Nicolas Sarkozy – s’en va mais garde sa fortune

                       

 Après les commentaires de sa femme « Mme Carla Bruni-Sarkozy », qui a déclaré, dans les coulisses d’un plateau de télévision, quelle faisait partie de la classe moyenne, Monsieur Nicolas Sarkozy, qui dégringole dans les sondages après une campagne électorale sans intérêt a annoncé de façon explicite que, s’il ne recevait pas les votes des français, il quitterait la politique. Une sortie en forme d’ultimatum à la gaullienne qui ne fera pas pleurer un peuple lassé par 5 ans de promesses et une campagne qui se moque bien de l’avenir d’une France qu’il dit vouloir protéger.


 En fait de protéger, notre président sortant a mis à terre tout l’avenir des petits contribuables français qui font un bilan bien sombre des années « Sarkozy ». Le chômage ne fait que grimper, en même temps que la violence et les agressions sous toutes ses formes. Celui qui voulait nettoyer au « karcher », nos quartiers populaires, n’a rien fait pour sortir ces ghettos de la misère et enrayer la délinquance vitale qui y règne.

Les milliardaires sont de plus en plus nombreux et les riches de plus en plus riche et « cerise sur le gâteau » les français « moyen », les vrais, Remboursent une dette publique engendrée par les banques. Il voulait limiter les transactions des "traders" qui continuent pourtant à s’enrichir sur le dos des travailleurs et les usines qu’il avait promis de sauver ont fermé. D’autres ont été délocalisées ou vendues aux pays étrangers comme la Chine et la Russie qui va bientôt investir dans la construction de « buildings » géants « les plus grands d’Europe » et s’ implanter dans le quartier de la défense. L’industrie automobile populaire comme Renault délocalise à tour de bras vers les pays à main-d’œuvre pas chère comme l’inde qui pour nous « remercier » nous à commandé 126 rafales. Cette commande, toujours pas confirmée à ce jour n’a, en fait, porté que sur  moins d’une vingtaine d’appareils en commande ferme. Que dire de plus sur le bilan de la France, qui s’effondre inexorablement. Monsieur Nicolas Sarkozy, va bientôt pouvoir retrouver son hôtel particulier de paris et sa place réservée au « Foucquet’s » Si son niveau de vie venait à baisser, notre président de la « France forte » pourra toujours revendre sa collection de montres prestigieuses comme un « bon Français Moyen » à moins qu’il ne décide lui aussi de planquer sa fortune dans un paradis fiscal Nous conclurons cet article par une simple phrase de remerciement : « bon vent Monsieur le président »

17 réflexions sur « Nicolas Sarkozy – s’en va mais garde sa fortune »

  1. Nicolas Sarkozy promet de « tout donner »
    pour gagner :
    Takieddine, « l’ami encombrant »,
    raconte ses affaires avec Guéant !!!

  2. COMMENT FAIRE ?!!!!!!!!!
    La première dame redoute qu’un second mandat
    ne soit « fatal » à Nicolas Sarkozy, parce qu’il
    « ne se ménage pas du tout ».

  3. GRUYERE POUR GRUGER!!!
    « Avec Ziad Takieddine, il y a des lucarnes:
    à un moment donné, il s’est rendu compte
    qu’ils étaient tous en train de le lâcher et
    de lui faire porter le bonnet noir du vilain
    petit canard.
    Il s’est donc décidé à parler.
    Il ne dit pas tout ce qu’il sait, moins de 10%
    à mon avis, mais donne des interviews aux seules
    fins d’envoyer des signaux à ceux avec qui
    il était en affaires. »
    [url]http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2012/03/08/paul-moreira-avec-traques-on-comprend-mieux-pourquoi-nicolas-sarkozy-s-est-decide-a-intervenir-en-libye_1653552_3236.html[/url]

