Pourquoi écrire des articles ?

L’écriture n’est pas un exercice facile et demande une réflexion, un enchaînement logique des idées et surtout le choix d’un sujet original et intéressant à traiter. Alors pourquoi écrire et se tordre l’esprit ? Est-ce un effet pervers ou sadomasochiste ? Je ne pense pas… Plusieurs raisons nous incitent à cet exercice : se faire plaisir, communiquer ses idées, se valoriser…

 

Partager ses opinions

L’intérêt de publier un article est qu’il soit lu, voire critiqué par les lecteurs, d’où la rubrique "commentaires". Grâce à des supports tels que C4N, l’article est diffusé largement et ouvert à un vaste public. A moins d’écrire rien que pour soi son journal intime qui ne sera jamais lu, un auteur aime partager ses idées, intéresser ses lecteurs et découvrir sa personnalité par le biais de l’écriture. 

Se faire plaisir

L’objectif premier est de se faire plaisir, car il est rare d’exercer cet art sous la contrainte ou uniquement par obligation "alimentaire". En effet, les rédacteurs professionnels, qui en font leur métier, sont assez peu nombreux. Il est très difficile de gagner sa vie par le biais de l’écriture.

Un exercice mental et "psychothérapeutique"

Le fait d’écrire nous oblige à coordonner nos idées, à rechercher des effets de styles, à utiliser le mot juste approprié. Cela nous oblige à faire des recherches, à faire travailler notre imagination et à entrainer notre mémoire. Plus on écrit plus on a la plume facile ! 

L’écriture nous permet également d’exorciser nos peurs, nos angoisses du quotidien et de canaliser notre énergie de façon positive. Une bonne façon de chasser le stress et les pensées négatives. Ecrire est souvent recommandé par les psychologues pour traiter certaines pathologies ou cadrer certaines idées. 

L’écriture est une bonne façon de communiquer avec les autres et d’apprendre à se connaître. Elle peut être considérée comme un geste égoïste par certaines personnes. Mais peu importe ! Ne vous privez pas de rédiger des articles et de lire ceux des autres auteurs en laissant un petit commentaire ! Cela fait toujours plaisir ! Et cela ne demande pas un gros effort !

19 réflexions sur « Pourquoi écrire des articles ? »

  1. [b]bonjour Pat,

    Je n’ai jamais été aussi « heureuse » que depuis que j’écris sur C4N (Novembre 2007)
    Septembre 2007 : retraite je ne parle plus à mes élèves, je n’ai plus à les former, à les écouter, je me demande ce que je vais faire pour assouvir mes « bavardages ».
    J’ai été prise en main par un fils et une belle fille, qui m’ont trouvé cet endroit où chaque semaine , parfois plus, j’évacue mes « HUMEURS », sur un sujet d’actualité ou un thème qui m’est cher.
    L’écriture, en sachant que l’on va être lue, commentée, et que l’on va pouvoir continuer la conversation avec nos commentateurs à travers les commentaires, est pour moi un exutoire, et je sais pertinemment qu’elle est aussi une thérapeutique contre l’ennui, ou l’éternelle question :
    Que vais je faire à la retraite ?

    A savoir aussi, qu’en 2007 je n’avais jamais touché à un ordinateur de ma vie, et me demandait encore à quoi servait ce signe @ que je découvrais.
    Tout est allé très vite après les leçons d’informatique (toujours mes deux enseignants (eux aussi)

    Mais combien de fois, et encore toutes les semaines, je me dis : Allez j’arrête, je m’envole vers d’autres occupations.
    Mes amis sur C4N le savent très bien.
    Il ne se passe pas une semaine sans que je dise.
    JE N’ÉCRIS PLUS !

    Et il suffit d’un flash sur une information qui me fait réagir, et hop c’est reparti.

    A TOI Pat de nous dire pourquoi et comment tu as trouvé C4N pour épancher tes humeurs du jour.

    Merci pour cet espace où j’ai pu m’épancher (une fois de plus);

    La persévérance est une qualité, alors continue toi aussi !!!

