Nous les humains, avons tendance à nous soucier que de notre petit bonheur. Le problème n’est pas de vouloir subvenir à notre bien-être, mais plutôt d’élargir Ces besoins de façon exagérée. À la base, nous avons tous des besoins primaires qui se doivent d’être comblés (manger, boire, se laver, etc.) Malheureusement, la chance de pouvoir profiter de nos ressources naturelles à notre guise et d’abuser de nos richesses qui cependant, auraient dû  être inépuisables, semble nous rendre aveugle sur la seule chose qui nous tient en faite en vie; la terre.  

Pour ce qui est de l’eau par exemple, qu’elle soit puisée d’un cours d’eau, des eaux souterraines ou dans un lac, elle provient toujours d’un écosystème forestier. L’eau potable que nous utilisons sert à beaucoup de nos activités quotidiennes comme la lessive, le brossage de dent, le nettoyage de la vaisselle ou pour la boire tout simplement. Elle contribue aussi à l’agriculture et à de nombreuses productions de nos biens. Les forêts sont activent autant dans les fonctions de notre atmosphère que dans les écosystèmes aquatiques. Certes, ce que nous n’en étions guerre au courant c’est que les forêts ainsi que les sols forestiers jouent un rôle essentiel au niveau du maintien et de la protection de nos réserves d’eau douce qui sont si précieuses à notre survie. Plusieurs procédés générés par les forêts et leur sol font en sorte que nos eaux sont filtrés ainsi que purifiés et ces procédés veillent aussi à ce qu’il y est une certaine régularité dans l’écoulement des eaux vers les ruisseaux ou les lacs. Là où est l’importance de protéger nos forêts puisque si nous encourageons la déforestation et que nous ne favorisons pas le reboisement, le risque d’inondation que pourrait engendrer un sol saturé pourrait nous être fatal. Du même coup, l’eau potable est une de nos richesses que nous devons respecter afin de ne pas l’épuiser. Du même sens, les humains autant les animaux, les mammifères, les plantes et notre environnement tout entier ont besoins de cette eau. Nous devrions être complices avec la nature et non son prédateur. Nous devons suivre avec conviction le cycle naturel de la vie  tout en y allant dans un sens logique  puisque si nous y pensons bien, nous sommes tout de même en bas de la hiérarchie. Pourquoi ? Parce que comme l’a si bien dit Hubert Reeves : « Si la terre meurt, les humains meurt, mais si les humains meurt, la terre elle survit ». Quelle belle phrase qui à la fois est totalement véridique et d’autre part tellement logique. Nous dépendons essentiellement de la terre mais elle par contre, n’a pas besoin de nous. Surtout si nous pensons que si nous continuons la dégradation insensé que nous sommes entrain de commettre, l’irréparable pourrait sans doute se produire.


En somme, les moyens de sauver notre planète sont tellement accessibles et facilement réalisables qu’il est presque ridicule de penser que dans la plupart des cas les gens banalisent l’idée de faire le moindre effort. Pourtant il ne s’agit même pas de se transplanter une forêt tout entière dans sa cours ou d’arrêter subitement de boire de l’eau, mais plutôt en adoptant des petites modifications quotidienne à portée de la main qui font en sorte que nous respectons notre environnement. Voici quelques exemples pour préserver les réserves hydriques :

  • Écourter la durée de la douche.
  • Fermer les robinets lorsqu’on se brosse les dents
  • Éviter de laver son entrer l’été ce qui par conséquent, ne donne absolument rien à mon avis.
  •  Si vous n’avez pas de lave-vaisselle, inutile de s’en procurer un.
  • En utilisant l’eau de pluie pour arroser vos jardins et vos plantes.

Outre celles qui peuvent favoriser la protection de nos forêts et de nos sols :

  • Utiliser moins de feuille ou pas du tout pour les choses inutiles.
  • En utilisant des méthodes appropriées pour éliminer vos ordures et vos déchets toxiques ou chimiques.
  • En plantant des arbres au lieu de couper ceux sur votre terrain.
  • En évitant évidemment de jeter des déchets dans notre belle nature.

Tout compte fait, si nous y mettons tous un peu du notre, ceci pourrait déjà changer en grande partie les choses. N’attendons pas d’être au bord du précipice pour tenter un revirement de situation car il sera peut-être déjà trop tard. J’avoue que je n’étais pas un modèle à suivre et certainement pas non plus la plus exceptionnel des Green Peace avant d’écrire ce texte. Une chose est certaine, après plusieurs recherches qui je crois m’ont familiarisées avec la grande et charmante dame qu’est la terre,  je ferai désormais tout ce qui est en mon pouvoir pour améliorer mes habitudes de vie. C’est ce que j’espère de plus, vous y faire remédier.

Source : http://cfs.nrcan.gc.ca/nouvelles/490

                                                                                               

                                                                         Mélanie Gervais

                                                                      Mardi le 28 Avril 2009