  4. Il faut arrêter avec ces sondages, ils sont faux.. c’est un secret de polichinelle..

  5. Tout ceci est une chasse au pouvoir, pur et dur, les secrets d’état sont très lourd et communs à tous les pays. il est évident que l’on à pas fait la guerre pour sauver les libyens! mais pour protéger l’état français de révélations encombrantes. tous les gouvernements sont comme ça, de gauche comme de droite et on ne saura jamais tout.
    que l’on me donne un nom, d’une personne honnête et intègre et je vote pour lui! pour ce qui est des pratiques de vente d’armes et de coopération guerrière, ça existe depuis que le monde existe et ce sont ces pratiques qui de temps en temps maintiennent la paix. je ne sais plus qui à dit « faire la paix c’est préparer la guerre »

  6. désolé Zelectron mais ma connaissance du latin est très approximative voir même nul
    merci tout de même pour votre commentaire !

  7. [b]Ben la guerre on va se la préparer Zelectron si ça continue….nous autres vieux briscards on ne va quand même pas continuer à nous la faire!
    Les troupes sont prêtes à désobéir…..la « folle du régiment » on en a ras le bol ![/b]

  8. [b]Sauf qu’il ne faut pas se préparer à la façon « Maginot » avec des officiers couards et lâches, qui plus est assassinant leurs propres soldats ou faisait la fête dans les salons parisiens.[/b]

  9. Très bon article de JP Visée, mais la tâche du successeur du président sortant ne sera pas facile, qu’il s’agisse de François Holllande ou d’un autre candidat à l’élection présidentielle, pour abaisser le chômage et redonner confiance aux Français.

  10. bien sur clgz11 et quelque soit le président les intérêts internationaux sont à prendre en compte. je ne voudrais pas être à leur place mais je crois qu’il est plus que temps d’avoir à notre tête quelqu’un de plus proche du peuple, même s’il sera obligé lui aussi de composer avec les riches. merci pour vos commentaires

  11. Bonsoir JP Visée. Je suis tout à fait d’accord avec vous. En voyant d’ailleurs l’image qui vous sert de logo, j’ai le sentiment que nous avons plus ou moins le même âge, et que, même si nous n’avons pas vécu dans le même pays, ni, peut-être, exercé le même métier, nous avons traversé ensemble un moment de l’histoire des hommes, ou, me semble-t-il, les gens étaient plus heureux que maintenant; puisqu’il y avait plus de travail, de convivialité ou de respect.

    Mais la différence, par rapport à l’époque actuelle, et j’espère que vous êtes d’accord avec moi sur ce point, c’est : a) que les élus du peuple vivaient, à cette époque, plus près d’eux ; et b) que les patrons d’entreprises étaient, pour la plupart, des natifs de la région.

    Il n’y avait donc pas, entre ceux qui représentaient le pouvoir politique et le pouvoir économique d’un côté, et ceux qui, de l’autre côté de la barrière, étaient à la fois des habitants de telle ou telle région et des travailleurs salariés dans telle ou telle entreprise, la même distance (sur le plan gégraphique notamment) qu’il existe aujourd’hui.

    Or tout cela a disparu à cause de la mondialisation des rapports de production et d’échange.

    Ceci dit, il y a un autre problème qui doit être pris en compte, et que l’on a eu peu trop tendance, à mon avis, à oublier, dans les pays d’Occident.

    Quand, jusqu’en 1989, le monde était (en gros) capitaliste à l’occident, et communiste à l’orient, les travailleurs de l’occident n’étaient pas concurrencés par une main d’oeuvre qui, une fois la Chine, l’URSS, et les autres pays de l’Est ou du Sud entrés dans le giron de l’économiste capitaliste, vont devenir des concurrents redoutables pour les travailleurs des pays d’occident.

    (suite)

  12. Et tout cela à cause des délocalisations d’activités. Et si l’on ajoute à cela le fait que les grandes entreprises travaillant sur le territoire français sont des sociétés multinationales qui seront financées, de plus en plus, à l’avenir, par des capitaux venus de l’étranger, il ne faut pas s’attendre à ce que le chômage diminue en France.

