Cette question, on se l’est tous posé un jour ou l’autre, mais avez-vous trouvé la réponse ?
Il est tout à fait normal de vouloir accéder au bonheur, mais cela passe-t-il forcément par l’argent et la possession de biens matériels ?
S’il est vrai que ceux qui en ont vont s’empresser de déclarer que « l’argent ne fait pas le bonheur », auxquels d’autres ( qui en ont moins ou pas du tout) s’empressent de rétorquer que , s’il ne fait pas le bonheur il y contribue ! Et bla-bla-bla !!
Mais qu’en est-il dans la réalité, dans la vraie vie comme on dit maintenant. Car il y a la « fausse vie » peut-être ? Quelles sont les principales raisons qui nous poussent à vouloir des sous ? A part bien entendu le simple fait de vouloir manger à sa faim tous les jours, et nourrir la famille dont on a la charge. La puissance que peut procurer l’argent est un argument qui revient bien souvent, avoir les poches pleines nous permettrait de soulager la faim dans le monde, ou plus modestement d’empêcher le vieux monsieur du 3ième étage de notre immeuble de mourir de froid cet hiver parce que sa petite pension ne lui permet plus de payer sa facture d’électricité. Mais combien d’argent nous remplira de bonheur ? A partir de quelle somme aurons-nous assez ? Ne risquons-nous pas de mettre le doigt dans l’engrenage, de ne plus pouvoir nous arrêter et d’entrer de plein pied dans la caste des puissants qui nous gouvernent qui eux ne se soucient plus de leur voisin mais se contentent d’engranger plus, encore plus, toujours plus. De nombreux sondages sur le sujet ont mis en avant que pour la plupart des femmes l’argent est un gage de sécurité, et de liberté pour les hommes. Notre héritage familial peut aussi jouer un rôle dans notre soif d’argent. Ou bien nous gardons un souvenir pénible des fins de mois difficiles que connaissaient nos parents lorsque nous étions enfant, ou au contraire, nos parents étant aisés mais économe, nous avons envie de pouvoir dépenser sans compter, juste pour le plaisir. L’important dans notre course aux euros est de se souvenir que l’argent n’est qu’un « moyen », que cela nous donne la possibilité de concrétiser nos projets, mais que posséder n’est pas un projet en soi. Il est aussi important que vouloir des sous n’est pas un but méprisable, ni honteux. Le tout est de garder les pieds sur terre, et de ne pas oublier de profiter des petits plaisirs gratuit que la vie nous offre.