On a tué sur la Prom’
Tué des femmes, tué des hommes,
Des mômes, des hauts comme trois pommes
On a tué sur la Prom’
Et on compte, on fait la somme
La somme des morts, des peines qui s’additionnent
On se dit que c’est comme…
Comme si ça ne devait jamais s’arrêter..
C’était le 14 juillet
Une soirée de liesse, une soirée d’été..
Une soirée qu’un fou a voulu chambouler
C’est le 14 juillet
Qu’un esprit meurtrier a foulé aux pieds.
Corps fauchés et fleurs coupées…
On se peut s’empêcher de penser…
Que ça ne va jamais s’arrêter
On a ensanglanté Nice
On lui a tiré dans le dos, par derrière, par surprise
Sang et sanglots dans le sable s’enfouissent
On a martyrisé Nice
Ecrasé pères, mères, filles et fils
Jeu de massacre après feu d’artifice
Et pendant que le bleu et le blanc, sur le drapeau rougissent, on appréhende déjà les prochains sacrifices …
Ta plume est de douloureuse poésie, tu sais si bien dire . . .
Merci Fanfan pour ces mots de tristesse infinie qui sourdent entre tes lignes
Je t’embrasse fraternellement.
Merci pour ton passage Zelectron. Oui, tres touchee par cette atrocité..
Triste soirée… Triste journée…. toute l’horreur de cette guerre…
Oui Madamen… Que dire? Que faire?
Bravo Fanfanville, tu exprimes parfaitement la douleur présente dans le cœur des français…
Merci mille fois pour tes mots…
Amitiés poétiques.
Merci Philippe…