    SOPHY-C4N[/b]

  2. Bonjour Sophy et merci pour ton commentaire 🙂

    Je sais dès que j’ai une idée dans la tête il faut que je la développe, que je l’écrive, c’est une manière également d’apprendre des choses et d’y voir plus clair ! CAN me permet de m’exprimer et je le considère comme un espace de liberté. J’écris par ailleurs des articles pour des sociétés sur des sujets très précis et techniques, et cela me défoule d’écrire sur C4N et de pouvoir échanger un peu avec les autres auteurs. Et puis j’apprends beaucoup de choses et notamment des infos d’actualité de cette façon, de façon plus ludique, que je n’irais pas consulter dans un journal forcément.
    Voilà, donc je continuerai à fréquenter C4 si on veut bien de moi…

    Amicalement
    Patricia
    🙂 🙂 🙂 🙂 🙂

  3. [b]Le site a besoin de tous ses contributeurs quand ils écrivent avec leur coeur, , donc Patricia, tu as ta place ici toi aussi.
    A nouveau je re précise que je parle au nom du site, mais que je ne suis que rédactrice sur C4N,
    Mais comme je n’écris nulle part ailleurs, je considère C4N comme « ma maison ».

    J’ai juste un rôle d’administratrice sur C4N le Média Citoyen sur Facebook, cette page qui annonce les articles que vous écrivez tous, mais aucun pouvoir de modération.
    Le site s’est doté pour cela d’une équipe très sérieuse et performante.

    @mitiés
    SOPHY [/b]

  4. [b]Pat,

    pourquoi écrire? Je dirais avant tout pour se faire plaisir, et partager ses idées et ses écrits avec autrui. Un don de soi et de l’information au plus grand nombre. Un auteur pour moi est quelqu’un de généreux quoi que l’on en dise, et partager ses écrits de manière publique, résulte de cette volonté d’être généreux envers les autres. J’adore.

    Ecrire est par ailleurs un très bon exercice pour braver une timidité maladive, ou pour faire passer sans crainte et en toute anonymat (pseudo), ses envies, ses coups de coeur, ses passions, ses idées, etc. La communication est importante pour l’Homme et pour l’espèce Humaine, car sans communication, l’isolement est présent et destructeur..Mais pour pouvoir communiquer et échanger, il faut une base, et cette base, c’est l’auteur qui la donne en toute générosité gratuite..

    merci pour ce beau rappel

    Amicalement

    Tom[/b]

  5. [b]je vois que tout le monde prend très a coeur sa participation sur C4N et sa passion pour l’écriture je suis d’accord avec vous tous.
    c’est bien vrai que l’écriture a toutes ces vertus mais j’aimerais néanmoins en souligner une de plus. je sais qu’en générale on dit que pour évoluer en une langue, quelle que’elle soit, l’idéale c’est la lecture. et c’est vrai au début mais passer un certain point ça ne suffit plus pour évoluer et apprendre a structurer ses idées pour un disserte ou un débats même oral, l’écriture est idéale. en plus sur C4N vous écrivez vous avez au départ un premier lecteur qui juge votre travail et si il le juge bon ( donc déjà en étant publier vous avez que c’est pas mauvais)mais en suite il soumis a tous et vous pouvez avoir l’avis de tout le monde et oui pour les timide si leur travail est apprécier ça peut leur donner confiance et dans le cas contraire ça leur apprend a affronter l’échec.
    mais c’est dommage les jeunes que ça intéresse de nos jours sont des exceptions (ce qui fait de moi une personne exceptionnelle :p )hum hum … comme Gad l’as dit ils font des fautes d’orthographe même quand ils parlent (mais je crois que les site comme C4N peuvent reverser la donne entre nous soit dit) [/b]

  6. dieu… je me laisse toujours emporter quand j’écrit j’ai oublié quelque mots donc je reprend … ;D
    [b]je vois que tout le monde prend très a coeur sa participation sur C4N et sa passion pour l’écriture je suis d’accord avec vous tous.
    c’est bien vrai que l’écriture a toutes ces vertus mais j’aimerais néanmoins en souligner une de plus. je sais qu’en générale on dit que pour évoluer en une langue, quelle que’elle soit, l’idéale c’est la lecture. et c’est vrai au début mais passer un certain point ça ne suffit plus pour évoluer et apprendre a structurer ses idées pour [i]une[/i] disserte ou un débats même oral, l’écriture est idéale. en plus sur C4N quand vous écrivez vous avez au départ un premier lecteur qui juge votre travail et si il le juge bon ( donc déjà en étant publier vous avez que c’est pas mauvais)[i]il est publié[/i]. mais par la suite il [i]est[/i] soumis a tous et vous pouvez avoir l’avis de tout le monde et oui pour les timides si leur travail est apprécier ça peut leur donner confiance et dans le cas contraire ça leur apprend a affronter l’échec.
    mais c’est dommage les jeunes que ça intéresse de nos jours sont des exceptions (ce qui fait de moi une personne exceptionnelle :p )hum hum … comme Gad l’as dit ils font des fautes d’orthographe même quand ils parlent (mais je crois que les site comme C4N peuvent reverser la donne entre nous soit dit)[/b]

  7. [b]Bonjour Pat,

    Pourquoi écrire?
    Déjà il faut avoir quelque chose à dire. Cela peut paraître évident, mais combien de fois on se retrouve devant des textes dont le sujet n’est ni intéressant, ni impliquant, ni clair, ni,ni,ni…
    Tout ça parce que le mot partage n’est pas entré dans le concept de l’écriture de cet individu.

