Ce matin, on m’a passé "commande"… On m’a demandé si je pouvais écrire un article pour une demande de pétition.
La cause me semble bien juste alors j’agis.
Le but est de soutenir :
le pasteur Youcef Nadarkhani poursuivi pour apostasie de l’Islam et qui risque la peine de mort !
Convoqué devant le tribunal révolutionnaire iranien pour avoir protesté contre la décision du gouvernement d’imposer la lecture du coran aux enfants chrétien, le pasteur Youcef Nadarkhani, responsable de la plus grande communauté chrétienne du Nord de l’Iran est détenu depuis le 12 octobre dernier, au mépris de La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui stipule pourtant que "les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants".
Depuis le 12 octobre, aucunes nouvelles n’avaient été transmises aux proches mais on a appris hier que le juge voudrait inculper Youcef du crime d’apostasie de l’Islam. Il encourt donc la peine de mort.
Alors je voudrais mettre en place une pétition pour ne pas qu’il meurt à cause de ça ! Juste à cause d’un bouquin. Bible ou Coran, c’est pareil pour moi, même si je n’ai lu aucun d’eux entièrement encore (j’ai quelques difficultés je l’avoue). Mais je trouve grave de vouloir imposer un type de lecture précis.
Est-ce que c’est comme ça que le gouvernement Ahmadinejad II et le nouveau chef du pouvoir judiciaire Sadegh Larijani, le frère du président du majlis veulent améliorer la situation des minorités ?
C’est comme ça que ces responsables veulent maintenir "l’Ordre" , avec violences et persécutions. Est-ce que c’est le Coran qui dit qu’il faut faire ça ?
Et demain, on me menacera de mort si je ne veux pas lire la Bible jusqu’au bout ? Est-ce qu’on m’arrachera ma fille si je lui fait lire le Coran et non la Bible comme on en fait la menace en Iran pour ceux qui veulent faire lire la Bible au lieu du Coran (Véritas ? Là, j’ai besoin de vos lumières !)
Où est le droit à la liberté de religion ? C’est à se demander si ce ne sont pas ces "bouquins" (pardonnez-moi l’expression à ceux pour qui ce sont des livres cultes) qu’il faudrait tuer…
Je sais que c’est dur ce que je dis, et que ça ne va pas plaire à tout le monde. Mon but n’est pas de me faire des ennemis. Mais si ces livres provoquent guerre sur guerre, ne serait-il pas mieux de les bannir définitivement ?
Ambassade d’Iran
M. Seyed Mehdi Miraboutalebi
4, avenue d’Iéna
75116 Paris
Tél : 01.40.69.79.00 – Fax : 01.40.70.01.57
Inscrire sur l’enveloppe :
Son Excellence, Monsieur Seyed Mehdi Miraboutalebi, Ambassadeur d’Iran en France
suivi de l’adresse indiquée ci-dessus.
– [url]http://www.michelcollon.info/index.php?option=com_content&view=article&id=2319:oui-au-boycott-au-desinvestissement-aux-sanctions-bds-contre-israel-reponse-a-uriavnery&catid=6:articles&Itemid=11[/url]
– [url]http://www.michelcollon.info/index.php?option=com_content&view=article&id=2288:que-doit-faire-ahmadinejad-pour-recevoir-le-prix-nobel&catid=1:articles&Itemid=2[/url]
– [url]http://www.jeanchristopheattias.net/en-librairie-les-grecs-les-arabes-et-nous.html[/url]
Vidéo clandestine EXCEPTIONNELLE sur l’islamisation forcée de l’Iran et sur le vrai visage
d’Ahmedinejad
Ce document vidéo est tout à fait extraordinaire. Filmé à l’insu de ses acteurs, sorti clandestinement d’Iran, il représente Mahmoud Ahmadinejad, à Qom, en compagnie de son mentor, l’Ayatollah Mesbah Yazdi, ainsi que d’un cénacle d’élèves et de fidèles. La vidéo est sortie d’Iran via internet.
[url][/url]
[url]http://www.dailymotion.com/video/x9ojqd_video-clandestine-sortie-diran-ahma[/url]
Un cadeau pour libertinus
{youtube}piBoYp5eNFU{/youtube}
plumet,
Grande gueule, tu disais que tout ce qui était dit sur l’Iran c’était de l’intox et pourtant des iraniens ont confirmé que c’était vrai ces condamnations à mort.
Tu disais que salhia est une chrétienne intolérante alors que toi tu ne supportes pas les chrétiens en Iran alors que la France a permis la construction de mosquées.
Savez-vous que 956 milliards d’Euros sont consacrés chaque année pour l’armement militaire ?
C’est grave… Combien de d’humains pourraient se nourrir avec cette somme ?
[u]Copie de ma lettre pour Or Ben David[/u]
« Bonjour Or Ben David ! Bonjour à TOUS les prisonniers au nom de leur FOI et de leur Amour pour le Divin et les Humains !
Je m’appelle Nathalie. J’ai écris un article sur Come For News (C4N), concernant la peine de mort d’un pasteur chrétien en Iran parce qu’il a refusé d’imposer la lecture du Coran a des enfants…
Je ne sais pas si vous pouvez vous imaginer le débat qu’il en a découlé ! Plus de 1950 visites et plus de 750 commentaires !
Ca a lancé un « petit » conflit entre chrétiens et musulmans « un peu extrémistes sur les bords » pour certains…
Mais ce débat est très enrichissant car très diversifié en opinions et surtout, il permet de militer contre toutes ces injustices que je découvre de plus en plus !
Il y en a qui accuse : c’est la faute à l’Iran, c’est la faute à Israel, c’est la faute aux blancs, c’est la faute à… C’EST LA FAUTE AUX HOMMES tout simplement…
C’est comme ça que j’ai entendu parler de vous Or Ben David ! Sachez qu’il y a des humains sur Terre qui ne sont pas indifférent à votre sort !
Sachez qu’il y a des personnes, comme vous, qui ont encore foi que Tout est possible ! Nous voulons [b]l’Amour et la Paix ![/b]
[b]LOVE & PEACE ![/b] C’est pour ça que je me bats. Parce que si l’on doit éradiquer les guerres et les armes nucléaires, la pauvreté et la maladie, nous devons gagner et garder notre dignité et notre Liberté !
