Mythe carbocentrique et Doha, une pompe à phynances pour subventionner des compradores dans les pays à piller.
Il suffit d’étudier les comptes-rendus publiés par Le Monde pour comprendre l’essentiel de la combinazzione :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/12/08/climat-le-qatar-propose-un-compromis-au-sommet-de-doha_1801861_3244.html
Les notables des pays sous-développés hurlent à la mort, parce que les subventions au titre du mythologique et inexistant "changement climatique", via des indulgences carbone, qu’ils comptaient bien détourner pour leurs profits personnels, familiaux et tribaux, ne seront pas aussi grosses et garanties qu’ils l’espéraient.
Et qui aurait payé ces subventions aux ripoux et compradores, par l’astuce des indulgences carbone ?
Essentiellement les contribuables des pays surenveloppés, en voie de sous-développement rapide par désindustrialisation accélérée.
En fait nos hommes politiques sont tout aussi dupes et bernés que vous l’êtes vous-mêmes, par leurs chefs cachés : grands financiers et grands robber-barons. Les grands prédateurs ont besoin de complices haut placés dans les pays à piller, et pour cela, il faut les acheter.
Le prétexte choisi, là le coup du prétendu "changement climatique" qui par miracle serait médié par le méchant dioxyde de carbone atmosphérique, présente l’avantage d’être d’une technicité bien trop élevée pour être appréhendé par l’inculture scientifique de nos politiciens. Leur inculture et leur ignorance en font des proies faciles pour ce genre de bobardement.
Le mythe du "méchant CO2" atmosphérique.
Exemple d’esprit brouillon et hâtif, vulnérable au bobardement carbocentriste : Claude Allègre. Si si, lui aussi… En 2009, Claude Allègre a présenté à l’Académie des Sciences des projets genre ULCOS, pour l’enfouissement profond du CO2 industriel.
Liens :
http://www.academie-sciences.fr/activite/conf/debat_190509.pdf
http://adenca.over-blog.com/article-33595235.html
etc.
Et pourtant, sa formation initiale était géochimiste, ce qui lui retire toute excuse.
Bien au contraire, l’enrichissement de l’air des serres en CO2 est utilisé en serres industrielles, pour augmenter le rendement végétatif. Ce n’est pas un secret d’état, c’est une information publique.
Dans tous les cours de biologie végétale, la partie consacrée à la photosynthèse contient toutes les preuves que notre végétation terrestre, est à 98 % des espèces, en manque de CO2 atmosphérique, et pourrait doubler sa productivité (à consommation identique en eau) si le CO2 atmosphérique était moins raréfié.
Exemple d’un tel cours : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Photosynthese-cours/06-facteurs.htm
Extrayons-en deux figures :
Effet de la concentration en CO2 sur la photosynthèse d’algues (chlorelles) pour différentes valeurs d’éclairement (comprises entre 280 et 700 µmoles.m-2.s-1).
On constate qu’on peut doubler à tripler la teneur en CO2 avant qu’apparaissent d’autres facteurs limitants, tels que l’ensoleillement.
Comparaison de la photosynthèse de plantes en C3 et en C4 en fonction de la concentration en CO2 du milieu. Les plantes en C4 présentent un point de compensation très proche du zéro. A la concentration atmosphérique (0,037%), la photosynthèse des plantes en C4 est optimale alors que pour les plantes en C3, la concentration en CO2 est limitante.
Donc sur 98 % des plantes connues, dont tous les arbres, doubler (voire tripler) le CO2 atmosphérique doublera le rendement photosynthétique, à apport hydrique égal. Et conséquemment, les litières puis au bout de peu de générations les horizons B des sols seront bien plus riches et humifiés, avec une bien meilleure rétention d’eau, et une meilleure régulation des écoulements après précipitations.
Mais pourquoi cette chaîne photosynthétique la plus répandue, dite en C3 parce que le premier polymère synthétisé est à trois atomes de carbone, est-elle si inadaptée à notre Quaternaire où il y a des glaciers et des calottes pôlaires, voire des glaciations, et où la mer refroidie relargue si peu du CO2 vital ? Parce qu’elle est très vieille, date de plus de trois milliards d’années, en un temps où le CO2 était très abondant dans l’atmosphère, et le dioxygène fort rare. Au début du Miocène, voici quelques vingt millions d’années, est apparue une filière plus adaptée à la raréfaction du CO2. Le maïs, le sorgho et la canne à sucre sont des plantes de ce type C4, et dépensent trois à quatre fois moins d’eau par kilogramme de biomasse sèche fabriquée.
