lobbies pharmaceutiques, le médecin prescripteur ne pouvait que s’incliner devant ces résultats impressionnants, et bien entendu, préférer les nouveaux médicaments aux anciens, d’autant plus que toutes sortes d’experts, dans la presse médicale, allaient dans le même sens.
Voici la ficelle utilisée dans ce cas : sur les 3425 études, une seule comparait le Zyprexa (et autres) à l’halopéridol accompagné de l’antidote habituel contre les effets secondaires extrapyramidaux, alors que celui-ci est très souvent prescrit dans la pratique. De surcroît, les doses d’halopéridol administrées dans le cadre des études étaient en moyenne plus fortes que celles de Zyprexa (et autres). Dans la seule étude (sur 3425!) où l’halopéridol était administré en même temps que l’antidote, on observait l’absence de l’effet secondaire en question… ce qui n’a en soi rien d’étonnant, vous en conviendrez !… CQFD.
Il ne s’agit que d’un exemple parmi des centaines. En ce qui concerne le Zyprexa, les effets secondaires les plus graves portent sur le diabète et des troubles métaboliques. Mais le même type de ficelles a été utilisé pour parvenir à faire valider toutes sortes d’autres médicaments, dans le monde entier. Ce n’est qu’avec le recul de dix ou vingt ans que de telles manœuvres peuvent être démontrées, au moment où le brevet est échu, les profits réalisés, et où le voleur n’a plus la main dans le sac.
Les antidépresseurs sont de la drogue
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