Ou est la gauche à l’heure de la tourmente économique ?

Un dossier du Monde diplomatique

par Serge Halimi, Laurent Bonelli.

 

C’est sur plusieurs pages du Monde diplomatique du mois de novembre 2011 qu’est développée à cette cruciale question, ou plusieurs rédacteurs sont intervenus. Il est évident que la gauche dont les objectifs habituels sont à l’opposé de ceux de la droite, se trouve par la conjoncture économique coincée par la crise, réduisant ses marges de manœuvres. Bien qu’elle sache se montrer plus économe que la droite, plus sérieuse aussi par ce qu’elle ne se croît pas comme elle investie d’une gouvernance perpétuelle dans ce pays dominé par la religion catholique qui n’a pour les pauvres que des œuvres humanitaires. Elle doit être prudente de ne pas trop s’avancer dans des promesses qui compromettraient sa gouvernance, mais elle doit aussi faire au mieux pour plus de justice. On sait très bien que la gauche est divisée, et est mue par des courants idéaux dont le pragmatisme n’est pas la raison principale. Prenons l’exemple des exigences écologiques, les Verts. Arrêter l’EPR serait catastrophique de même que nos centrales qui ne se rayent pas d’un coup de crayon. Outre le fait de perdre les énormes sommes investies, il faudrait en investir d’autres pour l’entretien. Et puis sait-on réellement ce qui se passe du coté d’Aréva, le «nomber one» au monde de l’énergie nucléaire se trouve en grande difficultés par la politique d’abandon de cette énergie. Des licenciements sont prévus mais aussi la vente de filiales. C’est plusieurs milliers de personnes au chômage. Cela fait presque 30 ans que l’on ne construit plus de réacteurs en France et nous perdons notre savoir faire, ceux qui savaient sont à la retraite.

 

La droite n’a pas ce problème, pragmatique elle sait très bien que la richesse d’un pays se mesure à son nombre de KWH produits et consommés.

 

Le monde après des tentatives socialistes, communistes, non pas qu’elles étaient sans intérêt, mais l’égoïsme humain, la possession d’une richesse qui est dans la nature de l’homme à fait qu’il est finalement gouverné par le libéralisme avec un gouvernement mondial essentiellement de droite, voir ici «Des Chevaliers de la Table Ronde au gouvernement mondial,». «L’effondrement du bloc communiste a pratiquement anéanti l’idée d’une autre voie que celle de l’économie de marché. Les transformations du capitalisme financiarisation, transnationalisation, et celle du salariat ont également compliqué la question», de Laurent Bonelli. Il y a plus d’égoïsmes dans notre monde que de partages. Il est donc difficile pour des socialistes de faire comprendre que leur idéologie est finalement celle qui s’impose.

 

La gauche n’a pas de levier pour agir à imposer ses vues, elle ne peut le faire que sur les erreurs de la droite. Il y a bien l’Internationale Socialiste, IS, dont le président est Georges Papandréou dont on connait les exploits, bien que Serge Halimi écrive, que pour plaider la cause de Papandréou, la députée socialiste Grecque Elena Panaritis à même osé recourir à une référence renversante, «il a fallu onze ans à Margaret Thatcher pour mener à bien ses réformes dans un pays qui avait des problèmes structurels moins importants. Notre programme a été mis en place seulement en moins de quatorze mois». En résumé Papandréou mieux que Thatcher ! Que faire avec des socialistes de cette envergure ? Bien, mais c’est oublier ce qui se passe en Grèce ou la vie de beaucoup est devenue misérable. Le dossier sur France 2 d’envoyé spécial sur la Grèce du jeudi 10 novembre est révélateur.

 

De ce fait, au niveau de l’Europe des 27 et de ceux de la zone Euro, dominées par la droite, un gouvernement socialiste ne peut être qu’en difficulté sauf s’il met en application certaines pratiques de la droite ce qu’il n’hésita pas à faire le gouvernement Jospin. De même, lorsque Mitterrand appliquant les 110 propositions dévalua le franc deux années après son élection, l’économie l’obligea. C’est tout le paradoxe de la gauche par le fait qu’elle se met en porte à faux par rapport à son idéologie. De même, quand elle est pour une Europe fédérale, elle ne se rend pas compte que c’est le meilleur moyen de perdre son idéologie et son indépendance. L’Europe n’est pas socialiste.

