Philippe Pétain, Maréchal de France, suite 34,

l’armistice du 22 juin 1940.

Les adversaires du Maréchal l’ont accusé ainsi que le général Weygand d’avoir méconnu le caractère mondial qu’allait prendre le conflit. Le général de Gaulle reprocha à Pétain le principe même de l’armistice, qui livrait la France pieds et poings liés au Reich. Dans son Appel du 18 Juin, de Gaulle avertit les Français que «cette guerre ne se limite pas au territoire de notre pays, cette guerre est une guerre mondiale». Il pense, à juste titre, que les États-Unis vont rentrer en guerre et que les ressources cumulées des Empires Français et Britannique vont permettre d’écraser l’Allemagne.

Pour le général Hering, «Pétain et Weygand ont si peu méconnu l’un et l’autre le caractère mondial du conflit que c’est même une des raisons pour lesquelles, ils n’ont pas reculé devant la demande d’armistice, seule solution pour le général Hering, qui pût leur donner la possibilité de monter une armée prête à reprendre la lutte dans des conditions nouvelles».

Nous constaterons qu’il n’en fut rien, mais il nous faut raisonner dans le contexte de 1940, et que tous ont eu tord, de Gaulle qui pensait que les Alliés viendraient rapidement libérer la France et Pétain qui peut être avait baissé les bras trop facilement. Il a fallu attendre le 16 août 1944 pour que la France soit libérée

L’armistice n’était pas une capitulation comme le prétendait de Gaulle puisqu’il laissait non seulement à la France sa flotte mais également une armée. En outre, une partie de la France ne fût pas occupée. Une ligne de démarcation séparait la France en deux jusqu’au 11 novembre 1942. De plus, l’armistice permettait la prise en compte des prisonniers qui étaient l’une des préoccupations du maréchal Pétain.

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La France coupée en quatre, zone libre, zone occupée, zone annexée (Alsace-Moselle) et zone placée sous administration militaire Allemande de Bruxelles (Nord de la France), Wikipédia.

Cette zone libre permit, en outre, à une partie de la France occupée d’être une zone de ravitaillement, mon père passait souvent en zone libre pour nous ravitailler, mais c’était aussi un passage de liberté vers l’Espagne pour les Français qui étaient poursuivis par la gestapo, voulant ainsi rejoindre l’Afrique du Nord ou la Grande-Bretagne. En outre, comme l’écrit le général Hering quel eût été le sort de 40 millions de Français livrés à l’envahisseur sans cet armistice ?

Il écrit, de Gaulle qui n’a pas partagé les souffrances du peuple Français pendant l’occupation ne peut pas s’en rendre compte. Pour lui comme pour Wiston Churchill «les Français n’avaient qu’à se débrouiller dans le maquis», facile à dire pour 40 millions ! C’eût été du joli en face d’une armée victorieuse, alors que les Anglais ni les Américains ne se trouvaient en mesure de leur venir en aide.

Quitter le territoire au moment le plus crucial du peuple Français n’était pas une action glorieuse même si c’était pour continuer la lutte contre l’ennemi. Il fallait bien que d’autres se sacrifient pour permettre à ceux qui sont partis d’organiser la résistance.

L’Angleterre entrait directement dans le conflit attaquée sur son sol, elle avait à se défendre contre les attaques Allemandes tant par l’aviation pendant la bataille d’Angleterre que part les V1 et V2, les premiers missiles Allemands. Les Américains étaient en guerre avec les Japonais suite à l’agression de Pearl Harbor le 7 décembre 1941. Il était donc illusoire d’espérer un soutien militaire de nos alliés pendant les premières années de l’occupation. Ce soutien est venu par l’organisation depuis l’Angleterre de réseaux clandestins de résistance depuis 1943 et par une assistance aux maquisards qui recevaient des armes. L’histoire de la Résistance intérieure, toute différente qu’elle soit de celle de la France libre, n’est pas dissociable de cette dernière.

Le général de Gaulle, chef des Français libres, a ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA, Bureau Central de renseignement et d’action, ou d’envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers avaient la charge d’unifier la Résistance intérieure, sous l’égide de Londres puis d’Alger. La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels d’un processus d’unification parfois difficile, mais sans équivalent dans le reste de l’Europe occupée.

