Pâques approche : poules et lapins semblent perdre le fil

 Au vu des rayons des magasins, Pâques semblerait perdre de sa valeur. Fête commerciale ô combien attendue par les marchands, fête des cloches pour les enfants, fête appréhendée par les parents. Et ce n’est un secret pour personne, le chocolat coûte cher.

En tant de crise, les petits oeufs de Pâques tombent décidément bien mal. Qui plus est, les boutiques semblent ne plus accorder la même importance qu’auparavant à cette tradition.

Mais Pâques, à quoi cela rime-t-il ?

Il s’agit de célébrer la résurrection du Christ, auquel cas nous parlons d’une fête chrétienne. Elle marque, pour les catholiques, la fin du jeûne du Carême. En effet, le Vendredi de Pâques, appelé Vendredi Saint, précède les festivités. Hormis les chocolats et le passage des cloches, l’agneau pascal reste un symbole significatif de Pâques.

Cette célébration aurait-elle perdu de son impact ?

Que nenni ! Pâques propulserait d’ailleurs les ventes de chocolat ! Et pourtant, beaucoup de rayons sont vides. Poules et lapins semblent perdre le fil. A moins que ce ne soient les enseignes commerciales.

Malgré tout, petits et grands se réjouissent à l’idée de remettre le couvert quatre mois après Noël. Les plus grandes marques proposent des cornets, boîtes, coffrets, de toutes les tailles et pour tous les goûts. Blanc, noir, au lait, avec ou sans clochette. C’est toujours un véritable casse-tête pour trouver quel chocolat offrir et à qui. Qu’il y ait un vaste choix à l’entrée des magasins, ou qu’il soit restreint et condamné à un demi-rayon, la question demeure entière : "Que vais-je bien pouvoir offrir à un tel et un tel ?"

Heureusement, vous saurez bientôt si vos chocolats font plaisir ou non. Pâques approche à grands pas. L’occasion de se réunir en famille autour d’un bon repas, que l’on soit croyant ou non, et de s’apercevoir de la richesse qu’apportent les proches. Et surtout, attention à la crise de foie !