    Et on s’aperçoit que dès qu’il y a partage, il y a échanges.
    L’écriture est une forme non seulement d’expression mais également de communication.

    C’est seulement ensuite qu’on peut dire qu’on écrit aussi pour faire plaisir et se faire plaisir.

    Vivement la retraite! car pour moi, çà prend énormément de temps!

    Amitiés
    Ludo[/b]

  8. L’écriture est vital;elle est la respiration la plus longue…Ecrire pour se connaitre,pour ce re-connaitre,écrire pour briser le silence,pour combler la solitude,pour créer des liens,écrire pour dénouer ses angoisses,pour que le verbe et les idées prennent forme,écrire pour combler le manque,le vide etc…

  9. En ces temps où l’épreuve philo est en pleine effervescence, remettons à l’honneur l’écriture…

    C’est vrai qu’avec l’outil internet, je ne prends plus ma belle plume pour écrire, dommage car j’aimais ce contact avec le papier. Internet une évolution et une révolution dans le monde de l’écriture, plus rapide et plus largement diffusée…

  10. [b]Pat,
    tu n’as pas connu cette écriture avec la plume « Sergeant Major » que l’on trempait dans l’encre violette à l’école.
    On nous apprenait à faire les pleins et les déliés…tout un art, comme la calligraphie chinoise. L’écriture était tout en rondeur. Il y en avait qui était de véritables artistes.

    Ma maman la première et malgré son grand âge, elle écrit toujours aussi bien. C’était la seule autorisée à écrire sur les registres d’états civil pour coucher à la plume et à l’encre de chine les actes de mariages, de naissances et de décès. Fallait pas se tromper, pas le droit à l’erreur car avec cette encre, pas possible de se rattraper. [/b]

  11. La calligraphie revient à la mode… nostalgie du temps passé ! Quand au fond d’un grenier on découvre des vieilles lettres écrites à l’encre avec des pleins et des déliés, cela me fait vraiment rêver… Les gens avaient, ou tout au moins prenaient, le temps d’écrire et de s’appliquer. Et en relisant ces lettres, c’est étonnant, car on y voit aucune faute d’orthographe…

  12. [b]C’est vrai Pat,
    Une époque sans téléphone, sans voiture ou presque, sans ordinateur etc…seul moyen de communication la lettre.
    L’orthographe, c’était une matière très importante à l’école. On mettait un point d’honneur à écrire sans une faute.
    Puis effectivement, il y avait ce temps consacré à l’écriture? Le soir pas de télé, alors on lisait ou on en profitait pour écrire.
    Jeune j’allais en colo. Là aussi nous devions écrire au moins 1 fois par semaine à nos parents. Bien souvent c’était 2 lettres plus les cartes qu’on envoyait à la famille. Et attention, il ne fallait pas écrire les mêmes choses!
    A l’école, lorsque nous remettions des devoirs écrits à la plume, les notes tenaient compte de la présentation et de l’application avec laquelle nous avions écrit. On nous disait toujours que c’était respecter la personne qui allait lire nos écrits. Et c’est vrai!
    Comme quoi l’écriture pouvait aussi amener à une leçon de morale!
    Qu’en est-il aujourd’hui?[/b]

  13. De l’écrit! une seule résonance: le partage de soi, de son intention, donc de ce qui nous englobe, et, au sein de ce qui nous englobe, de cet infime saisissement capable d’appréhender que nous ne sommes rien d’autre que ce qui nous englobe. Nos épanchements respectifs ne sont que bruit de fond insignifiant dans la résonance globale qui nous habite. De l’impermanence de toute chose à la vacuité de toute ainsité, notre élan vital apprend tous les jours, en conscience, à vivre son silence équanime, son humaine empathie et sa compassion envers tout ce qui respire par l’esprit, plus que celui du coeur, celui de ses chairs.

    l’écrit me dites-vous: transmettre sa pensée, communiquer, informer…
    Transmettre, me dites-vous, mais transmettre pour se démettre de son égocentrisme affiché afin de s’offrir nu, ou transmettre pour émettre ses ostentations englobantes: moralité , esthétisme du paraître, sous avatar citoyen reporter , contri_buteur sur son déni en soi et s’ouvrant à la différence par juste une attente, son attente: l’attente d’une gratification abusive, puisque virtuelle.