En outre cette zone libre était souhaitée par les Allemands qui n’avaient pas à la gérer, ayant bien assez à faire avec l’URSS et l’Angleterre. Ce qu’ils cherchaient était de purger la France de ses richesses, de sa main d’œuvre par le STO, et de poursuivre la guerre ailleurs. Cette politique nous fût bénéfique sur le plan humain.

Voici quelques jugements de personnalités très qualifiées.

Hermann Göering , Gibraltar à nous, nous poussions en Afrique du Nord jusqu’à Dakar, nous fermions l’Ouest de la méditerranée, nous contrôlions les convois de l’Atlantique sud….

Kietel , l’histoire aurait été différente si nous avions pris Gibraltar et si le Fuhrer n’avait pas laissé à la France ses troupes sa marine….

Renthe-Fink , le Fuhrer le plus grand des hommes vivants a commis en juin 40 une faute inconcevable en concluant un armistice avec la France….

Wiston Churchill, en juin 40 après la bataille du Nord l’Angleterre n’avait plus d’armes….l’armistice nous a en sommes rendu service…..Dépositions tirées de «La vie exemplaire de Philippe Pétain» par le général Hering.

Les conditions de l’armistice de Rothondes.

Adolf Hitler exige que l’armistice soit signé au même endroit que l’Armistice de 1918, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne. Il fait sortir le wagon de l’Armistice, qui avait servi à signer celui de 1918, du bâtiment qui l’abrite, et le fait placer à une centaine de mètres de là, à l’emplacement exact où il se trouvait le 11 novembre 1918, afin d’y organiser la cérémonie de revanche sur la Première Guerre mondiale, le wagon sera ensuite convoyé à Berlin.

Le 21 juin, lors de la journée inaugurale des négociations, les Allemands sont représentés par Adolf Hitler et le maréchal Wilhelm Keitel, chargé des négociations. Plusieurs hauts dignitaires de l’armée Allemande et du régime nazi assistent à la cérémonie, Rudolf Hess , Hermann Göring, Von Ribbentrop , ministre des Affaires étrangères du Reich, l’amiral Raeder, chef de la Kriegsmarine, et le général von Brauchitsch, commandant de la Wehrmacht.

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Hermann Göring, Rudolf Hess, Adolf Hitler, Joachim von Ribbentrop et Walther von Brauchitsch devant le wagon de l’Armistice Wikipédia .

La délégation Française est présidée par le général Huntziger et comprend le général d’aviation Bergeret, le vice-amiral Le Luc et l’ambassadeur Léon Noël. En tant que nouveau ministre de la Défense, le général Weygand donne à la délégation Française dirigée par le général Huntziger, avant son départ pour Rethondes, des instructions concernant, en particulier, la Flotte. Ayant pris connaissance des conditions d’armistice édictées par les Allemands, Huntziger en rend compte à Weygand, le 21 juin à 20 heures, au cours d’un long entretien téléphonique où il dicte le texte intégral de la convention, aussitôt transmise au Conseil de ministres réuni à Bordeaux.

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Le général Charles Huntziger signe l’armistice pour la France, Wikipédia .

Lors des pourparlers qui se déroulent toute la journée du 22, entrecoupés de nouvelles communications téléphoniques entre Huntziger et Weygand, la délégation Française obtient néanmoins deux modifications, l’article 5 sur la livraison des avions militaires et l’article 17 sur les transferts de valeurs et de stocks, sont amendés. Les Allemands refusent toute autre concession, en dépit des protestations Françaises, en particulier sur l’article 19 concernant le droit d’asile et sur l’Italie, la France n’ayant pas été vaincue dans les Alpes.

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Signature de l’armistice. À gauche le maréchal Kietel, à droite, la délégation Française avec le général Huntziger entouré du général d’aviation Bergeret et du vice-amiral Le Luc, de profil, Wikipédia .

