Par amour de la poésie, par amour des femmes, je vous écris ces quelques lignes en toute sincérité.

Et je suis intimement convaincu que l’homme n’est rien sans la femme qui lui est destinée.

    Elle fait partie des êtres qui sont capables de vous couper le souffle lorsqu’ils s’approchent trop près de vous.

 

Belle, élancée, une peau aussi lisse que de la porcelaine. Les mots me manquent encore pour décrire son sourire, la façon qu’ elle a de passer la main dans ses cheveux ou de mordiller délicatement ses lèvres…

 

Je vais tenter dans ces quelques lignes de vous parler de cette "beauté légère".

Son visage angélique pourrait en enchanter plus d’un. Une longue chevelure brune qui danse au fil de ses pas, de grands yeux dont la profondeur et la beauté sont comparables à celles de l’océan, le teint pâle, de belles fossettes teintées de rouge et des lèvres pulpeuses qui ne demandent qu’à être embrassées langoureusement. Sa beauté intérieure ou la beauté que j’appelle infuse est toute aussi resplendissante que son enveloppe extérieure. C’est une femme pressée par le temps, pressée par la vie. Souriante mais toujours sur ses gardes, ne vous approchez pas trop près, vous risqueriez de vous brûler les doigts. Une femme entière, vraie et sincère. Une femme.

On peut lire en elle que les épreuves n’ont pas eu raison d’elle. Une battante, qui désarmerait n’importe lequel (homme) d’entre nous.

Une femme qui inspire la confiance, une épaule sur qui compter pour relâcher la pression. Et l’espace d’un moment, se sentir dangereusement mais agréablement proche de cette personne. 

En définitive, un ange tout droit descendu du ciel venu apporter un peu de bonheur dans ce monde de brutes.