Cours en anglais : http://www.rsc.org/learn-chemistry/content/filerepository/CMP/00/001/066/Rubisco%20and%20C4%20plants.pdf?v=1353967268963
Nos arbres et nos forêts aussi souffrent de la pénurie en CO2
Voici un article alarmiste, publié par un militant du mythe du "Réchauffement Climatique Anthropique" :
Les naïfs se précipitent pour tâcher de nous culpabiliser sur les "prochaines sécheresses", qui assure l’article, sont prédites avec certitude, et assurent-ils toujours, en punition de nos péchés. Je vais fouiller les publications et les cours au format ppt de ces auteurs à Toulouse et Clermont-Ferrand, et ne tarde pas à découvrir que si nos arbres vivent près des limites de leur approvisionnement en eau, c’est pour deux raisons qu’ils se gardent bien de préciser :
1. Cette pénurie en CO2 atmosphérique, si spécifique à notre Quaternaire, qui les oblige à ouvrir grand les stomates de leurs feuilles, et évaporer autant d’eau que leurs racines peuvent fournir, et leurs canaux acheminer jusqu’aux feuilles…
2. Et la tragique minceur de beaucoup de sols, dont la faible profondeur et la trop faible capacité de rétention d’eau sont terriblement limitantes et fragilisantes.
Pourquoi cette minceur ? Très souvent parce que la dernière déglaciation est encore trop proche, la recolonisation des roches et des moraines par de la végétation est trop récente (par exemple en Scandinavie et dans nos montagnes, mais c’est encore pire dans l’Himalaya, l’Hindou Kouch ou l’Elbourz ; à surrection rapide, érosion rapide), la pédogenèse n’a pas eu le temps de produire des sols climax ni des végétations climaciques. De plus, l’érosion est intense en notre ère Quaternaire, les rivières sont troubles, les continents fichent le camp en pièces détachées : galets, sables, argiles partent vers la mer, et les couvertures végétales amincies retiennent mal les éléments fins des sols. Mais bon, ça a été bien pire encore durant les glaciations, et durant les premiers millénaires de déglaciations, quand les moussons étaient bien plus violentes qu’actuellement.
De plus, la surexploitation des forêts depuis l’Antiquité, et notamment depuis l’âge du bronze, pour les besoins de la métallurgie, puis pour ceux de la charpente marine, a dénudé de nombreux sols montagnards. La comparaison est éloquent et tragique : Ephèse dans l’antiquité, au faîte de sa puissance, et à présent, entourée de collines chauves au roc nu, où le port antique est envasé et comblé. La péninsule ibérique non plus ne s’est pas remise d’avoir envoyé ses arbres sur les mers, en expéditions coloniales pour ramener de l’or d’Afrique et d’Amérique.
Et l’évolution de nos façons culturales n’arrange rien : au temps où l’on labourait avec un cheval ou une paire de boeufs, nos paysans labouraient en travers de la pente, pour limiter l’érosion. Avec le tracteur, plus question : le risque que le tracteur chavire et tue son conducteur est bien trop grand ; on laboure dans le sens de la pente, à présent. Tant pis pour l’érosion, tant pis pour l’avenir de la terre cultivable.
Quant à la solution durable, la culture en terrasses et restanques, elle dépérit, à cause de l’écart colossal de revenus entre le citadin profiteur, et le paysan condamné à entretenir ses restanques pour conserver sa terre. Les fils de paysans fuient vers la ville, et les filles encore plus vite. Après quinze ou vingt ans d’abandon, les restanques deviennent difficiles et dangereuses à restaurer…
Remarquez, ces scientifiques de Toulouse et de Clermont-Ferrand cités par David Larousserie ont leurs raisons de rester discrets sur les causes réelles de fragilités des forêts : s’ils ne glissaient plus les mots magiques de "Climatic change" dans leurs projets, ils n’auraient plus de crédits et devraient licencier leur personnel… Quand un délire est hégémonique, hé bien il est hégémonique, voilà tout. Exactement comme le lyssenkisme en URSS sous Staline.