Je suis ignorante du Tout, je ne suis rien. Mais je suis le Rien qui vient du Tout et le Tout qui vient du Rien.
Je suis ce que je ne suis pas et je ne suis pas ce que je suis.
Qui suis-je ? JE SUIS !
[b]JE SUIS ce que vous êtes, vous êtes ce que je suis et je vous suis dans le mouvement Love & Peace ! (I AM IN THE MOVMENT LOVE & PEACE and we are lot of like you).
Continuez, persévérez et la lumière regagnera du terrain ! A nous tous nous y arriverons !
Nous devons Tous nous lever impérativement contre l’injustice ! Nous devons Tous nous lever pour la Liberté ![/b]
[u] Nous devons Tous nous lever pour l’Amour et la Paix.
Gardez Foi, nous nous levons nous aussi, ici sur c4n !
Mon cri, Notre cri :[/u]
[b]LOVE & PEACE ! LOVE & PEACE ! LOVE & PEACE ![/b] »
[u][b]REVOLUTION LOVE & PEACE ![/b][/u] Yahooooo ! 🙂 😀 ;D
😮 Plumett !:o
Iran Tortures à mort dans les prisons d’Ahmadinejad
Catherine Schwaab – Paris Match
On s’est retrouvés debout, serrés comme des sardines, dans des sortes de conteneurs par plus de 40 degrés, pendant deux jours, sans toilettes, sans eau ni nourriture, avec des rats. Quand nos gardiens bassidji nous ont fait couler de l’eau à travers la porte, nous avons été obligés de laper le liquide comme des chiens. C’était dégueulasse : des saletés et surtout du sang. Car nous étions sanguinolents, battus avec des gourdins, le visage démoli. On a tous les dents cassées. Moi je n’entends plus d’une oreille. Mais je suis mieux loti que des camarades qui sont morts. » C’est un intellectuel d’environ 25 ans, avec qui nous avons pu entrer en relation, qui raconte ses conditions de détention à la prison de Kahrizak, près de Téhéran. Le jeune homme poursuit : « Nous avons vu des membres de notre “conteneur” pendus par les pieds pendant quarante-huit heures ; l’un d’entre eux, rendu à sa famille défiguré avec des yeux gonflés comme des balles de tennis violacées, est mort dans les bras de ses parents. Il y avait des viols tous les jours : trois des plus jeunes y sont passés, on entendait leurs hurlements. » Reza Yavari, un autre prisonnier libéré : « Dans notre cellule, des gens tombaient dans le coma. Quand l’un d’entre eux est mort, on a protesté, nos geôliers, des voyous en civil (on les appelle “lebas shakhsi”), sont revenus, ont cassé les ampoules électriques, brandi le cadavre, braqué des torches sur nos visages : “On va vous enculer, vous tuer, c’est les ordres !” Ils ont attrapé un jeune de 16-17 ans, l’ont cogné comme des fous, certains ont protesté, ils leur ont infligé le même traitement. Le lendemain matin, quatre d’entre nous avaient succombé. »
A la répression violente s’ajoute la corruption des mollahs
Ali Reza Beheshti, fils d’un grand ayatollah assassiné, calcule : « Quelque 1 700 prisonniers ont été acheminés à Ispahan car, à Téhéran, les prisons débordent. On ignore combien il y a de morts, on les estime à au moins 360. Seulement 10 % des familles ont des nouvelles, et certaines, terrorisées, ne nous contactent pas. »
Si, selon certains, il y a des bassidji et des pasdaran pour désapprouver ces méthodes, la majorité exécute les basses besognes sans états d’âme. Un camion vient d’être intercepté à la frontière turque avec… 7,5 milliards de dollars en liquide et 20 tonnes de lingots d’or ! Fortune des mollahs du régime ? Financement du Hamas, du Hezbollah ? Les ressources des ayatollahs semblent inépuisables… 1,6 milliard de dollars appartenant au fils de Khamenei (qui soutient Ahmadinejad) sont bloqués dans une banque londonienne. Quant à la manne saisie en Turquie, le premier ministre turc Erdogan a décidé de s’en servir pour ses investissements nationaux. C’est sans doute la version islamique de la realpolitik.
A la répression violente s’ajoute la corruption des mollahs
Ali Reza Beheshti, fils d’un grand ayatollah assassiné, calcule : « Quelque 1 700 prisonniers ont été acheminés à Ispahan car, à Téhéran, les prisons débordent. On ignore combien il y a de morts, on les estime à au moins 360. Seulement 10 % des familles ont des nouvelles, et certaines, terrorisées, ne nous contactent pas. »
Si, selon certains, il y a des bassidji et des pasdaran pour désapprouver ces méthodes, la majorité exécute les basses besognes sans états d’âme. Un camion vient d’être intercepté à la frontière turque avec… 7,5 milliards de dollars en liquide et 20 tonnes de lingots d’or ! Fortune des mollahs du régime ? Financement du Hamas, du Hezbollah ? Les ressources des ayatollahs semblent inépuisables… 1,6 milliard de dollars appartenant au fils de Khamenei (qui soutient Ahmadinejad) sont bloqués dans une banque londonienne. Quant à la manne saisie en Turquie, le premier ministre turc Erdogan a décidé de s’en servir pour ses investissements nationaux. C’est sans doute la version islamique de la realpolitik.
Iran: Le scandale de la prison de Kahrizak, l’horreur au quotidien
Iran Focus : Plus de vingt prisonniers politiques sont mort dans la sinistre prison de Kahrizak, au sud de la capitale. Le
régime vient de fermer cette prison sous la pression de responsables du régime dont les enfants y ont péri après avoir
été arrêtés dans les manifestations anti-gouvernementales. De jeunes gens ont péri pour avoir refusé l’élection
frauduleuse d’Ahmadinejad. Une prison où l’horreur a atteint son paroxysme.
Alors que les gouvernements occidentaux continuent leurs hésitations à prendre des mesures concrètes contre le régime
iranien qui a perdu toute légitimité, les jeunes iraniens résistent au prix des supplices au quotidien.
