Mon livre, « l’élection présidentielle française »,

l’historique.

 

 

Support Wikipedia L’élection présidentielle au suffrage universel des Français fut l’acte majeur de la cinquième République. La quatrième république empêtrée dans la guerre d’Algérie n’arrivait pas à résoudre le conflit Franco-algérien. Le 13 mai 1958 fut le coup d’État fomenté par l’avocat et officier parachutiste de réserve Pierre Lagaillarde, avec les généraux Raoul Salan, Edmond Jouhaud, Jean Gracieux, l’amiral Auboyneau avec l’appui de la 10ème division parachutiste du général Massu et la complicité active des alliés de Jacques Soustelle. C’est ce coup d’État qui déclencha le processus d’une nouvelle Constitution, la cinquième république. Le gouvernement de Pierre Pflimin, le dernier de la quatrième République, fut, sous l’impulsion de Guy Mollet vice président du Conseil celui qui, avec l’assentiment du président de la République Monsieur René Coty, permirent d’imposer un changement politique allant dans le sens du maintien de l’Algérie française au sein de la République. C’est à partir de ce moment que le président René Coty, sous l’impulsion de la droite française et des Colons d’Algérie mais aussi avec l’assentiment de Guy Mollet, fit appel au général de Gaulle, le plus illustre des Français.

Cette crise de mai 1958 conduisit à un mouvement insurrectionnel par la création d’un Comité de salut public à Alger dirigé par le général Massu, le pouvoir des généraux était en place.

Il s’ensuivit, une opération militaire du premier bataillon parachutiste de choc dénommée Résurrection, elle visait à établir en Corse une tête de pont pour prendre le pouvoir à Paris et renverser la République. Le 24 mai débuta le parachutage, à Calvi, de ce Bataillon par le colonel Jean Robert Tomaso qui s’empara le 26 mai 1958 du contrôle civil et militaire de la Corse. L’ultimatum qui avait été adressé à Paris, par les généraux du putsch d’Alger, rebelles à la République, expirait le 29 mai. Cet ultimatum fut préparé secrètement, en liaison avec les gaullistes, il avait pour but la prise du pouvoir républicain par un parachutage sur Paris.

Le 26 mai, de Gaulle rencontra secrètement Pierre Pflimin qui insista pour que le général désavoue Alger en condamnant la prise d’Ajaccio. Mais dès, le lendemain, de Gaulle changea d’avis, et il affirma avoir «entamé un processus régulier nécessaire à l’établissement d’un gouvernement républicain capable d’assurer l’unité et l’indépendance du pays» . De Gaulle apparaissait dès lors comme «l’homme providentiel» pouvant résoudre la crise. Ce qui ne l’empêcha pas, ensuite, de brader l’Algérie en faisant les Accords d’Evian accordant l’indépendance aux algériens, après avoir déclaré «la France de Dunkerque à Tamarasset», le 6 juin 1958 à Mostaganem, ce fut une vraie imposture. La droite mangea son chapeau, ainsi que les Colons qui pendant des années s’opposèrent à l’indépendance des algériens à une guerre qui fit des milliers de morts

Mon livre ne développe pas cette phase du putsch d’Alger, mais il y fait référence.

Cette phase de notre histoire implique de revenir à l’origine de ce qui se passa lors de la débâcle de nos armées devant l’armée allemande pendant la seconde guerre mondiale, c’est à dire au moment ou le gouvernement Français s’évada à Bordeaux, puis s’établit à Vichy. C’est à ce moment que ce joua l’avenir de la France lorsque le général de Gaulle, sous l’impulsion de Georges Mandel partit pour Londres sur le contre-torpilleur Milan appareillé, pour la circonstance, à Brest par la marine nationale Française, il débarqua à Plymouth et arriva à Londres le 16 juin pour organiser la résistance, d’où son Appel du 18 juin 1940.

Ce fut le départ de la résistance, puis la libération de la France et 18 années plus tard la cinquième république.

Les grands évènements font l’histoire. L’annexe 1 du livre au paragraphe 7 Philippe Pétain maréchal de France, retrace l’histoire des derniers jours avant l’armistice ou le général de Gaulle partit pour Londres.

Sans cette résistance, et sans les Alliés, le général de Gaulle ne serait pas revenu en 1944 en France le 14 juin à bord du torpilleur «La combattante», pour prononcer, le même jour, son discours de Bayeux. C’est le 25 août à la libération de Paris par l’armée blindée du général Leclerc que le général de Gaulle se réinstalla, au ministère de la guerre, dans le même bureau que celui qu’il quitta le 10 juin 1940.

On ne peut pas écrire l’histoire de l’avènement de la cinquième république sans évoquer Guy Mollet, Pierre Mendes-France et François Mitterrand. Ils furent les hommes politiques qui, au moment de la guerre d’Algérie, eurent une part active sous la quatrième république dans la gestion de cette guerre. Ce qui revient également à évoquer, en annexe 1, paragraphe 1 un des épisodes douloureux de cette guerre, le 17 octobre ou l’histoire d’un massacre à Paris.

Guy Mollet pris une part importante lors de la guerre d’Algérie, et sous la pression des Colons, il augmenta l’envoi de contingents alors qu’il voulait avec Pierre Mendès-France l’indépendance de l’Algérie. Mais aussi, il participa avec le général de Gaulle et Michel Debré à la rédaction de la nouvelle Constitution de la cinquième République, mais, il s’opposa lors du «Cartel des non», à l’élection du président de la République au suffrage des Français ayant démissionné du gouvernement en 1959.

