Pauvre Monsieur Mélenchon …

 

Pauvre Monsieur Mélenchon !!!!

Deux jours avant la primaire socialiste, soit le 7 octobre, Monsieur Jean-Luc Mélenchon ne craignait pas de se ridiculiser en écrivant ceci sur son blog:

" Maintenant, retenez votre souffle jusqu’au vote des primaires ! Quel suspens ! Mais, ensuite, n’oubliez pas de respirer ! De toute façon, il le faudra bien. Car, aucun des problèmes soulevés ne redescendra avec la poussière ! "…

ET PUIS:

Deux jours après le premier tour de la primaire socialiste, mardi 11 octobre, Jean-Luc Mélenchon se frotte les mains :

 "Je ne pensais pas que la semaine serait aussi favorable: nos positions ont été désenclavées et nos mots ont été portés par d’autres".

Lui qui veut que tous le personnel politique "s’en aille", SAUF LUI bien entendu, nous donne le plus bel exemple qu’il soit de récupération politicienne de grande envergure.

Sans compter que lui, qui se "désintéressait" des ces primaires, s’est empressé de répondre publiquement à une lettre d’Arnaud Montebourg qui ne lui était pas destinée.

Et comme ce monsieur aime bien avoir les chevilles enflées, il a terminé ( provisoirement) avec une tirade d’une originalité extrême:

"Vous avez aimé Montebourg à la primaire socialiste ? Vous allez adorer Mélenchon à la présidentielle !".

 

C’était ma chronique:  "Quand Mélenchon se rêve en femelle coucou !"

 

il l’imite d’ailleurs très bien ! :

 

 

 

5 réflexions sur « Pauvre Monsieur Mélenchon … »

  1. Ce matin, 14 octobre, Monsieur Mélenchon a atteint le degré zéro de la déclaration politique.

    Quelques jours seulement après nous avoir indiqué:
    « Vous avez aimé Montebourg à la primaire socialiste ? Vous allez adorer Mélenchon à la présidentielle ! ».

    Il en vient à cette déclaration confondante, à la hauteur sans doute de son dépit:

    «Ce matin, (Arnaud Montebourg) a choisi la couleur de sa cravate, qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse… Moi j’ai choisi la mienne: elle est rouge!»

    jf.

  2. Pas Mélenchoniste, je continue mon inspection…
    Et ne vous plaignez pas, je vous mets une visite de plus.
    Et ne vous fâchez pas pour si peu !

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