    De la diversité des pensées, et de son expression, seule l’oralité, exprimant son travail communicationnel, alliant échange et rapport à l’autre direct et charnel, nous ramène à la justesse du palpable, non plus médiatement mais directement. Insondable rapport de soi à l’autre dans le sens de ce qui se vit et nous déplace de la transfiguration de nous-même par d’abord l’écoute, notre écoute de l’autre, cet autre qui n’est rien d’autre que nous-même: ainsité en vibration avec ce qui l’englobe, non un [i]moi[/i] tutélaire en opposition à ce qu’il différencie, rejette ou vilipende, mais l’englobe à son insu.

    s’en doute un peu obscur cette résonance par scripturale et virtuelle retranscription médiate, mais qui dit résonance dit vibration… que l’éphémère se propage , comme l’oscillation produite sur les eaux de la vie à chacun de nos mouvements.

    le poulpe en superficielle profondeur

    sourire

  14. Plus on écrit plus on a la plume facile : plus on coud plus cela devient facile , plus on cuisine plus c’est bon, plus on lit de commentaires plus l’on ne sait plus quoi mettre. Plus on forge plus vite on devient forgeron ……. coucou ma Sophy que je connais depuis 2007 ensemble nous avons fait nos premiers pas sur C4N mais moi je n’ai pas eu la même patience
    qu’ELLE.

  15. [b]ma chère Eleina, nous avons parfois vécu l’Enfer sur C4N, n’est ce pas ?
    Rien à voir avec les petites querelles de celles et ceux qui se disputaillent sur le site, mais de vraies batailles rangées qui eurent parfois des effets spectaculaires, et très désagréables.
    Enfin c’est du passé, et les nouveaux rédacteurs qui se chamaillent n’ont plus rien à voir avec ce que nous avons du affronter.
    Vous avez toujours été présente à mes côtés, et nous nous sommes liés d’amitié au point de nous rencontrer, et de déjeuner ensemble.
    Cette amitié virtuelle s’est concrétisée, mais à l’origine de notre rencontre nous savons toutes les deux que le dénominateur commun est C4N, le site où j’écrivais, et où vous commentiez.
    Je vous embrasse chère Eleina.
    Alors la couture, çà ne remplace pas un bon article à lire, mais çà permet de faire passer le temps tout en étant productive

    GB GB

    SOPHY [/b]

  16. [quote]…
    Pat,
    tu n’as pas connu cette écriture avec la plume « Sergeant Major » que l’on trempait dans l’encre violette à l’école.
    On nous apprenait à faire les pleins et les déliés…tout un art, comme la calligraphie chinoise. L’écriture était tout en rondeur. Il y en avait qui était de véritables artistes. [/quote]

    J’ai connu, Ludo, et c’était pour la moitié (au moins) des élèves un VERITABLE cauchemar !!!
    Par pitié, ne revenons pas en arrière.
    Et puis, pour avoir fréquenté d’innombrables écoles de la région parisienne (mais pourquoi en serait-il autrement en Province!)les leçons d’écriture débutent en grande section de maternelle et se poursuivent jusqu’au CE2, minimum.
    Alors, plus de plumes Sergent Major (donc plus d’affreux pâtés, de pages déchirées, de doigts violets et de tables à récurer le samedi) certes mais arrêtez de croire les reportages bidons des JT et TF1/M6: les enfants APPRENNENT TOUJOURS A ECRIRE!!!!!

  17. [quote]Puis effectivement, il y avait ce temps consacré à l’écriture? Le soir pas de télé, alors on lisait ou on en profitait pour écrire. [/quote]
    L’un n’empêche pas l’autre. On n’est pas obligé de mettre une télé dans la chambre des enfants que je sache! Ni de l’allumer 24h/24!
    Tous les films que j’ai vus au cinéclub (en cachette!) ou ailleurs, tous les livres que je lisais à la lampe de poche la nuit…TOUT CELA PARTICIPE DE LA CULTURE et nous aide à devenir HUMAIN et OUVERT!

  18. [b]Siempre,

    Bien sûr il n’est pas question de revenir en arrière et regarder la télé n’empêche pas l’écriture.