Le canular : le CO2 atmosphérique dirigerait le climat.
Là je ne vais donner qu’un résumé au galop, il faudra détailler dans l’article suivant.
Dans les cours et traités de géologie, vous trouvez aussi aisément toutes les preuves que le CO2 atmosphérique est très très loin de diriger le climat. Bien au contraire il est un thermomètre retardé de la température des océans, retardé d’environ 800 à 1000 ans. Ils vous l’ont dit, cela, les journalistes qui sont payés pour façonner vos illusions ? Bah non ! Trop incultes en sciences pour démonter le canular qu’ils sont payés pour vous propagander…
Point par point, il est aisé de démonter chaque point d’appui d’apparence "scientifique" du dogme pourtant hégémonique à travers toute la presse française. Qu’il s’agisse de la transmittance spectrale de l’atmosphère claire, où les "experts" autorisés vous truandent à coups de la formule magique "gaz à effet de serre", de la négligence volontaire de l’IPCC (GIEC, avec miraculeuse apparition d’experts, en traduction française) des éruptions sous-marines, de sa négligence volontaire à l’égard de la nébulosité terrestre et de ses facteurs causaux – les plus ou moins bons boucliers fournis par l’activité magnétique solaire aux bombardements de rayons cosmiques, lesquels sont loin d’être constants au cours de l’histoire de la Terre – …
Ils vous l’ont dit, cela, les journalistes à couverture "scientifique" de Libé, du Monde, ou de Sciences et Avenir ? Bah non ! Ils seraient immédiatement mis à la porte par leurs patrons… pour la même raison que Jean Jaurès a promptement été assassiné pendant que les élites qui nous gouvernaient avec folie, préparaient la boucherie de leurs peuples, la guerre mondiale.
A suivre sur les preuves physiques et géologiques de la grossièreté du canular hégémonique. Accrochez-vous, c’est plus technique. Remarquez, pour le détail scientifique, articles après articles, Jacques Duran est incomparablement plus détaillé que je n’aurais pu l’être ici.
Pour se faire un avis personnel, il faut lire ceux qui ne sont pas d’accord.
Par exemple :
http://info-resistance.org/ecologie/rechauffement-climatique/jacques-duran-fake/
Haha ? « Contradicteur » n’envisage pas de se documenter lui-même, de faire lui-même les calculs, pour se faire une opinion personnelle ? N’envisage pas d’appliquer lui-même les règles de bases méthodologiques et heuristiques, pour mettre en évidence ce qui cloche dans la doctrine de la meute ? Il lui faut obligatoirement se coller à une meute pour aboyer et mordre contre ce qu’il perçoit comme des intrus, des concurrents à abattre ?
Que comme tenant d’un blog, Jacques Duran ait de grandes difficultés techniques avec ce genre d’informatique de ouebmestre, est évident. Et alors ? Ça existe, les génies universels ?
Où trouveras-tu ailleurs en langue française un résultat des fouilles entreprises sur le lac de Lille Gribsø, et l’enregistrement des diamètres des stomates de bouleaux au fil des âges ?
« Peu importe qu’un chat soit gris ou noir. S’il attrape des souris, c’est un bon chat », opposait Deng Hsiao Ping à Mao Zheu Dong. Qui le lui a fait payer cher.
Voir ce qu’en pense un canadien :
http://www.lapresse.ca/debats/le-cercle-la-presse/international/201212/10/48-1807-la-fatigue-climatique-partie-1-les-indicateurs.php
http://www.lapresse.ca/international/201212/10/48-1808-la-fatigue-climatique-partie-2-les-causes.php
Il n’est pas moins féroce que moi sur les motivations réelles, et de l’ONU, et de ceux qui attendaient d’être subventionnés par vos impôts au titre d’une fiction ONUsienne.
Quant à la suite logique de cet article-ci, elle a été refusée par C4N (trop scientifique, pas assez subjective, disent-ils), mais on ne va pas se laisser impressionner pour si peu :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Non_dioxyde_de_carbone_incapable_climat.html