De plus en plus, les routes dans la grande ville de Montréal sont engorgées.

Les gens doivent planifier leur temps en fonction de la circulation. Pour remédier à cette situation, le ministre des Transports, Sam Hamad, a présenté un plan d’investissement de 110 millions de dollars. Trente-deux mesures seront employées graduellement jusqu’à la fin de l’année 2012.

Le but principal de Québec est d’encourager les gens à prendre le transport en commun. Pour inciter la population à utiliser ce service, un mois gratuit sera offert à ceux et celles qui achèteront un abonnement annuel. De plus, 40 kilomètres de voies réservées seront ajoutés aux 200 kilomètres déjà existants et 50 nouveaux autobus seront disponibles d’ici 2012. Pour les automobilistes, certaines mesures seront également appliquées. Le ministère des Transports du Québec (MTQ) vise à améliorer les méthodes de communication avec des radios trafic, des panneaux d’information et leur site web quebec511.info. Pour les chantiers de construction en retard, les amendes vont doubler de 1000 $ à 2000 $. On peut se demander si Québec fait bien d’investir tant d’argent dans ce projet.


  Québec fait très bien d’investir sur le système routier dans la métropole.

Si l’on compare avec celui d’autres villes comme Sherbrooke ou d’autres pays comme la France, on se rend bien compte qu’ils ont du chemin à faire. La Société de transport de Sherbrooke offre un libre accès aux services de transport en commun pour les étudiants de l’Université et du Collège de Sherbrooke.

En France, les transports en commun sont très bien structurés et empruntés par la population puisque celle-ci a une grande conscience écologique. En poussant les gens à prendre le transport en commun, il est certain qu’il va y avoir une réduction des émissions de gaz à effet de serre, ce qui est excellent pour l’environnement.

Le transport en commun est une très bonne alternative pour les gens qui doivent se déplacer et qui n’ont pas les moyens de se payer un véhicule et tous les frais qui en découlent. En offrant une route moins congestionnée, cela permet aux gens d’avoir une meilleure qualité de vie puisqu’il y a moins de perte de temps dans leur journée. En ayant un réseau routier moins achalandé, le pourcentage d’accidents sur la route va diminuer, car il va y avoir moins d’automobilistes et les gens auront moins de frustrations dues aux longues attentes. Avant d’arriver à des routes avec peu de congestion, la population montréalaise va devoir changer ses habitudes, ce qui n’est pas évident.

En conclusion, je considère que le transport en commun est une bonne solution pour régler différents problèmes tels que la pollution. Nous devons concentrer notre énergie à développer ce système puisque c’est l’avenir. Dans plusieurs régions du Québec, cette accommodation est peu utilisée et même inexistante. Le Québec devrait peut-être se tourner davantage vers cette alternative pour diminuer ses émissions de dioxyde de carbone.


Bibliographie : 

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/actualites/regional/montreal/archives/2011/08/20110826-                        053602.html  http://www.centrevillesherbrooke.ca/acces-centre-ville/transports-en-commun