Suite à l’ultimatum du chef de la délégation Allemande, le maréchal Keitel, le général Huntziger reçoit l’ordre depuis Bordeaux de signer l’armistice. Enfin, il ne faut froisser ni l’allié Italien, ni le potentiel allié Espagnol. Hitler a rencontré Mussolini le 18 juin à Munich pour le convaincre de s’en tenir à ses vues, le Duce voulait s’emparer de la Flotte et de l’aviation Françaises, occuper la France jusqu’au Rhône, annexer Nice, la Savoie, la Corse, la Tunisie, la Côte Française des Somalis, les villes d’Alger, d’Oran et de Casablanca, ce qui n’entrait pas dans les plans de Hitler qui considérait ces prétentions démesurées et de nature à compromettre la signature de l’armistice. Ce sont toutes ces considérations complexes qui vont déterminer le contenu de la convention d’armistice, un texte bref de vingt-quatre articles, qui contient notamment les clauses suivantes:
* Les prisonniers de guerre, plus de 1,5 million d’hommes, restent en captivité jusqu’à la signature d’un accord de paix.
* La moitié nord, ainsi que la côte atlantique, passent sous occupation Allemande, c’est la zone occupée, qui couvre à peu près les trois cinquièmes du territoire. Le reste constitue la «zone libre», c’est-à-dire non occupée, regroupée essentiellement au sud de la Loire. Les deux zones sont séparées par la ligne de démarcation.
* La France doit pourvoir à l’entretien de l’armée d’occupation. Il s’avéra que le montant de ces indemnités allait être fixé de façon quasi-discrétionnaire par les Allemands, et leur montant s’élèvera, en moyenne, à 400 millions de francs par jour.
* Dans la zone libre, l’armée Française est limitée à 100 000 hommes et les troupes sont désarmées.
* La souveraineté Française s’exerce sur l’ensemble du territoire, y compris la zone occupée, l’Alsace et le département de la Moselle, mais dans la zone occupée, il est stipulé que l’Allemagne exerce «les droits de la puissance occupante», ce qui implique que l’administration collabore avec elle d’une «manière correcte».
* L’Empire colonial Français reste également sous l’autorité du Gouvernement français.
* Les bâtiments de guerre rejoignent leurs ports d’attache du temps de paix, comme Cherbourg, Brest et Lorient qui se trouvaient en zone occupée. «La désignation de ces ports sera faite d’après les ports d’attache des navires en temps de paix».
* La France doit livrer les réfugiés politiques Allemands ou Autrichiens présents sur son sol.

Cette dernière condition était honteuse pour la France.

Le choix d’Hitler de laisser à la France vaincue sa souveraineté et son empire peut paraître aujourd’hui surprenant. À l’époque, dans une lettre au Duce et lors de la réunion du 18 juin à Munich, Hitler a justifié ce choix ainsi que celui de maintenir une zone non occupée par le souci de ne pas pousser la France et sa puissante flotte à continuer la guerre à partir de ses colonies. La marine Allemande n’étant pas à la mesure de conquérir le vaste empire colonial outre-Méditerranée, et l’envoi de troupes dans des contrées éloignées n’entrant pas dans la stratégie d’Hitler. Dans les faits, à l’exception de l’Afrique-Équatoriale française et de la Nouvelle-Calédonie, les colonies Françaises ne se rallieront ni à de Gaulle ni aux Alliés dans les mois qui suivront l’armistice, malgré la bataille de Dakar.

C’est un affrontement naval Franco-anglo-français. Cette bataille, fratricide, connue sous le nom de Opération Menace, opposa du 23 au 25 septembre 1940 au large de Dakar les Forces françaises libres du général de Gaulle et les Alliés, d’une part, et les forces restées fidèles au Régime de 1940 installé à Vichy, dirigées par le gouverneur général Boisson, gouverneur général de l’Afrique Occidentale française depuis le 26 juin 1940, de l’autre.

Elle se solda par un échec pour les Britanniques et les Français libres ralliés à de Gaulle.

Le discours de Pétain le 25 juin sur les conditions de l’armistice.