 

François Hollande n’a pas d’autres choix, l’Allemagne fera opposition aux euros bonds, la BCE est indépendante, elle n’achètera de la dette que si elle le veut, elle l’a déjà fait, voir ci-dessous, et pour agir, il lui faudra modifier les statuts de l’Europe, ce que l’Allemagne actuelle n’acceptera pas. Et même, entre socialistes Français, il est difficile de comprendre ce qui les articule. «Lors des primaires socialistes, il fallait une bonne dose de connaissance pour comprendre le ralliement de Montebourg à François Hollande, avec lequel il est en désaccord sur presque tout. Alors que Benoit Hamon largement d’accord avec Montebourg, soutenait Martine Aubry avec laquelle il ne partageait quasiment rien. La désaffection des milieux populaires vient peut être aussi de cela», de Laurent Bonelli.

 

2Serge Halimi écrit, «faute, par exemple d’une remise en cause de l’indépendance de la BCE, les traités Européens ont garanti que sa politique monétariste échappait à tout contrôle démocratique, faute d’un assouplissement du pacte de croissance, qui en période de crise asphyxie une stratégie de lutte contre le chômage.….». En fait ce n’est pas exact comme le montre le graphique ci-contre. La BCE en baissant le taux directeur à 1,25 % desserre l’étau sur l’Italie. En outre, elle est intervenue pour soutenir les dettes souveraines, acquérant depuis août plus de 8 milliards d’euros de titres Italiens et Espagnols, ce qui permit de limiter la hausse des taux d’emprunts de ces États. En octobre l’Italie a emprunté plus de 111 milliards d’euros, soit trois fois le montant de juin, source Les Échos.fr .

 

Le problème que les électeurs de gauche attendent d’elle est un retour quasi immédiat de leur vote ce qui n’est pas toujours possible, et ça l’est encore moins maintenant. Pourquoi, par ce qu’ils ont trop soufferts de la politique de droite, et qu’ils ne savent plus attendre acculés à la misère. Ce fait eut pour conséquence la perte de l’électorat populaire tourné vers des promesses les démagogiques du FN qui firent perdre aux socialistes deux fois de suite les élections législatives et présidentielles. Cette situation fit que, par exemple la loi sur les 35 heures qui était une avancée sociale sans précédent combattue farouchement par la droite, dont elle tira profit électoralement sans compter le coté financier pour les entreprises manifestement masqué, elles n’allaient pas déclarer que cette loi était finalement bonne pour leur gestion et leurs finances. Non sans défaut, cette loi ne créé pas les compétences immédiates, pour suppléer à la baisse des heures non travaillées par des salariés par, d’autres sans formations adaptées. Elle méritait d’être revue pour être adaptée à une réalité industrielle. Les salariés n’acceptèrent pas la perte de salaire par la réduction des heures de travail, pour des congés, bien qu’elles fussent génératrices d’emplois. Cet égoïsme fit le lit de la droite. La gauche perdant les élections ne put réparer sa loi qu’elle avait eu de grandes difficultés à faire passer. Seulement, comme bien souvent, la gauche ne peut poursuivre ce qu’elle fait, la droite, sur cette lancée dans la loi TEPA, défiscalisa les heures sup qui coûtent une fortune, mais pas au patronat, et qui ne font qu’augmenter notre déficit et le nombre de chômeurs. Les salariés ont fait leur malheur de ne pas avoir soutenu cette loi, voila la grande difficulté d’un gouvernement de gauche, le manque de sagesse de son électorat populaire.

 

Comme l’écrit Serge Halimi, «une défaite électorale de la gauche déclenche en général la mise en œuvre par la droite un arsenal de réformes libérales, privatisations, réduction des droits des syndicats, amputation des recettes publiques, qui détruisent les outils d’une autre politique». D’où le «vote utile». Mais il écrit également, la défaite peut comporter des vertus pédagogiques citant Benoit Hamon qui, prenant exemple sur l’Allemagne, concède «que le résultat des élections législatives en septembre 2009, qui valurent au SPD son plus mauvais score, 23 % des suffrages depuis un siècle, a convaincu le gouvernement à changer de direction». De même, il écrit, «la gauche de gouvernement, c’est son atout maître, disposant de troupes électorales et de cadres impatients qui lui permettent d’assurer la relève. Battre la droite ne tient pas lieu de programme ou de perspectives. Les structures en place, nationales, internationales, risquent de faire barrage à la volonté de changement», et là il rejoint ce que j’ai écrit plus haut. Citant, pour appuyer son propos, Barack Obama qui a pu, ainsi prétendre que des lobbies industriels, et l’obstruction parlementaire des républicains avaient sapé un volontarisme et un optimisme, à «yes we can», pourtant entériné à une large majorité.