Mohammad Kamrani, 18 ans, avait été arrêté le 9 juillet, près de la place Vali Asr de Téhéran et immédiatement
emmené à la prison de Kahrizak. Il est mort en raison de graves tortures. Mohsen Rouhol-Amine, un jeune étudiant
arrêté les 9 juillets, a été suspendu par les pieds et battu à mort. Selon les estimations les plus prudentes, plus de 300
personnes ont été tuées durant les manifestations ou sous la torture après leurs arrestation depuis l’annonce du
résultat des élections contesté d’Ahmadinejad.
Ali, un jeune artiste a raconté à Iran Focus le cauchemar qu’il a subit depuis son arrestation : « Kahrizak est un camp de
la mort. Un entrepôt de fruits et de légume transformé en prison de fortune, les cellules sont des containers métalliques
avec pour aération un petite orifice qu’il faut se partager l’accès pour pouvoir prendre la respiration. »
Kahrizak avait déjà fait parler d’elle. Il y a un an, lorsqu’en août 2008 le Conseil National de la Résistance iranienne
(CNRI) révélait les circonstances terribles dans lesquels 18 prisonnières étaient mortes à Kahrizak. Faute de section
féminine, les 18 femmes avaient été enfermées dans la chaleur brûlante du mois d’août dans des conteneurs
métalliques. Elles sont toutes mortes de chaleur et d’étouffement. Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition
organisée avait appelé à l’époque le Haut commissaire aux droits de l’homme de l’Onu à intervenir pour envoyer une
commission d’enquête à Kahrizak. Rien n’a été fait.
Après le déclenchement du soulèvement populaire au lendemain de l’élection frauduleuse d’Ahmadinejad, Kahrizak a
servie de camp de détention et frappe par la cruauté de ses geôliers. Les manifestants sont détenus par groupes de 40 à
60 personnes dans des cellules 30 mètres cubes. Les quelques rescapés ont fait état des supplices endurés par les
prisonniers. Constamment roués de coups avec des bars de fer et des fouets métalliques sur les parties sensibles du
corps, ils sont brûlés avec de l’eau bouillante qu’on déverse sur eux.
De nombreux témoins ont déclaré être prêts à témoigner devant une commission internationale sur les atrocités
commis à Kahrizak. Ahmad-Reza Radan, commandant des Forces de Sécurité de l’Etat (FSE) a été directement
impliqué dans les exactions et la torture des prisonniers à Kahrizak, dont il avait le contrôle selon plusieurs témoignages.
Un jeune manifestant a rapporté son témoignage à magazine Paris Match sur Kahrizak : « On s’est retrouvés debout,
serrés comme des sardines, dans des sortes de conteneurs par plus de 40 degrés, pendant deux jours, sans toilettes,
sans eau ni nourriture, avec des rats. Quand nos gardiens bassidji nous ont fait couler de l’eau à travers la porte, nous
avons été obligés de laper le liquide comme des chiens. C’était dégueulasse : des saletés et surtout du sang. Car
nous étions sanguinolents, battus avec des gourdins, le visage démoli. On a tous les dents cassées. Moi je n’entends
plus d’une oreille. Mais je suis mieux loti que des camarades qui sont morts. »
C’est un intellectuel d’environ 25 ans, avec qui nous avons pu entrer en relation, qui raconte ses conditions de détention
à la prison de Kahrizak, près de Téhéran. Le jeune homme poursuit : « Nous avons vu des membres de notre »
conteneur » pendus par les pieds pendant quarante-huit heures ; l’un d’entre eux, rendu à sa famille défiguré avec des
yeux gonflés comme des balles de tennis violacées, est mort dans les bras de ses parents. Il y avait des viols tous les
jours : trois des plus jeunes y sont passés, on entendait leurs hurlements. »
Reza Yavari, un autre prisonnier libéré : « Dans notre cellule, des gens tombaient dans le coma. Quand l’un d’entre eux
est mort, on a protesté, nos geôliers, des voyous en civil (on les appelle » lebas shakhsi » ), sont revenus, ont cassé les
ampoules électriques, brandi le cadavre, braqué des torches sur nos visages : » On va vous enculer, vous tuer, c’est les
ordres ! » Ils ont attrapé un jeune de 16-17 ans, l’ont cogné comme des fous, certains ont protesté, ils leur ont infligé le
même traitement. Le lendemain matin, quatre d’entre nous avaient succombé. »
Iran Focus
Et pourquoi on écrirait pas une lettre ouverte « mondial » qui demanderait l’abolition de toutes tortures ? On fait une belle lettre, sérieuse, on l’imprime ou on la mail, et on récolte des milliards de signatures pour obliger les gouvernements à respecter les peuples de toutes nations. Ensuite, s’il n’y a pas de réponse et bien on donne une date et là, c’est le monde entier qui doit crier aux gouvernements son refus à l’atteinte des droits humains.
Qu’en pensez-vous ? Quelqu’un a-t’-il une idée ?
C’est l’armée qu’il faut réformer, abolir même. Donc on prend les armées en otage, on détruit leurs armes nucléaires et on reformate les gouvernements !
Merci Andréa pour votre passage et votre vote et aussi pour vous êtes exprimée.
Si vous voulez donner un coup de main, allez signer la pétition pour le pasteur.
Biz !
[b]Pour rappels : un homme, le Pasteur Pasteur Youcef Nadarkhani, est condamné à mort en République Islamique d’Iran, pour avoir refusé de lire des versets du Coran à des enfants, chrétiens comme lui…
Donc, le problème unique et fondamental est de sauver cet homme, qui risque la pendaison tout simplement en allant tout simplement signer la pétition créée en sa faveur sur C4N :
[url]http://www.come4news.com/joomlapetition-891877/218408[/url]
Alors, il suffit de s’y rendre, ne serait-ce que pour faire pression sur ces mollahs et ayatollahs psychopathes et criminels ![/b]
Je suis chretienne et je dis que le coran a des choses qui ressemble a la Bible, mais sans plus.
Ceux qui prétendent que la Bble est trafiquée, tant mieux pour eux néanmoins la traduction du Coran en Français ne donne pas toujours le même resultat, certains termes sont propres a l’arabe…
Et une chose, jamais dans la Bible le paradis n’est comparé à un lieu de débauche pour hommes. Eh oui Dieu n’est pas vicieux et je l’imagine mal promettre un Paradis dans lequel les hommes pourront assouvir leus désirs et les femmes redevenir vierges sans cesse.
On se demande vraiment s’il n’ y a pas une part d’humanité dans le Coran.
