(une pensée charnelle, un poème pour un homme si loin de moi en ce moment…)
Le soir lorsque je regarde le ciel
Je m’imagine petite hirondelle
Partant chercher mon amour
Oui TOI que j’aimerai toujours
Et puis lorsque viendrai l’aurore
Quand le soleil prendrai sa couleur or
Je te vois me trouver dans ton lit
Par ce long voyage, encore toute engourdie
Je sent tes mains se poser sur moi
Et me parcourir du bout des doigts
Mon corps s’éveille par cette tendresse
Que je te rends sous milles caresses
Si seulement je pouvais être cette hirondelle
Les distances sont si courtes vu du ciel
Je pourrai venir te frôler, t’embrasser
Te toucher, te gouter, tout simplement t’aimer
Si seulement je pouvais être cette oiseau
Ce rêve je le trouve si beau
Retrouver ton corps m’attirant
Tu me manques tellement
Teavae
Poème mélancolique!J’aime!
Oui, joli poème!
Je croyais que le site ne publiait plus de poésie?
Ah! Ben apparement si… je ne peux pas trop t’éclairer à ce sujet, je suis tite nouvelle 🙂 Seul constat : il est passé donc soit on peut, soit il est vraiment exceptionnel !!! :-p. Soyons réaliste! Ce doit être la première option! Pas assez prétencieuse pour opter pour la seconde 🙂
Tant mieux teavae…Moi, j’adore la poésie alors si C4 en publie à nouveau je suis ravie!
Un très beau poème en effet ! Votre plume me plait décidément chaque jour un peu plus !
A très bientôt.
Guylaine
Je pensais également que le « media social citoyen » avait pour but de divulguer l’info… J’ai également essayer de faire passer une de mes nouvelles, et on l’a refusée… Félicitations en tous les cas…quoi que, la tristesse et la nostalgie ayant inspiré ces lignes ne doivent pas être évidentes à subir… Bon courage petite hirondelle