Mon entrée à l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny de Yamoussoukro

 

L’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny de Yamoussoukro en abrégé INP-HB est l’une des écoles polytechniques d’excellences en Afrique occidentale. Situé en Côte d’Ivoire, cette école est le rêve d’un grand nombre de bacheliers, surtout ceux qui ont fait le Lycée Technique, car cette école possède des équipements pour la continuité de la filière pratiquée au lycée. Je vais vous dire ce qui s’est passé le 1er jour où j’y suis allé.

Premier jour : 

Après l’obtention de mon baccalauréat au Lycée Technique de la ville de Bouaké, j’ai passé le concours d’entrée dans cette école et se fut un succès. Lors de la rentrée, j’emprunte le car et je descends dans la ville de Yamoussoukro. Après plusieurs renseignements, j’arrive enfin dans ma nouvelle école. Ce jour-là, je fus très impressionné par la grandeur de mon école car elle est formée de trois sites, avec deux sites qui ont des dortoirs et des réfectoires, le troisième site en plus des salles de classe, possède des laboratoires et une très grande ferme. 

Bien que j’ai des ainés dans l’école, je fus quand même déboussolé, car il y avait plusieurs autres filières avec des comportements un peu effrayants. Ils faisaient des ballets pour entrer en classe et grugeaient toutes les autres filières. Après mon inscription, une chambre m’a été attribuée. Après cela, les cours ont débuté et nous avons vite fait connaissance. Après les cours nous sommes allés au restaurant de l’école et c’était déjà facile puisqu’on y était allé après les inscriptions. 

 Les congés : 


Pendant les différents congés à savoir les congés de Noël et de pâques, des convois sont organisés dans l’école en fonction des filières. J’ai fait une filière qui n’avait pas de problèmes avec les autres filières, mais qui était plutôt respecté sur la cité.  Lors des congés, nous avons organisé un convoi dans lequel plusieurs autres filières se sont ajoutées et c’était un vrai succès, parce que tout le monde était en joie jusqu’à destination.  

La fin de l’année

La fin de l’année était pénible car nous avions formé une famille. Ce qui nous rassurait était le fait que personne d’entre nous n’a échoué et que nous nous verrons l’année scolaire suivante.