Oups!!!!!!!!!
Le Coran livre sacré appris par coeur par certains Musulmans et non arabophones en plus de 6 à 99 ans à travers le Monde entier depuis son apparution et je te défies de me citer un livre sacré d’ une autre religion appris par Coeur ???
et je t’invites à lire ces versets du Coran de la Sourate N° 2 AL-Bakarah( La Vache) et je souhaite une bonne méditation
* 135. Ils ont dit : « Soyez Juifs ou Chrétiens, vous serez donc sur la bonne voie ». – Dis : « Non, mais suivons la religion d’Abraham, le modèle même de la droiture et qui ne fut point parmi les Associateurs ».
136. Dites : « Nous croyons en Dieu et en ce qu’on nous a révélé, et en ce qu’on n’a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les Tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux prophètes, venant de leur Seigneur : nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes Soumis ».
Les récits coraniques, un plagiat du texte bliblique ?
Un message :
J’ai maintenant la preuve que le Coran n’est qu’une copie de la Bible, et de surcroît une mauvaise copie. Déjà, au prime abord, il saute aux yeux que les récits des prophètes présents dans le Coran sont des copies des récits bibliques. (…)
–
Réponse :
Le fait que des récits se trouvant dans le texte biblique soient aussi présents dans le texte coranique n’implique pas que le second soit un plagiat du premier : nous musulmans expliquons cette communauté de certains récits par deux raisons…
A) L’une est que le Coran a le même auteur qu’un certain nombre de passages de la Bible ; le texte de l’Ancien Testament a connu des retouches à cause de l’histoire difficile que connurent ses porteurs, mais il est des éléments s’y trouvant qui ont la même origine que le texte coranique : Dieu. Car il faut rappeler ici que Muhammad n’a jamais prétendu être le seul prophète de Dieu, mais bien le dernier prophète et messager de Dieu, dont le message présente, par rapport à ceux de Moïse et de Jésus notamment, ce qu’on peut appeler un “changement dans la continuité”. L’origine commune explique la similitude de certains récits. Une nuance, toutefois : Youssef Seddik écrit : “Le Coran est la transcription, pour ainsi dire brute, d’une révélation qui fut faite à Muhammad le Mecquois entre 610 et 632. Les Ecritures saintes précédentes se contentent de “citer” Dieu” (Le Nouvel Observateur, n° 2042-2043, 24 décembre 2003-7 janvier 2004, p. 78). En effet, la forme qu’a prise ce qu’on nomme l’Ancien Testament est telle que si un certain nombre de passages de cet Ancien Testament contiennent d’authentiques révélations divines faites à des prophètes antérieurs, ces révélations sont insérées dans la narration de la vie de ces prophètes. Les quatre Evangiles constituent quant à eux des “biographies religieuses” de Jésus, où sont relatés sa mission, ses actes et ses propos. Youssef Seddik poursuit : “Le texte du Coran, lui, est “à la première personne” : c’est Dieu qui parle de bout en bout” (Ibid.).
B) L’autre raison expliquant la communauté de certains récits entre le texte coranique et certains écrits judéo-chrétiens non prophétiques est que parfois Dieu a, dans Sa Parole qu’est le Coran, relaté des événements historiques auparavant rapportés par des hommes non-prophètes. C’est le cas par exemple du récit des Sept Dormants : l’événement que ce récit mentionne s’est déroulé postérieurement à l’époque de Jésus comme de celle de ses Apôtres, et de ce fait ne figure pas dans le texte biblique (ni les Evangiles ni les Actes des Apôtres ni les Epîtres de l’un ou de l’autre) ; par contre il était présent dans la tradition syriaque chrétienne (et notamment dans deux homélies de Jacques de Saroug, mort en 521 de l’ère chrétienne) avant d’avoir été relaté et donc confirmé par Dieu, dans Sa Parole qu’est le Coran, à un moment compris – dans le calendrier d’humains – entre l’an 610 et l’an 632 de l’ère chrétienne (c’est la période des vingt-trois années où eut lieu la révélation du Coran à Muhammad). L’historicité de l’événement explique qu’il ait été relaté par des hommes, et aussi par Dieu lors de Sa dernière révélation, le Coran (récit des “Gens de la Caverne”, Coran 18/9-26) : Dieu n’a fait que confirmer un événement que des hommes non prophètes avaient relaté avant qu’Il n’en parle dans une Révélation.
Ensuite il faut savoir qu’à côté des similitudes entre texte biblique et texte coranique à propos de certains récits, il existe aussi entre eux trois différences majeures à ce propos…
1) Première différence entre la Bible et le Coran :
A côté des récits présents dans la Bible aussi, le Coran contient d’autres récits qui ne figurent absolument pas dans le texte biblique. Ainsi, les histoires de ‘Ad, de Thamûd, de Madian avec leur prophète respectif – Hûd, Sâlih et Shu’ayb – ne figurent pas dans le texte biblique, alors qu’ils sont développés dans le Coran (cf. Al-Jawâb us-sahîh 1/180).
2) Seconde différence :
Il arrive que, pour un même récit, texte coranique et texte biblique présentent de sérieuses divergences. Au regard des musulmans, la raison en est la présence d’erreurs humaines dans la retransmission d’une parole divine antérieure, ou dans la relation d’un événement historique antérieur (pour plus de détails, lire notre article à ce propos). Maurice Bucaille écrit ainsi : “(…) Dans les pays occidentaux, juifs, chrétiens et athées s’accordent unanimement pour avancer (sans d’ailleurs la moindre preuve) que Mahomet a écrit ou fait écrire le Coran en imitant la Bible. On avance que des récits coraniques reprennent les récits bibliques. Cette prise de position est aussi légère que celle qui amènerait à dire que Jésus aurait lui aussi trompé ses contemporains pour s’être inspiré de l’Ancien Testament au cours de sa prédication : tout l’Evangile de Matthieu est – on l’a vu – fondé sur cette continuité avec l’Ancien Testament. Quel exégète aurait l’idée d’enlever à Jésus son caractère d’envoyé de Dieu pour ce motif ? C’est bien ainsi, pourtant, qu’en Occident le plus souvent on juge Mahomet : il n’a fait que copier la Bible. Jugement sommaire qui ne tient aucun compte du fait que, sur un même événement, Coran et Bible peuvent donner des versions différentes. On préfère passer sous silence la divergence des récits. On les déclare identiques et ainsi les connaissances scientifiques n’ont pas à intervenir. Ces questions seront développées à propos des récits de la création et du déluge” (La Bible, le Coran et la science, Seghers, Paris, p. 126).