Guy Mollet est présenté, dans le texte principal du livre, et pour lui faire hommage comme aux socialistes de cette terre du Nord de la France dont il fut issu ainsi que Pierre Mauroy, le premier ministre du premier gouvernement de gauche de la cinquième République, annexe 2 paragraphe 2 et Martine Aubry, annexe 1 paragraphe 3 qui prolonge son œuvre pour un socialisme moderne dans cette région du Nord, je parle de socialisme. Je n’oublie pas aussi d’évoquer dans l’actualité du moment les politiques plus à gauche au PS représentés, entre autres, par Marie-Noëlle Lienemann, (20) annexe 2, Henri Emmanuelli (21) annexe 2, pour ne citer qu’eux, mais aussi Jean-Luc Mélenchon annexe 1, devenu socialo-communiste, basculant dans une démagogie politique.

François Mitterrand, plus qu’un autre homme politique, il fut celui qui, sous la quatrième République, au moment de la guerre d’Algérie eut à exercer en tant que Garde des Sceaux. Il fut amené, à faire appliquer après le vote de pouvoirs spéciaux à l’armée incluant la création d’une justice militaire et des pouvoirs spéciaux de justice, une justice sanglante concernant la torture, et la guillotine, mais aussi sous la cinquième République, ou il combattit le général de Gaulle au moment du référendum sur l’élection présidentielle du président de la République, il est évoqué dans le texte principal du livre mais aussi en annexe 1 au paragraphe 6 François Mitterrand et ses heures noires.

Et puis, dans le paragraphe dédié à Mélenchon, pour sa prestation à l’émission politique à Des paroles et des actes, je fus amené à citer, lorsque l’Allemagne fut prise comme exemple, «La misère de Merkel pire que celle de Sarkozy sinon au moins égale», annexe 1 paragraphe 5.

À l’annexe 1 paragraphe 8 Philippe Pétain, maréchal de France et ses heures noires de 1940 à 1944, je reprends la dénomination «Régime de Vichy» donnée à cette période de notre histoire, par le fait que la ville de Vichy n’est pas un régime, et je propose le «Régime de 1940», qui représente mieux ce qui s’est passé par la gouvernance du maréchal Pétain sous l’occupation allemande, 1940 étant l’année qui permit la passation des pouvoirs au maréchal Pétain lors de la séance du 10 juillet 1940 dans la salle du grand casino de Vichy.

Je termine par le paragraphe 9 de l’annexe 1 par le régime de Vichy qu’est-ce que c’est ? J’y développe, entre autres, comment fut engagée la seconde guerre mondiale, puis ce Régime de 1940 qui n’avait pas de Constitution, mais également qu’il fit, de lui-même, la persécution des juifs qui mena à la mort en déportation de 76.000 juifs. J’en conclus que l’on ne peut considérer ce régime comme le représentant du peuple Français.

Les paragraphes de l’annexe 1 ainsi que ceux qui constituent le sujet principal du livre sont tirés d’articles de mon blog publiés également dans le site citoyen C4N et dans celui de 20 minutes.fr. Ces articles furent modifiés et complétés pour ce livre. Quant à l’annexe 2, elle donne les principales adresses internet que j’ai consultées.

Elles apportent, au lecteur avec le livre, un maximum d’informations lui ouvrant un grand espace de lecture, permettant, en lisant le livre, d’ouvrir les adresses et de lire le complément d’histoire. Le livre et l’ordinateur associés constituent ainsi un grand espace culturel des prochaines années. De ce fait, en tant qu’auteur je suis heureux de proposer cette logistique de lecture. Par rapport aux tablettes qui sont sans âme, cette logistique permet, pour les amoureux du papier, de considérer l’ordinateur comme un livre annexe au livre en lui donnant un caractère vivant.

C’est sur une proposition du comité de lecture de Dictus publishing que je fus amené à proposer un manuscrit. Ce manuscrit, après avoir remplit les conditions imposées par Dictus publishing, il fut intégré dans un programme de validation envoyé par internet. Ce programme implique d’intégrer le manuscrit au format PDF, ainsi que vôtre photo, de définir dans la couverture, l’image, le titre, le sous titre et une brève présentation du livre, mais avec l’obligation d’agréer les conditions de propriété et d’auteur. Ensuite, après avoir été vérifié par le comité de lecture, le manuscrit est directement copié collé dans les pages du livre. L’avantage est que l’écrit et les images contenus dans le manuscrit sont copiés collés même en couleur si ils le sont dans le manuscrit. Par contre aucune correction d’orthographe et de grammaire ne sont faites, ce qui fait que vous êtes à la merci d’erreurs. De plus, Dictus publishing ne vous donne pas d’exemplaire de vôtre livre, mais vous retourne le manuscrit que vous pouvez télécharger, ce qui ne vous sert à rien sans sa couverture.

Le livre est vendu par internet par Morebooks Store a des prix promotionnels en nombre de 5, 20, 50, 200. Son prix de vente unitaire est fixé à 24,8 €. Ces conditions ne vous permettent pas actuellement l’achat d’un seul livre. La vente promotionnelle est limitée dans le temps. L’adresse internet de Morebooks Store est ici.

 

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