Français,

je m’adresse aujourd’hui à vous, Français de la métropole et Français d’outre-mer, pour vous expliquer les motifs des deux armistices conclus, le premier avec l’Allemagne il trois jours, le second avec l’Italie. Ce qu’il faut d’abord souligner, c’est l’illusion profonde que la France et ses alliés se sont faite sur la véritable force militaire et sur l’efficacité de l’arme économique, liberté des mers, blocus, ressources dont ils pouvaient disposer. Pas plus aujourd’hui qu’hier on ne gagne une guerre uniquement avec de l’or et des matières premières.

La victoire dépend des effectifs, du matériel et des conditions de leur emploi. Les événements ont prouvé que l’Allemagne possédait, en mai 1940, dans ce domaine, une écrasante supériorité à laquelle nous ne pouvions plus opposer, quand la bataille s’est engagée, que des mots d’encouragement et d’espoir. La bataille des Flandres s’est terminée par la capitulation de l’armée Belge en rase campagne et l’encerclement des divisions Anglaises et Françaises. Ces dernières se sont battues bravement. Elles formaient l’élite de notre armée, malgré leur valeur, elles n’ont pu sauver une partie de leurs effectifs qu’en abandonnant leur matériel.

Une deuxième bataille s’est livrée sur l’Aisne et sur la Somme. Pour tenir cette ligne, soixante divisions Françaises, sans fortifications, presque sans chars, ont lutté contre cent cinquante divisions d’infanterie et onze divisions cuirassées Allemandes. L’ennemi, en quelques jours, a rompu notre dispositif, divisé nos troupes en quatre tronçons et envahi la majeure partie du sol Français. La guerre était déjà gagnée virtuellement par l’Allemagne lorsque l’Italie est entrée en campagne, créant contre la France un nouveau front en face duquel notre armée des Alpes a résisté. L’exode des réfugiés a pris, dès lors, des proportions inouïes. Dix millions de Français, rejoignant un million et demi de Belges, se sont précipités vers l’arrière de notre front, dans des conditions de désordre et de misères indescriptibles. A partir du 15 juin, l’ennemi, franchissant la Loire, se répandait a son tour sur le reste de la France. Devant une telle épreuve, la résistance armée devait cesser.

Le Gouvernement était acculé à l’une de ces deux décisions, soit demeurer sur place, soit prendre la mer. Il en a délibéré et s’est résolu à rester en France, pour maintenir l’unité de notre peuple et le représenter en face de l’adversaire. Il a estimé qu’en de telles circonstances, son devoir était d’obtenir un armistice acceptable, en faisant appel chez l’adversaire au sens de l’honneur et de la raison. L’armistice est conclu. Le combat a pris fin. En ce jour de deuil national, ma pensée va à tous les morts, à tous ceux que la guerre a meurtris dans leurs chairs et dans leurs affections. Leur sacrifice a maintenu haut et pur le drapeau de la France. Qu’ils demeurent dans nos mémoires et dans nos coeurs.

Les conditions auxquelles nous avons dû souscrire sont sévères. Une grande partie de notre territoire va être temporairement occupée. Dans tout le Nord, et dans tout l’Ouest de notre pays, depuis le lac de Genève jusqu’à Tours, puis, le long de la côte, de Tours aux Pyrénées, l’Allemagne tiendra garnison. Nos armées devront être démobilisées, notre matériel remis à l’adversaire, nos fortifications rasées, notre flotte désarmée dans nos ports. En Méditerranée, des bases navales seront démilitarisées. Du moins l’honneur est-il sauf. Nul ne fera usage de nos avions et de notre flotte. Nous gardons les unités navales et terrestres nécessaires au maintien de l’ordre dans la métropole et dans nos colonies, le gouvernement reste libre, la France ne sera administrée que par des Français.

Vous étiez prêts à continuer la lutte. Je le savais. La guerre était perdue dans la métropole. Fallait-il la prolonger dans les colonies ? Je ne serais pas digne de rester à votre tête si j’avais accepté de répandre le sang des Français pour prolonger le rêve de quelques Français mal instruits des conditions de la lutte. Je n’ai placé hors du sol de France ni ma personne ni mon espoir. Je n’ai jamais été moins soucieux de nos colonies que de la métropole. L’armistice sauvegarde le lien qui l’unit à elles, la France a le droit de compter sur leur loyauté.