 

L’autre grande difficulté pour un gouvernement qu’il soit de droite ou de gauche est l’influence des agences de notation sur le taux d’emprunt, et par voies de conséquence dans l’ingérence politique des États. La droite n’a pas de complexe à faire des plans d’austérité les uns à la suite des autres, afin d’éviter une baisse de notation de notre cote triple A qui conduit comme pour la Grèce, l’Espagne et l’Italie à de plus grandes difficultés de remboursement, par une croissance nulle. C’est le choix de la misère, par l’austérité pour réduire la dette, plutôt que celui qui lui ferait perdre immédiatement les élections en 2012 par un déclassement. Elle peut ainsi électoralement toujours prouver qu’elle a bien fait, alors que dans le cas contraire c’est fichu. C’est un pari risqué car c’est aussi donner à la gauche une plus grande marge de manœuvre, car pour qu’elle puisse appliquer son programme il faut que notre dette soit réduite.

 

Étant principalement à l’origine de la dette qu’elle a accrue de 90 milliards d’euros depuis dix ans, elle fait payer principalement aux classes laborieuses la facture de son idéologie politique. La gauche n’étant pas responsable de la situation actuelle, se doit de réparer cette injustice en appliquant son programme par une réduction des avantages offerts aux plus aisés sur les niches fiscales, mais aussi par une plus juste répartition de l’effort national au niveau des impôts. Ce programme est bien entendu contraire à la politique des agences de notation qui pourraient simplement par ce qu’il y aurait un changement politique droite gauche, abaisser la cote «triple A» de la France ou augmenter son taux d’emprunts à dix ans jugeant que la politique menée n’est pas ce qu’elles souhaitent. Pour le taux d’emprunts, c’est déjà le cas. Notre différentiel avec l’Allemagne s’accroît du double, quant au triple A, ce serait déjà fait de façon implicite pour Jacques Attali.

 

Ce serait bien sûr une ingérence intolérable mais qui est difficile à combattre dès lors que l’on a besoin d’argent en faisant appel aux banques. La première chose est donc de réduire la dette.

 

Pour cela la solution serait la suppression de l’article 25 de la loi de N° 73-7 du 03 janvier 1973 sur la Banque de France reprise par l’article 104 du traité de Maastricht et l’article 123 du traité de Lisbonne. Elle interdit au Trésor Public d’emprunter directement à la Banque de France à un taux d’intérêt faible ou nul, comme il en avait jusqu’alors le droit. Les gouvernements doivent dès lors trouver d’autres sources de financement, principalement en empruntant à des taux d’intérêts plus élevés aux banques privées ou encore par des emprunts nationaux. Cette loi qui avait pour argument de combattre la dévaluation progressive de la monnaie corrélative à l’argument inflationniste, agit maintenant par suite de la crise à l’appauvrissement des Français et à l’ingérence des banques.

 

Quel est l’intérêt d’avoir une banque de France riche et son peuple misérable ?

 

Pour terminer sur une note optimiste, la conclusion de Serge Halimi s’impose, «une course de vitesse est engagée entre le durcissement de l’autoritarisme libéral et l’enclenchement d’une rupture avec le capitalisme. Celle-ci paraît encore lointaine. Mais quand les peuples ne croient plus à un jeu politique, dont les dés sont pipés, quand ils observent que les gouvernements se sont dépouillés de leur souveraineté, quand ils s’obstinent à réclamer la mise au pas des banques, quand ils se mobilisent sans savoir ou les conduira leur colère, cela signifie malgré tout que la gauche est encore vivante».