2.1) Il est des points où le Coran se démarque explicitement d’éléments présents dans le texte biblique : ainsi, le Coran affirme que Adam et Eve mangèrent ensemble le fruit interdit, demandèrent ensemble pardon à Dieu et reçurent ensemble le pardon de Dieu : ce disant, il semble se démarquer de l’idée que ce soit Eve qui ait montré la voie du péché à Adam et que Adam se soit plaint à Dieu de son épouse comme étant l’instigatrice de la faute ; ainsi encore, le Coran se démarque explicitement de l’idée que Jacob, entendant le récit que Joseph, son fils, lui fait de son songe, l’ait grondé ; le Coran affirme clairement que la main de Moïse est devenue blanche sans aucune maladie (allusion au fait qu’elle ne devenait pas “lépreuse”, comme le dit le texte biblique) ; le Coran déclare avec force que Salomon n’a jamais adoré des idoles, etc. ; de même, le Coran donne comme nom au père de Abraham : “Azar”, et non “Térah” ; pareillement, le Coran parle du roi d’Egypte de l’époque de Moïse en disant “Pharaon”, mais désigne celui de l’époque de Joseph par un simple “le roi” (nous allons y revenir plus bas)…
2.2) Il est d’autres points à propos desquels le Coran ne confirme ni n’infirme les éléments du texte biblique : le Coran n’affirme par exemple pas que le Déluge de l’époque de Noé ait été universel, comme il n’affirme pas non plus qu’il ait été localisé ; en fait il ne dit rien de son ampleur ; le Coran ne donne non plus aucun chiffre concernant la communauté israélite qui émigre d’Egypte sous la conduite de Moïse …
2.3) Enfin, il est des éléments que l’on trouve dans le Coran alors qu’ils sont inconnus de la tradition judéo-chrétienne (ils sont absents aussi bien du texte biblique que des autres écrits) : ainsi en est-il de la présence d’un “Haman”, responsable de constructions, dans l’entourage de Pharaon, du sauvetage du corps de Pharaon après sa mort dans les flots (Coran 10/92), de la demande faite par les apôtres à Jésus de prier Dieu qu’Il fasse descendre une table garnie (Coran 5/112-115 ; voir commentaire de H. Boubakeur, tome 1 pp. 332 et 395).
–
3) Troisième différence :
Dans le Coran, les détails des récits et la narration linéaire sont souvent estompés, au profit d’allusions et de réminiscences qui mettent en exergue l’objectif premier du récit : la leçon spirituelle, morale et humaine à en retirer. Youssef Seddik écrit : “Faisant preuve d’une profonde connaissance de la matière biblique, il [le Coran] en récapitule l’héritage, du récit adamique jusqu’à l’ascension de Jésus et la prédication de Jean-Baptiste, en passant par le Déluge, l’Exode, le règne de David et de Salomon, les vicissitudes de Job et Jonas… Mais il abandonne la narration factuelle, si frappante dans les deux Testaments, au profit d’un ton métaphorique visant à délivrer une leçon d’humanité. Les péripéties historiques s’estompent, le récit coranique se fait parabole” (Le Nouvel Observateur, n° 2042-2043, p. 78). Je me suis ici contenté de reproduire ces explications de Y. Seddik, tout en sachant qu’il est certains points – qui n’ont rien à voir directement avec le sujet en cours – où il ne partage pas vraiment la vision islamique orthodoxe à propos du Coran.
Un point, simple, qui me prouve que l’auteur du Coran n’est pas le prophète Muhammad :
La Bible emploie le mot “pharaon” pour désigner non seulement le souverain d’Egypte de l’époque de Moïse mais aussi celui de l’époque de Joseph (Genèse 47/11) et même celle de Abraham (Genèse 12/15-20).
Or, alors qu’il emploie bien ce nom “pharaon” à propos du souverain d’Egypte de l’époque de Moïse, et ce en plus de 74 fois (cf. Al-Mu’jam ul-muhah’ras li alfâz il-qur’ân il-karîm), le Coran n’emploie jamais le nom “pharaon” pour désigner le souverain d’Egypte de l’époque de Joseph : à son sujet il utilise le terme “roi”, et ce aux cinq occasions où il fait allusion à lui (12/43, 12/50, 12/54, 12/72, 12/76), et bien qu’il dise explicitement que cette partie du récit de Joseph se déroule en Egypte (12/21, 12/99).
Maurice Bucaille écrit : “(…) les études linguistiques modernes ont montré que le mot “pharaon” a commencé par désigner “la grande maison”, la demeure du roi de l’Ancien Empire, vers 2400 avant J.-C., mais son emploi pour désigner la personne même du souverain n’est attesté dans les textes qu’à partir de l’époque amarnienne, vers 1370 avant J.-C (J. Vercoutter)” (Moïse et Pharaon, Seghers, p. 73). “Le roi d’Egypte n’a été désigné par le vocable “Pharaon” qu’à partir du roi Aménophis IV, c’est-à-dire au deuxième quart du XIVè siècle avant J.-C. Toute utilisation du mot pour désigner un roi d’Egypte avant cette époque est un anachronisme (…)“ (p. 298), anachronisme “qui serait comparable à l’erreur que commettrait, par exemple, un historien du futur – connaissant l’usage courant que l’on fait du mot “Elysée” pour désigner le chef de l’Etat – en appliquant ce mot pour nommer le roi de France il y a plusieurs siècles” (p. 73).
Si le Coran était un plagiat de la Bible, et si Muhammad, un arabe illettré du VIIè siècle de l’ère chrétienne, était son auteur – comme certains l’affirment – et non son récepteur-retransmetteur – comme le dit la croyance des musulmans –, alors comment expliquer que cet homme ait pu savoir que, pour désigner soixante-quatorze fois le souverain d’Egypte de l’époque de Moïse, il fallait bien recopier du texte biblique le terme “Pharaon”, alors que, pour décrire cinq fois le souverain d’Egypte du temps de Joseph, il était impératif de délaisser ce même terme, ayant pourtant été ici aussi employé dans le texte biblique, et lui préférer le mot “roi”.
