Pourquoi Sébastien Bazin a-t-il refusé l'offre alléchante de l'établissement bancaire HSBC ? Pourtant les chiffres parlent d'eux mêmes (..). Le groupe était prêt à racheter 49%  des parts du PSG, pour une somme de 50 millions d'euros, en prime une enveloppe de 100 millions d'euros pour le recrutement. José Mourinho avait donné son accord (..)

 

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Une offre qui se passe de commentaires. Le refus de Sébastien Bazin laisse planer un flou artistique complet sur la stratégie du club, et de son actionnaire principal. A ce titre, the Sunday Télegraph délivre une information, qui n'était que rumeur jusqu'à présent. Arséne Wenger, à la fin de son contrat avec les gunners d'Arsenal, rejoindrait le club de la capitale, avec dans ses bagages, David Dein, ancien vice-président du club londonien. Les mauvaises langues ne s'étonneront plus de l'intérêt que manifeste le PSG, envers d'anciens joueurs d'Arsenal, Robert Pirés, Sylvain Wiltord (..). Si l'information s'avère exacte, il faudrait attendre jusqu'en 2011, l'arrivée d'Arséne Wenger, nouveau messie de la capitale. Les trois saisons, qui séparent la réalité du rêve, risquent bien d'entrainer le club de la capitale, vers de nouvelles désillusions. Une dose d'incohérence, qui ne fait qu'amplifier l'arrivée surprise de Charles Villeneuve, dans le milieu du football (..). Comment va justifier Bazin, son refus de voir HSBC s'intégrer dans le club. Mourinho faisait bel et bien partie de l'offre alléchante de l'établissement bancaire. Les bruits de couloir annonçaient même, qu'à ce titre, l'entraineur lusitanien avait déjà commencé certaines transactions, avec Ricardo Carvalho, Deco et Samuel Eto'o (..). L'Inter de Milan pourrait bien se réjouir et profiter du travail de José Mourinho (..). Le club de la capitale n'attire plus. Au vu de la stratégie actuelle, du flou qui régne sur les réelles volontés de Bazin, le climat n'inspire guère confiance. Les rumeurs de transfert foisonnent, pour le moment on pourrait plutôt parler des joueurs désireux de quitter le navire parisien, que de renforts à la hauteur des "ambitions" affichées par Villeneuve. Makélélé, Thuram, Pirés, Wiltord, Coupet et maintenant  Sydney Govou ! Des noms qui défilent sur les téléscripteurs, mais qui sont bien loin d'apposer leurs griffes sur un quelconque contrat. Le rêve parisien devient un mirage, un miroir aux alouettes (..). J'attends les explications de Sébastien Bazin (..). A moins que soudainement, Colony Capital lâche une enveloppe à la hauteur de son refus, chose qui m'étonnerait. Je ne sais pas ou va terminer le club de la capitale, mais sans être devin, la saison s'annonce sous de mauvais auspices.