La « nouvelle » série  « Person of interest » rencontre un succès fou depuis sa première diffusion mercredi 6 mars 2013.  Dès le premier épisode de la soirée, ce ne sont pas moins de 7.2 millions de téléspectateurs. L’audience explose très largement avec 36% de femmes. Étonnant, non ? C’est un réel triomphe, les chiffres parlent d’eux même. Mais qu’est-ce qui plaît tant ? Le casting a été soigné, le scénario bien rédigé, cette série est vraiment digne d’intérêt.


Voici le synopsis :

Un agent paramilitaire de la CIA, présumé mort, est recruté par un millionnaire reclu pour travailler sur un projet top-secret : prévenir le crime avant qu’il ne se produise ! Un ingénieux programme élaboré par Finch identifie chaque jour des personnes qui vont être impliquées dans un crime. Victime ou coupable ? Reese va devoir mener l’enquête pour découvrir qui est en danger et empêcher qu’un nouveau meurtre soit commis…

 

Le concept est étonnant, il fait rêver. Si seulement, une machine (le programme) aussi puissante pouvait exister !

Les personnages sont mystérieux et on s’attache vraiment à leur cause « sauver un maximum de personnes choisies par la machine ».

 

 « Person of Interest » est devenu la série du moment en France. Pourtant, cette série américaine créée par Jonathan Nolan et produite par J.J. Abrams, est diffusée depuis le 22 septembre 2011 aux Etats-Unis, depuis le 28 août 2012 en Belgique et depuis le 5 septembre 2012 au Québec.

 

Nous avons du attendre plus longtemps pour avoir enfin l’honneur de découvrir cette série, sur TF1 le 6 mars 2013. La chaine étant bien choisie, l’audience était au RDV.

 

Voilà déjà 9 épisodes diffusés et disponibles sur TF1 Replay tous aussi passionnant les uns que les autres. Personnellement, j’ai été captivé par les histoires et la façon dont est présenté le scénario. Les scènes d’actions sont bien réalisées, elles ne sont ni trop courtes, ni trop longues. Le suspens est au rendez-vous grâce aux différents rebondissements placés un peu n’importe quand. Il en est de même avec les retours en arrières. 

Au fur et à mesure des épisodes, on en apprend un peu plus sur les personnages ce qui nous rattache à la série de plus en plus. Cela me rappelle un peu la série « No limit » lancée par Luc Besson sur TF1 en novembre 2012. C’est un peu le même style mais présenté de façon différente.

 

Cette série relève très nettement le niveau des séries en ce moment diffusées à la télévision. C’est encourageant pour l’avenir. Vivement la suite.