Bucaille écrit : “Je signale qu’à l’époque de la communication aux hommes du Coran, la langue égyptienne ancienne était disparue depuis plus de deux siècles de la mémoire humaine [cf. p. 252] ; elle en restera effacée jusque dans le cours du XIXè siècle. On ne pouvait par conséquent pas alors savoir qu’un roi d’Egypte de l’époque de Joseph devait être désigné autrement que dans la Bible. Subtilité du choix des expressions, à ce sujet, du texte du Coran, qui suscite la réflexion“ (Moïse et Pharaon, p. 298).
Un mot pour conclure :
On peut, en un mot, dire que le récit coranique renvoie au récit biblique – dont il confirme des passages, parce qu’ils sont d’origine divine et/ou de relation humaine authentique – et, tout à la fois, se démarque de lui.
Le Coran renvoie au récit biblique dans la mesure où une partie de celui-ci relate des vérités historiques – que l’auteur du passage soit Dieu ou des chroniqueurs humains – et qu’il s’agit de se référer à cette partie du texte biblique si on désire obtenir le détail de ce à quoi le Coran ne fait (comme l’a fait remarquer Y. Seddik) qu’allusion. Tout musulman qui a un tant soit peu étudié les ouvrages de commentaires du Coran (tafsîr) le dira : comprendre certains éléments du texte coranique mentionnés sans détail ni explication (comme par exemple l’identité de Gog et Magog) se fait par référence à des éléments présents dans des écrits judéo-chrétiens (désignés par les mufassirûn sous le nom général de “isrâ’îliyyât“), qu’il s’agisse de passages du texte biblique, ou d’autres traditions (haggada, homélies…). (Soit dit en passant que parfois, dans le cas des récits coraniques qui renvoient à des événements propres à la péninsule arabique, il s’agit de se référer à des traditions arabes préislamiques, pour les mêmes raisons : ainsi en est-il du récit de l’installation de Ismaël à la Mecque.) Il est à noter que si le Coran renvoie à des passages de textes bibliques, et s’il s’agit parfois de textes jugés “canoniques” par les autorités religieuses, il s’agit aussi, d’autres fois, de textes qu’elles ont décrétés “apocryphes” : ainsi, l’allusion coranique au tirage au sort par lancer de calame pour désigner à qui devait revenir la garde de Marie encore enfant (Coran 3/44) renvoie à un texte chrétien “apocryphe” (Yussuf Ali) ; l’allusion au miracle de l’oiseau de glaise réalisé par Jésus (3/49, 5/110) renvoie à l’Evangile de l’Enfance (Hamidullah), également “apocryphe”…
Mais parallèlement à tout cela, le Coran se différencie du texte biblique, et ce non pas seulement parce que parfois il contredit formellement certains détails de son récit (comme nous l’avons vu plus haut) mais aussi dans la mesure où les détails bibliques que lui, le Coran, ne contredit ni ne confirme, ne l’engagent pas : dès lors, quand on s’aperçoit, à la suite de recherches scientifiques, que certains de ces détails (comme la période depuis laquelle des humains habitent la terre, l’ampleur du Déluge, le nombre des israélites ayant quitté l’Egypte avec Moïse, la façon dont ils se sont installés en Canaan, etc.) sont erronés, lui n’est pas impliqué.
Tout ceci concerne, rappelons-le, les rapports entre les récits coraniques et bibliques. Car pour ce qui est des croyances et des règles, le musulman ne se réfère qu’au Coran (lire à ce sujet le point 3 de notre article à propos de la Bible).
Wallâhu A’lam (Dieu sait mieux).
Le Coran parle du “Sâmirî” vivant à l’époque de Moïse. “Mais Samarie n’existait alors pas !”
Le Coran relate que, pendant que Moïse (sur lui soit la paix) était allé au Sinaï accompagné de quelques disciples et que le reste des fils d’Israël étaient restés sous la direction de Aaron (sur lui soit la paix), un homme, le “Sâmirî”, invita ceux-ci à adorer un veau d’or qu’il avait fait fabriquer (Coran 20/85, 87, 7/152) ; un certain nombre d’entre eux – pas tous (cf. Bayân ul-qur’ân, 1/32, Ar-Riwâyât en note de bas de page) – tombèrent dans le piège.
“Sâmirî” étant communément traduit par “samaritain”, l’objection qui est souvent faite ici est que d’une part le peuple samaritain n’existait pas encore à l’époque de Moïse ; d’autre part l’appellation “samaritain” elle-même n’a pas de sens avant les X-IXè siècles avant J.-C, période pendant laquelle Omri, roi d’Israël, fonda la ville de Samarie.
Mais en fait différents avis existent quant à ce que signifie le nom “Sâmirî” ici :
A) le nom “Sâmirî” est une désignation qui s’applique à tout un groupe de personnes, et cet homme, nommé “Sâmîrî” dans ce passage coranique, faisait à l’origine partie de ce groupe ; ensuite apparaissent ici deux avis :
A.a) ce nom signifie : “Samaritain” ; en fait les Samaritains existaient bel et bien avant la fondation de Samarie : ce sont les descendants des tribus issues de Joseph. N’ayant pas connu l’exil en Babylonie, les gens de ces tribus demeurèrent sur place, et, plus tard, les autres tribus des fils d’Israël, retournées, elles, de l’Exil babylonien, les nommèrent “Shomronim” (”habitants de Samarie”), tandis qu’eux-mêmes préfèrent se désigner comme étant les “Shamerim” (”gardiens”, “observants”) (islamic-awareness.org) ;
A.b) ce nom “Sâmirî” signifie : “d’origine sumérienne” (Abu-l-Kalâm Azâd, cité dans Qassas ul-qur’ân 1/501-502) ;
B) dans ce verset, ce nom “Sâmirî” renvoie non pas à un groupe de personnes mais à cet individu particulier, celui qui a fabriqué le veau d’or :
B.a) soit le nom signifie : “gardien” (Traduction du Coran en anglais par Yussuf Ali, note n° 2608) ;
B.b) soit le nom vient d’un terme de l’égyptien ancien qui signifie : “étranger” (Ibid., note n° 2605 ; Yussuf Alî cite le Egyptian Hieroglyphic Dictionary).
