La crise financière mondiale a eu des répercussions dans les pays en voie de dévelopement sur les petites et moyennes entreprises qui sont déjà très fragiles. En général, ces PME et PMI sont insuffisamment innovantes et souvent désarmées pour faire face à la concurrence internationale.
La conjoncture actuelle, pleine d’incertitude, met en avant les jeunes en quête d’un changement profond. Certains pays en voie de développement ont avancé dans certains domaines mais restent à la traîne dans d’autres.
Ce qu’il faut bien entendu, c’est former des gens pour progresser, réfléchir à maintes reprises pour anticiper, expérimenter des idées pour innover et bien communiquer pour influencer !
Plusieurs actions sont mises en place dans les pays soucieux de leurs développement, des actions de formation et de sensibilisation ont été mises en oeuvre, le développement de l’esprit entrepreneurial a trouvé sa place dans les écoles…
Le développement du capital humain est synonyme de la compétitivité des entreprises. Aujourd’huii, ces pays ont compris que la performance n’a de sens que lorsqu’elle est économique, sociale et sociétale. La dimension sociale ne saurait être occultée et un projet n’est rentable que lorsqu’il a des incidences sociales et qu’il permet un progrès social.
Une des problématiques que rencontrent certains pays en voie de développement est relative à la corruption, pour aller vers la transparence au service de la performance globale. Il faut dans ce sens une loi qui protège ceux qui dénoncent la corruption et surtout, assurer un suivi des décisions et avoir une procédure pour le déclenchement d’une plainte contre X et la mise des déclarations de patrimoine sur informatique pour permettre le suivi et le contrôle.
Ces pays ont parfois beaucoup d’atouts. Des réformes ont été entreprises auparavant mais il reste beaucoup de pratiques à bannir et il faut une prise en compte des jeunes qui constituent un pourcentage important de la population.
L’économie est au service de l’homme, elle doit l’être également au service des jeunes. C’est pourquoi, il faut les écouter et encourager leurs idées.
C’est l’entreprise qui crée de la valeur et les jeunes sont prêts à prendre leurs responsabilités. Si ces pays émergents veulent avancer, il faut qu’il y ait des engagements personnels et des engagements collectifs. Il faut de nouvelles façons d’entreprendre. Quand on dit que l’homme est au centre de tout, c’est quelque chose qui doit être traduite dans la réalité.
je suis avec vous en vision politique du sujet en avant c’est mieux et bien 100/100
merci