 

13 réflexions sur « Ou est la gauche à l’heure de la tourmente économique ? »

  1. [b]Et pourquoi pas : l’injustice est de gauche, les masses laborieuses sont de droite, l’autoritarisme est de gauche, c’est usant à la fin cette façon d’asséner ce genre de slogan péremptoire …
    Par ailleurs la mise au pas des banques est souhaitée par tous sauf les « CAC40 » (la gauche n’est pas bien placée pour exiger cela, compte tenu de son histoire disons chaotique)
    Vous confondez les CAC40 et le peuple de droite qui considère que c’est l’individu qui doit être privilégié et non le magma informe d’une société à déresponsabilité illimitée. Les groupements d’individus peuvent se faire par libre choix et non par la contrainte de lois « nomenclaturistes » dont on sait ce qu’elles provoquent.
    Enfin le capitalisme n’est pas de droite: c’est une absurdité![/b] [b]La gauche n’a pas le monopole des « bonnes pensées » particulièrement unique, l’Histoire a démontré à l’envie les horreurs de certains systèmes issues de la pensée de gauche.[/b]

  2. [b]zelectron[/b] bonsoir,

    Je vois pas dans l’article que j’ai écrit ce que vous écrivez.

    Il serait bon que vous précisiez votre propos afin que je puisse répondre.

    Merci.

    Bien à vous,

    Anido.

  3. Le PS a incontestablement fait un pas vers plus de clarté au cours de ces derniers mois (ça m’arrache la langue de le dire, mais quand il faut…).
    Abolition de la réforme des retraites Sarkozyste.
    Abolition d’un certain nombre d’autres réformes Sarkozystes.

    Cependant, il lui reste à mon avis beaucoup à faire pour regagner la confiance des Français en général et la mienne en particulier.

    Quid des privilèges des élus ?
    Quid des salaires excessifs des grands patrons ?
    Quid du cadeau fiscal inutile fait à la restauration ?
    Quid de pas mal de choses encore, mais reconnaissons tout de même qu’il y a eu quelques pas dans le bon sens.

  4. [b]@anidom nidolga
    En attendant une réponse à v/dem de précision[/b]
    [b]Je crois que l’expurgation des 5 ou 10 plus hauts revenus des banques aurait été une mesure salutaire plus qu’aucune autre, dans la mesure ou les successeurs de ces « martyrs de la finance » auraient fait très attention à ne pas franchir les lignes et ce au titre de leur responsabilité coupables ou non ! Il ne s’agit pas de détruire les banques mais de donner un coup de semonce qui s’entende à l’autre bout de la planète, et c’eût été tout à l’honneur de la droite, mais ça reste la plus bête du monde ….[/b]

  5. De la surchauffe à l’incandescence,
    (tit digression concernant notre hein…quand? – décent zélectron)

    Anido, la théorie des bandes en « [b]bold[/b] » est une modélisation des valeurs d’énergie que peuvent prendre les zélectrons à l’intérieur d’un solide dialogue.
    – De façon générale, ces zélectrons n’ont la possibilité de prendre que des valeurs d’énergie comprises dans certains intervalles, lesquels sont séparés par des [i]bandes[/i] d’énergie interdites.

    Considérant cette modélisation nous parlerons de bandes d’énergie. Et, selon la façon dont ces bandes sont réparties, il est possible d’expliquer les différences de « comportement » – appelons les: électrique – entre un i(n)solant, un semi-con_ducteur et un con_ducteur.

    Aujourd’hui le Led,(de l’anglais light-emitting diode: Diode électro_luminescente) de très basse énergie permet d’éviter la surchauffe pendant l’émission du faux-(JE)-ton. (10 fois moins que pour tout autre hein.. quand: décence!)

    notre particulaire_ami est ainsi en surchauffe permanente. D’où cette impossibilité de l’approcher sans distance de réserve au contact du dialogue. 98% de son énergie se dissipant en surchauffe pour seulement 0,2 restant pour nous éclairer… d’où l’écriture en bold: équi_valence de surchauffe incontrôlable .

    sourire

    NB:
    Les zélectrons situés en haut de la bande des [b]bold[/b] ont une énergie de dissipation plus grande, (une longueur d’onde associée plus faible) et une plus forte interaction avec le réseau – cristallin. Chaque fois qu’un électron passe près d’un atome libre d’expression, il subit un [i]retard[/i] de phase qui dépend de la distance entre les atomes que nous représentons. Ce retard de phase se traduit par une diminution de vitesse qui est d’autant plus importante que l’électron est proche du bord supérieur de la bande.
    Quand on augmente l’énergie d’un électron proche du bord supérieur de la bande sa vitesse diminue. Par exemple si on applique un champ électrique qui devrait augmenter la vitesse vers la droite d’un électron libre, ce même champ diminuera la vitesse vers la droite d’un électron situé en haut de la bande. Ceci équivaut à accélérer vers la gauche une particule libre de charge positive. Donc, au lieu de travailler avec ces zélectrons qui ont un comportement « bizarre » on préfère travailler avec des particules imaginaires qui ont un comportement « normal » de particule libre: ce sont ces trous, dans lequel nous remarquons l’absence des zélectrons.

    bien à toi

  6. [b]sourire[/b] bonjour,

    Votre imagination n’a pas de limite, mais permettez-mois de rester en dehors de ce champ de particules pour ne consacrer à des phénomènes physiques plus près de nous.