A propos de l’avis A.a : Cet avis part de la recherche selon laquelle le peuple dit “samaritain” existe depuis fort longtemps et selon laquelle les ancêtres de ce peuple étaient présents aux côtés de Moïse ; ce n’est que plus tard que, restés sur place sans avoir connu l’Exil, leurs descendants furent déconsidérés par les israélites retournés d’Exil ; il est donc faux de dire que le peuple samaritain n’existait pas durant la vie de Moïse.
Autant cette recherche est intéressante, elle ne répond cependant pas entièrement à l’objection susmentionnée. Le fait est qu’elle montre que le peuple qui serait plus tard nommé “samaritain” existait déjà – elle dit qu’il est constitué des descendants des tribus issues de Joseph –, et répond donc entièrement à la première partie de l’objection (”Le peuple samaritain n’existait pas durant la vie de Moïse“). Par contre, selon notre humble compréhension, elle ne répond pas à la seconde partie de la question (”L’appellation “Samaritain” n’était alors pas connue“) : elle n’établit en effet pas que, depuis l’époque de Moïse, les gens de ces tribus aient été désignés par le nom “Samaritains”. Même à considérer – comme le suggère la recherche – qu’en réalité le nom n’est pas “Shomronim” (”habitants de Samarie”/ “Samaritains”) mais “Shamerim” (”observants”), la question demeure de savoir quelle raison y avait-il à ce que, depuis l’époque de Moïse, les hommes appartenant aux tribus joséphoises soient désignés par ce nom spécifique, qui les distinguait du reste des fils d’Israël ?
La même question se pose à propos de l’avis B.a : pour quelle raison cet homme a-t-il été nommé “gardien” ?
Dans l’expectative d’une réponse à cette question, nous nous en tenons pour le moment à la préférence de Cheikh Syôhârwî, qui va à l’avis de Abu-l-Kalâm Azâd [avis A.b] : le mot “Sâmirî” signifierait dans ce verset : “originaire de Sumer”.
Abu-l-Kalâm Azâd écrivait à son époque (14è siècle hégirien / XXè siècle chrétien) qu’“actuellement encore, en Irak, un restant de (ce peuple) est appelé par ce nom” ; il écrit encore : “L’habitat des tribus sumériennes fut l’Irak, mais (certains individus) étaient allés s’établir jusqu’à des contrées lointaines. L’existence de relations entre eux et l’Egypte est établie jusqu’à la fin du second millénaire avant Jésus. Il semble donc qu’un individu de ce peuple ait apporté foi en Moïse, et que, lorsque les fils d’Israël vécurent l’Exode, il partit avec eux. C’est lui que le Coran a désigné par le nom “as-Sâmirî”. Le culte de la vache, du bœuf et du veau avait cours chez les Sumériens et chez les Egyptiens” (cité dans Qassas ul-qur’ân 1/501-502).
Wallâhu A’lam (Dieu sait mieux).
Votre vidéo [b]Plumett[/b] montre Ahmadinejad parlant sans parler, il prétend prôner le mouvement de paix mais là où il se trahit, c’est en parlant de l’armée nécessaire…
Ce président iranien a été dénoncé par de nombreux pays pour ses propos relativisant l’Holocauste et prônant la disparition de l’Etat d’Israël.
[b]Samir[/b], le lien ([email protected]) n’est plus bon, mon message a été perdue. Pouvez-vous faire passer mon courrier ? (je l’ai copié en commentaire plus haut)
Sandrine Martin, et bien quel travail ! Vous donnez beaucoup d’infos à chaque fois, je ne sais pas si on a le temps d’intégrer, mais le temps presse pour un changement mondial.
Donc il ne faut pas supprimer les livres sacrés mais les « réécrire »…
[i]Dieu a, dans Sa Parole qu’est le Coran[/i], relaté des événements historiques auparavant rapportés par des hommes non-prophètes.
[b]faux faux faux ! La PAROLE DE DIEU C’EST LA BIBLE ET PAS LE CORAN !
le Coran dit que Dieu n’a pas de fils et
la bible dit qu’il en a un !!!!!!!!!!!!!!![/b]
»
Jean Chapitre : 14
[b]6 Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
7 Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l`avez vu.
8 Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
9 Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m`as pas connu, Philippe! Celui qui m`a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père?
10 Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c`est lui qui fait les oeuvres.
11 Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres. « [/b]
Véritas ! Jésus ne demandait pas à ce qu’on le prenne pour Dieu ! Il ne demandait pas à ce qu’on l’idolâtre ! il parlait au nom de tous ! Pour ne pas dire « vous », il s’impliquait totalement en disant « je » !
Quand Jésus disait : « Nul ne vient au Père que par moi », il parlait du Soi, que nul ne pouvait aller vers Dieu, son père intérieur que par soi-même ! Il parlait pour lui-même en espérant être un exemple car il ressentait sa vérité comme La Vérité !
C’est comme ça que je l’interprète.
Les paroles de Jésus sont fortes mais encore faut-il les interpréter correctement ! Je ne dis pas que j’ai la bonne inerprétation mais elle me semble plus juste. Jésus était un prophète hors-pairs qui a parlé au nom de l’Energie Divine, l’Energie Universelle qui coule dans nos veines et en Notre Esprit !Jésus était une kuan Yin ! Il était si compatissant qu’il n’a pas eu peur de se mêler aux flammes de l’enfer pour y apporter la lumière aux brebis égarées conscientes ! L’enfer, il est sur Terre, à nous de regagner notre paradis.
Qu’est-ce que le mal ? Sadhou sundar SINGH
Qu’est-ce que le mal ?
1. « Le mal est contre nature, il est en contradiction avec la loi de notre être » (Whichcote).
« Tout mal est accompli en vue d’obtenir quelques biens; personne ne fait le mal pour faire le mal.»
Aucun homme sensé, ayant les yeux ouverts, ne cherche à se faire du mal à lui-même, si mauvais et perverti soit-il. Le mal n’est pas un attribut inhérent à quelque créature de Dieu que ce soit. Le mal détruit l’homme. Son effet empoisonné travaille à la destruction des hommes, mais à la fin, il se détruira lui-même pour l’éternité. La permanence éternelle est intimement unie à la bonté, qui est un des attributs du Dieu éternel. Si le mal était l’attribut d’un être éternel, il pourrait lui aussi être éternel. Si nous disons que le mal est un attribut de Satan, cela est faux, car Satan lui-même a été créé innocent, et sa condition de méchanceté présente ne lui est venue que par l’exercice de la liberté. Ainsi, puisque le mal n’est pas éternel – ayant eu un commencement, il doit avoir aussi une fin – nous devons en conclure que le mal cessera, et nous pouvons d’autant mieux dire cela qu’il est « self destructif » par définition.