C’est vers l’avenir que désormais nous devons tourner nos efforts. Un ordre nouveau commence. Vous serez bientôt rendus à vos foyers. Certains auront à les reconstruire. Vous avez souffert, vous souffrirez encore. Beaucoup d’entre vous ne retrouveront pas leur métier ou leur maison. Votre vie sera dure. Ce n’est pas moi qui vous bernerai par des paroles trompeuses. Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal. La terre, elle, ne ment pas. Elle demeure votre recours. Elle est la patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de France qui meurt. Une jachère à nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît.

N’espérez pas trop de l’État. Il ne peut donner que ce qu’il reçoit. Comptez, pour le présent, sur vous mêmes et, pour l’avenir, sur vos enfants que vous aurez élevés dans le sentiment du devoir. Nous avons à restaurer la France. Montrez-la au monde qui l’observe, à l’adversaire qui l’occupe, dans tout son calme, tout son labeur et toute sa dignité. Notre défaite est venue de nos relâchements. L’esprit de jouissance détruit ce que l’esprit de sacrifice a édifié. C’est à un redressement intellectuel et moral que, d’abord, je vous convie. Français, vous l’accomplirez et vous verrez, je vous le jure, une France neuve sortir de votre ferveur.

Vidéo le défilé des Allemands à Rothondes

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La suite 35 portera sur le fascisme et le national socialisme responsables de la guerre…..

Références,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Moulin
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Brossolette
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bingen
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_national_de_la_R%C3%A9sistance
http://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_fran%C3%A7aises_de_l%27int%C3%A9rieur
http://fr.wikipedia.org/wiki/Service_du_travail_obligatoire
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hermann_G%C3%B6ring
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_Keitel
http://da.wikipedia.org/wiki/Cecil_von_Renthe-Fink
http://fr.wikipedia.org/wiki/Winston_Churchill
http://www.generalhering.org/vie-exemplaire-philippe-petain/#/0
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_Hess
http://fr.wikipedia.org/wiki/Joachim_von_Ribbentrop
http://fr.wikipedia.org/wiki/Erich_Raederw
http://fr.wikipedia.org/wiki/Walther_von_Brauchitsch
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Huntziger
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Bergeret_%28militaire%29
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Le_Luc
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_No%C3%ABl
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Dakar
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Boisson

 

2 réflexions sur « Philippe Pétain, Maréchal de France, suite 34, »

  1. Bonjour Anidom.

    J’ai lu quelque part sous un de vos articles que vous vous considériez comme fou pour relater ces périodes de l’histoire ! Parce qu’apparemment nombres de gens actuellement s’en moquent !! Mais non,c’est génial,quel travail,je vous suis dans l’ombre,euh,un peu comme l’armée des ombres.

    Faute de temps et oui Anidom,( celui qui possède du temps pour entreprendre ce que bon lui semble a la plus grosse des richesses )!!!

    Quand le moment sera venu,je viendrai vous faire part de mon petit savoir sur cette période.

    Bye et bonne continuation,cela en vaux la peine.

    Amitié (Réaction-pascal , Humaniste a mes heures perdues).

  2. [b]Réaction-pascal[/b] bonsoir,

    Merci de votre visite, certes il faut du temps et de la persévérance pour traiter de cette façon toute une période de notre histoire et pas la plus glorieuse, mais c’est passionnant.

    Que cela intéresse peu, j’en ai conscience c’est dommage d’ailleurs, mais ce n’est pas pour cela que j’écris.

    J’écris avant tout pour me faire plaisir, et si certains aiment mon plaisir devient grand.

    Il faut un moment donné faire un break avec la politique qui n’offre pas toujours de l’intérêt, beaucoup font de la politique, en fait il y a peu à apprendre à moins d’être polémique pour faire rire, mais ce n’est pas mon truc.

    Alors dans l’attente de bons sujets politiques à traiter je fais de l’histoire.

    Bien à vous,

    Anido

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