Le dopage en cyclisme est bien connu, c’est le sport où il y a le plus de cas répertoriés. La pratique du dopage existe depuis longtemps, il y a eu 2605 cas de dopage depuis 1881 selon l’Annuaire du dopage et cette liste augmente chaque année. Elle ne cesse de croître, car les pénalités ne sont pas assez sévères.L’Union Cycliste Internationale devrait faire en sorte que les dopés n’aient pas une deuxième chance de faire à nouveau de la compétition.
L’Union Cycliste Internationale devrait donner des peines plus sévères aux tricheurs, car les peines actuelles ne sont pas assez rigoureuses. Présentement, pour un cycliste qui échoue un contrôle antidopage, l’athlète reçoit une sentence qui varie de 3 mois à 2 ans et peut être banni à vie s’il échoue à plus d’un.
Dans les 2 dernières années, Frank Shleck et Alberto Contador ont été testés positifs et tous les deux ont nié les accusations et ils ont essayé de se défendre en disant que c’était un empoisonnement alimentaire. Ces coureurs ont eu une peine de 2 ans sans pouvoir faire de la compétition et ils n’avoueront jamais qu’ils se sont injectés des drogues de performance.
Selon moi, la sanction pour chaque cas de dopage, devrait être que le cycliste soit banni à vie de faire de la compétition. Il devrait y avoir une peine comme celle-ci parce que l’athlète n’aurait pas une deuxième chance, donc il penserait davantage aux conséquences avant de se doper.C’est certain, si les sanctions étaient plus sévères il y aurait moins de cas de dopage et moins d’ex dopés dans le peloton.
Le cycliste le plus connu dans le monde est Lance Armstrong, suite à ses aveux la semaine dernière, le monde entier pensera que tous les cyclistes sont dopés .Cette pensée deviendra un stéréotype.
Pour conclure, Tyler Hamilton, Geneviève Jeanson et d’autres cyclistes se sont dopés, car ils pensaient que les meilleurs le faisaient. Ils l’ont aussi fait pour gagner et être au top, mais ils n’ont pas pensé aux conséquences d’une telle pratique pour eux et pour le sport.
Je crois que lorsqu’on est à se demander si on doit prendre des substances non réglementaires pour continuer notre sport, on devrait se poser la question suivante : est-ce que j’aime encore pratiquer ce sport.