2. Un philosophe chinois, ChuFuTsu, a écrit qu’« à sa naissance l’homme est semblable à une source d’eau claire qui, dans sa course à travers montagnes et plaines, entraîne terre et boue, et souille sa propre clarté ; mais, si ce cours d’eau est endigué en un certain endroit, la terre et la boue tombent au fond de son lit, et son eau devient de nouveau claire ». Mencius a dit: « L’esprit est semblable à un grain de blé qui, par nature, n’est pas mauvais, mais, lorsqu’il est semé, il devient dépendant du terrain, de l’eau, de l’engrais et de toutes les conditions de son milieu. En d’autres termes, l’homme est bon par nature et par naissance, mais son milieu le rend mauvais. »
Vues d’un certain angle, ces assertions paraissent justes, mais nous ne pouvons cependant nier l’infection héréditaire du péché qui se révèle dans l’attrait que nous éprouvons pour le mal. Examinons un instant le cas des enfants que nous disons innocents. Herbert Spencer a dit : « L’idée populaire que les enfants sont innocents est juste au point de vue de la connaissance du mal, mais elle est absolument fausse en ce qui concerne les impulsions mauvaises. Une demi-heure d’observation dans la chambre de jeux des enfants fournira la preuve de ce que j’avance. »
3. Quand l’âme d’un homme est affamée et assoiffée, et que dans son ignorance il essaie de se satisfaire lui-même en commettant le péché, il ne réussit, en désobéissant à Dieu, qu’à faire disparaître son appétit spirituel et à se détruire lui-même, sans obtenir la satisfaction qu’il recherche. Un jour, dans l’Himalaya, un voyageur affamé trouva un fruit magnifique qui le tenta. Il le mangea avec avidité, Mais, hélas ! c’était un poison qui provoqua la mort de celui qui avait cherché lui-même à soulager sa faim. Sans le vouloir, cet homme mit fin pour toujours au besoin qui le tourmentait.
4. Toute blessure et toute maladie provoquent un combat dans le corps entre les différents microbes qui sont la cause de la santé ou de la maladie. Ce sont ceux qui se multiplient et se développent le plus rapidement qui gagnent la bataille. Si les germes de la maladie sont battus, la santé du corps est assurée. De même, dans le conflit entre les bonnes et les mauvaises pensées qui sont en l’homme, si dans les heures de tentation les premières sont victorieuses des dernières, le résultat est la santé spirituelle et la vraie joie.
Le temps viendra sûrement où, par la grâce de Dieu, les hommes remporteront une victoire absolue et éternelle sur le péché, et le péché sera effacé pour toujours.
véritas des qu’un musulman interviens dans le sujet , tu te répète et tu faisons dirais que tu fais des copier coller de tes ancien message, tu es tellement limiter dans tes discours et argument, sérieux les personne comment a voir ton pêtit jeu tu n’a aucun argument personnel.
j’ai trouver un truc pour toi véritas
http://www.youtube.com/watch?v=fulBCXAxCVQ
INTOX, Sandrine! Les iraniens d’Iran aiment leur pays tel qu’il est, les iraniens d’occident sont manipulés par les sionistes et les impérialistes qui voudraient installer leur régime là-bas.
les SIONISTES ont infilté le Pentagone et peu à peu les gouvernement d’Europe, ils contrôlent une politique étrangère criminelle, honte à tous ceux qui les soutiennent!
VIVE la résistance conte les sionistes et l’impérialisme!
SIGNEZ LA PETITION EN FAVEUR DES ENFANTS DE FALLUJA POUR QU’IL N’ARRIVE PAS LA MEME CHOSE AU ENFANTS D’IRAN!
http://www.guardian.co.uk/world/2009/nov/13/falluja-cancer-children-birth-defects »
rel=nofollow
http://libertesinternets.wordpress.com/2009/06/20/en-iran-la-rue-citadine-est-moussawi-mais-le-village-populaire-est-ahmadinejad/
http://www.alterinfo.net/notes/Le-president-Ahmadinejad-un-mouvement-nouveau-a-commence-a-liberer-le-monde-de-la-domination-de-quelque-pouvoirs-de-l_b1733830.html
http://fr.altermedia.info/general/la-cia-et-le-laboratoire-iranien_24097.html
Nathalie, cette analyse du Coran n’est pas un travail innocent, c’est de l’anti Islam pur et dur, de l’intolérance! Laissez donc les musulmans tranquilles, Sandrine, occupez-vous plutôt de dénoncer les hommes criminels en France qui tuent leurs femme! une meurt tous les deux jours et demi!
liens de plumett :
[url]http://www.guardian.co.uk/world/2009/nov/13/falluja-cancer-children-birth-defects »
rel=nofollow [/url]
[url]http://libertesinternets.wordpress.com/2009/06/20/en-iran-la-rue-citadine-est-moussawi-mais-le-village-populaire-est-ahmadinejad/ [/url]
[url]http://www.alterinfo.net/notes/Le-president-Ahmadinejad-un-mouvement-nouveau-a-commence-a-liberer-le-monde-de-la-domination-de-quelque-pouvoirs-de-l_b1733830.html [/url]
[url]http://fr.altermedia.info/general/la-cia-et-le-laboratoire-iranien_24097.html [/url]
Lien de monoxygène :
[url]http://www.youtube.com/watch?v=fulBCXAxCVQ[/url]
Pour mettre vos liens en bleu de manière à ce qu’en cliquant dessus on arrive directement sur le site, il vous suffit de cliquer sur la planète bleu et de copier le lien au milieu.
Merci Nathalie. Le premier lien, pour signer la pétition en faveur des enfants de Falluja ne semble pas fonctionner, j’en mets un autre, celui là est valable je viens de le vérifier. Peut-être que c4n peut la mettre en ligne?
http://irakiennes.blogspot.com/2009/11/crime-de-gurre-falluja-endorse-petition.html