    Mais je m’attachais à exprimer un sentiment par rapport à l’écriture, la belle écriture comme on nous l’apprenait et ce qu’elle représente même aujourd’hui.
    C’est la raison pour laquelle j’évoque l’art de l’écriture comme celle de la calligraphie et je persiste à dire qu’elle est source de respect de l’Homme pour l’Homme puis de discipline et de maîtrise de soi, comme toute pratique d’un art. Il ne faut pas oublié qu’à l’origine l’écriture était représentée par des dessins comme on peut le voir avec les écritures asiatiques et celles de l’Égypte ancienne avec les hiéroglyphes. [/b]

    [img]http://www.archive-host2.com/membres/images/1336321151/balades/stjean/2006/cal_ronde_page.jpg[/img]

    [b]
    Il est donc normal qu’elle ait pu être ressentie par certains ou certaines comme « un véritable cauchemar », et je dois avouer que dans les écoles que j’ai fréquentées, je n’ai pas ressenti ce malaise que vous évoquez, même si à chaque pâté on s’en prenait une. En revanche, je me souviens de la satisfaction lorsqu’on avait bien fait et du bon point qui allait avec. La sanction à l’époque avait son vrai sens contrairement à maintenant où elle ne représente plus qu’un signal négatif et plus positif. (déclin des mentalités?)

    Quant aux technologies modernes (dont la télé), même si elles n’empêchent pas d’écrire, elles représentent un réel frein à l’écriture.
    C’est simplement un fait que l’on constate aujourd’hui, on écrit autrement, SMS, blogs etc… il n’y a plus les formes que l’on mettait avant, mais comme vous le soulignez justement, il faut vivre avec son temps. Si bien que la belle écriture est à ranger au rayon de l’art, reste à savoir si nous avons une âme d’artiste?[/b]

  19. the last but not the least Sophy
    pour accompagner mon commentaire et poursuivre ici ce qui ressemble (sourire) à un PREMIER échange depuis maintenant… trois mois!

    Et pour faire court et plus explicatif à:
    [quote]l’écrit me dites-vous: transmettre sa pensée, communiquer, informer…
    Transmettre, me dites-vous, mais transmettre pour se démettre de son égocentrisme affiché afin de s’offrir nu, ou transmettre pour émettre ses ostentations englobantes: moralité , esthétisme du paraître, sous avatar citoyen reporter , contri_buteur sur son déni en soi et s’ouvrant à la différence par juste une attente, son attente: l’attente d’une gratification abusive, puisque virtuelle. [/quote]

    A vous d’observer l’équivalence qui devient ambivalence de ce «JE» : [i]moi[/i] tutélaire!
    Dans la balance de la première option: les absents, les silencieux, depuis bien trop longtemps, ceux qui ont renoncé et sont allé(e)s voir ailleurs (d’aucuns que je citerai plus tard les identifieront) face à l’implacable rouleau compresseur des thuriféraires d’une bien pensance bien singulière, et ô combien plurielle: ceux de la deuxième option: permettez-moi d’afficher mon expression, et rappeler à leur probe sens_sur: les Michel, Soph(t)y, goldenfish, Marie, etc. maniant leur sens_sûrs à grand coup de ciseaux, les comités de soutien: ludo, raisinfraise, mots’art in (ought), au vu d’une promiscuité communautaire de reconnaissance et tout d’un même esprit, vilipendant sous exclusive: condamner, rejeter plus qu’écouter et/ou juste passer son chemin : compassionnelle action de toute déshérence faisant vivre notre engagement du respect de l’autre et vivre en ses chairs l’exactions, l’indicible, conduisant l’humaine condition dans les dérives de toute son ignorance, ignorance de ce que j’appelle humanité et/ou fraternité, ignorance d’eux-même, non dans la singularité de leur émotion retranscrite en dénonciation. mais dans celle baignant dans la pluralité de notre condition, s’enrichissant de ce que nous sommes aussi, afin de sortir de toute ignorance et de la condamnation que nous exerçons sous son joug émotionnel.

    De l’amour propre souillé par l’esprit du coeur: subjectivation de toute conscience, et son pendant: de l’esprit de la chair: objectivant la réalité multiple de ses actes.

    Dessine-moi un mouton!
    – Qui me parlera encor de [i]vérité[/i] en ses sens_sûrs en lieu et place de réalité multiple.

    de l’effet_mer esquissant quelques embruns suggérant l’imminence, Ma.Très.Chair.Soph(t)y, de votre tsunami intérieur.

    ô plaisir

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