    Revenons à l’essentiel, je ne crois pas comme le déclare zelectron que le problème soit circonscrit autour des plus hauts revenus, une vue sans maitrise du reste.
    En fait, il n’a pas lu ce que j’ai écrit ou bien ,il n’a pas comprit.
    C’est un article de fond qui marque le paradoxe de la gauche a partir de son passé, il faut bien s’y référer, son avenir nous ne le connaissons pas encore.
    Elle a toujours été plus ou moins en contradiction avec son idéologie et de ce fait elle est mal perçue par ceux qui ne veulent pas comprendre.
    Deux positions s’offrent à elle, si elle veut gouverner, il lui faut être à la fois à droite mais aussi à gauche. A droite par ce que beaucoup de Français y sont, à gauche aussi.
    Comme son idéologie est plus portée vers les classes sociales inférieures qui sont celles que la soutienne le plus, son comportement droitier ne passe pas, et elle se trouve désavouée par son principal électorat.
    Si, elle adopte une position très à gauche comme le sont le Parti de gauche, les communistes et bien d’autres, elle n’a aucune chance de gouverner.

    Le problème des gens de gauche est là.

    Ou bien, ils acceptent que la gauche de gouvernement puisse gouverner et donc faire parfois une entorse idéologique par obligation, le monde n’est pas socialiste, ou bien ils acceptent qu’elle soit une opposition idéologique sans possibilité de gouvernement.

    Ce qui revient à ne voir qu’une gouvernance permanente à droite, qui serait une position confortable pour la gauche, mais stérile.

    J’ai bien montré le problème des 35 heures, il faut lire ce que j’ai écrit, mais je comprends que c’est long et difficile si l’on est orienté.

    Les commentaires doivent être sur l’article et non sur l’idéologie de celui qui les faits.

    Sans cela, un article comme celui là ne sert à rien, si l’on ne répond pas sur ce qui est écrit.

    Bien à vous,

    Anido

  7. chair anido,

    en coup de vent,

    mon trait d’humour , gageure magnétique du vent solaire «sourire», sous votre lune éclairante – pourtant d’une prégnante pertinence – ne peut euh…vie_d’amant produire à cette latitude,., qqles aurores boréales.

    Je caracole à votre analyse en queue de quelques comètes identifiables; cf mes coms répondant à Rui et Tombeur.

    repasserai plus tard m’identifier de façon plus formelle et, qui sait (?), magnétiser de mon souffle souriant l’incandescence naturelle de votre analyse

    bien à vous

    paul le poulpe à l’air « libre » , donc en apnée

    sourire

  8. Faut donner plus de pouvoir au peuple je verrai bien un gouvernement multi partiste comme une union nationale mais je crois que je rêve

  9. Au sujet des centales nucleaire évidement qu’il faut en sortir mais pas d’un seul d’un seul [url]http://www.franceinfo.fr/monde-fukushima/le-demantelement-de-la-centrale-de-fukushima-prendra-40-ans-478283-2011-12-21[/url]

  10. [b]sourire, charly 12[/b],

    Merci pour l’incandescence naturelle de mon analyse, je n’en espérais pas tant.

    Quand à chair, je suis vieux donc avec une peau dure.

    Le pouvoir au peuple, mon Dieu, mêmes les gens sur un même palier ne peuvent se piffer !

    Le désengagement, oui bien sûr, mais quand on peut !

    Pour le reste Dieu y pourvoira.

    Bien à vous,

    Anido

  11. @charly12
    [i]Le pouvoir au peuple[/i], c’est ce qui s’appelle la [b]dictature du prolétariat[/b]. Voir les conséquences à Cuba ou en Corée du nord !
    On a déjà donné, repassez dans quelques générations si vous voulez…

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