De toute évidence, si le bébé pleure parce qu’il a faim, il faut lui donner le sein ou le biberon. Si sa couche est mouillée, il faut la changer. Le froid, la chaleur, le bruit sont aussi des petits embêtements dans la vie d’un bébé qui le poussent à pleurer. Toutefois, pour certains bébés, le simple fait de se sentir rassurés les calme.
C’est en prenant le temps d’écouter les divers cris et pleurs qu’on arrive à déceler les différentes tonalités qui nous traduisent les propos de l’enfant. Il faut que les parents se posent tout le temps des questions lorsque leur enfant commence à pleurer ou à pousser des cris.
Quand les parents réagissent vite et mettent en confiance et en sécurité leur bébé dès le début de sa vie, cela jouera plus tard sur son état d’esprit, ils vont en faire un enfant sûr de lui, confiant… Cependant, il faut garder à l’esprit qu’intervenir ne veut pas dire forcément réussir. Malgré toute votre bonne volonté, il se peut que votre bébé continue de pleurer. Et ce ne sera pas un drame !
Une certaine quantité de pleurs est nécessaire à son bon développement. Ne serait-ce que pour évacuer toutes les tensions accumulées au cours d’une journée. Pleurer fait baisser la tension artérielle, élimine les toxines, relâche les tensions musculaires et rétablit la respiration. Alors si rien n’apaise le bébé, il faut le laisser pleurer, c’est qu’il en a besoin. Bref, il faut tout faire pour éviter d’être à bout de nerfs, parce que vous pourriez devenir agressif.
Se faire confiance, pas de précipitation, aller à son rythme, se faire aider, créer un climat serein. Les mères et les pères doivent aussi apprendre très rapidement à prendre un peu de temps pour eux. Les parents ne sont pas continuellement à la disposition du bébé.