    Si donc la France veut retrouver la maîtrise de son avenir, elle doit, à mon avis, reprendre le contrôle de son patrimoine industriel (au sens large du terme). Ce qui ne sera d’ailleurs pas facile. Mais le mieux, me semble-t-il, dans cette optique, est encore d’avoir, à la tête du pays, des gens qui, meme s’ils ne sont super brillants intellectuellement, sont des gens intègres et soucieux des intérêts du peuple français, comme vous le soulignez vous-même dans vos articles. A défaut, le peuple de France se fera marcher sur la tête par tous les nouveaux riches (et ils sont nombreux) qui veulent profiter de lui.

    On a beaucoup critiqué le Général de Gaulle (et moi le premier) du temps où il gouvernait. Mais si l’on regarde son train de vie, comparé au train de vie du président sortant, il n’y a pas, si je ne m’abuse, photo.

    Et si la convocation d’un homme de droite ne vous convient pas, je vous citerai un Jean Jaurès ou un Léon Blum qui, en tant qu’hommes de gauche, avaient le souci du bien être de leur ressortissants.

    Le problème est que ceux-là furent des exceptions qui, comme tels, ne se rencontrent pas à tous les coins de rue.

    Au plaisir encore de vous lire sur C4N.

  13. [b]clgz11,
    « Et tout cela à cause des délocalisations d’activités » en tant que câââdre, j’ai vu, de mes yeux vu hélas en quarante et quelques années manufacturières …
    Je crains fort que pour imaginer reconstruire une industrie digne de ce nom il faille plutôt utiliser le terme construire tant les ravages sont immenses. N’oubliez pas qu’il faut 10, 15 voir 20 ans pour qu’un ingénieur soit au meilleur…
    Parmi tant et tant d’autres « explications » plus ou moins « rationnelles »:
    – la coupure sèche des transmissions des savoirs industriels qu’a occasionné la retraite à 60 ans (voire 58 et même 56 ans !) a été beaucoup plus catastrophique qu’on ne le dit (surtout à gauche) et ce ne sont pas les jeunes « imberbes » qui les ont remplacés qui ont améliorés les choses, bien au contraire.[/b]

  14. mondialisation et délocalisation, le problème est bien là. Le « péril jaune » si longtemps redouté et à nos portes et sera largement appuyé par la renaissance de la Russie qui va en effet revenir très fort sur la scène internationale. Ce que les armes n’ont pas fait, le fric le fera d’autan que ces pays ont des réserves d’or assez impressionnantes. il est donc grand temps de réagir et de « construire » de nouvelles industries bien françaises et de redistribuer les capitaux si cela est encore possible. de toute façon je trouve souhaitable un changement radical de politique car nous n’avons pas les moyens d’être riche, du moins pas tous!
    merci pour ces commentaires très intéressants qui laissent penser que les français ne sont pas encore anesthésiés par nos politiciens

  15. pour répondre à clgz11 on est en effet certainement de la même génération je suis de 55 et trouve également que la vie était plus facile dans ma jeunesse. fils d’ouvrier dans la métallurgie du bassin de la Sambre (59)j’allais en vacance presque tous les ans et le frigo était toujours plein. il y avait moins de confort mais il ne manquait pas. de plus les patrons étaient en effet plus proches des ouvriers et parlaient « leur langue »
    chose qui a disparu, on travaillait de père en fils dans la même société ce qui est impossible aujourd’hui.

  16. Bonsoir JP Visée. Pour faire écho à vos propos, je viens d’écrire un nouvel article, sur C4N, intitulé « la France forte! », qui va probablement être affiché dans quelques heures. Le ton y est parfois caricatural, mais il me paraît aller dans le sens que vous évoquez.

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